Tyson Gay
Tyson Gay est l’un des athlètes les plus médiatisés au monde depuis son triplé aux Championnats du Monde d’Athlétisme en 2007. Lors des mois précédant les Jeux de Pékin 2008, les médias sportifs du monde entier scrutent ses moindres faits et gestes : avec un chrono de 9,68 secondes sur 100 mètres en finale des sélections américaines pour les JO, non homologué en raison d’un vent trop favorable, il réalise alors le meilleur temps jamais enregistré sur cette distance.
Malheureusement, il chute et se blesse aux ischio-jambiers lors des sélections américaines pour le 200 mètres. Cela l’empêchera d’évoluer à son plus haut niveau à Pékin. Beau joueur, il continue malgré tout de considérer cette expérience comme « la plus belle de sa vie » grâce aux gens qu’il a rencontrés et à l’accueil chaleureux des fans dans le stade et dans le monde entier.
Fort d’un optimisme et d’une force mentale inébranlables, Tyson Gay revient très motivé sur les pistes d’athlétisme, convaincu que ses plus beaux chronos sont encore à venir.
À l’instar de ses confrères, Tyson Gay distingue les JO des autres événements sportifs. « Les Jeux Olympiques sont une compétition à part car c’est devenu le plus grand événement sportif de la planète et qu’il y a une très longue histoire derrière. Et comme ils n’ont lieu que tous les quatre ans, cela augmente encore leur valeur. La montée d’adrénaline que l’en ressent en entrant dans un stade olympique est un sentiment incomparable. »
Le sprinteur évoque également le très haut niveau d’exigence physique et psychologique des Jeux Olympiques. « J’étais hyper concentré à Pékin. J’étais extrêmement tendu et comme je n’arrivais pas à déconnecter, je dormais très mal la veille des épreuves. Depuis, j’ai appris à maîtriser les émotions et la nervosité liées aux grandes compétitions et je réserve toute mon énergie à la course en elle-même. »
Malheureusement, il chute et se blesse aux ischio-jambiers lors des sélections américaines pour le 200 mètres. Cela l’empêchera d’évoluer à son plus haut niveau à Pékin. Beau joueur, il continue malgré tout de considérer cette expérience comme « la plus belle de sa vie » grâce aux gens qu’il a rencontrés et à l’accueil chaleureux des fans dans le stade et dans le monde entier.
Fort d’un optimisme et d’une force mentale inébranlables, Tyson Gay revient très motivé sur les pistes d’athlétisme, convaincu que ses plus beaux chronos sont encore à venir.
À l’instar de ses confrères, Tyson Gay distingue les JO des autres événements sportifs. « Les Jeux Olympiques sont une compétition à part car c’est devenu le plus grand événement sportif de la planète et qu’il y a une très longue histoire derrière. Et comme ils n’ont lieu que tous les quatre ans, cela augmente encore leur valeur. La montée d’adrénaline que l’en ressent en entrant dans un stade olympique est un sentiment incomparable. »
Le sprinteur évoque également le très haut niveau d’exigence physique et psychologique des Jeux Olympiques. « J’étais hyper concentré à Pékin. J’étais extrêmement tendu et comme je n’arrivais pas à déconnecter, je dormais très mal la veille des épreuves. Depuis, j’ai appris à maîtriser les émotions et la nervosité liées aux grandes compétitions et je réserve toute mon énergie à la course en elle-même. »
Michael Phelps
Michael Phelps est l’ambassadeur OMEGA par excellence. Depuis 2004, son immense popularité et son énorme succès sportif ont contribué à donner un visage aux valeurs de la marque.
Laissons parler les faits : Michael a raflé huit médailles d'or aux JO de Pékin 2008, battant au passage sept records du monde et un record olympique. Quatre ans plus tôt à Athènes, il s’était adjugé six médailles d’or et deux de bronze. Il affiche donc un formidable bilan de 16 médailles d'or et deux médailles de bronze aux Jeux Olympiques.
Et lorsqu’on lui demande si ses performances à Pékin ont fait changer la natation, le champion se veut modeste : « L’une des choses les positives que j’ai constatées, c’est que maintenant, les gens s’intéressent vraiment à la natation. Ils connaissent nos noms. Ils viennent nous encourager. Ça m’amuse toujours de suivre la progression des jeunes nageurs. Ils vont passer par les mêmes étapes que nous mais avec une intensité plus forte. C’est amusant d’essayer d’imaginer ce qu’ils vont connaître dans cinq ou dix ans. »
Avec un tel palmarès, Michael Phelps sera attendu au tournant à Londres. Saura-t-il gérer cette pression ? Personne n’en doute.
Laissons parler les faits : Michael a raflé huit médailles d'or aux JO de Pékin 2008, battant au passage sept records du monde et un record olympique. Quatre ans plus tôt à Athènes, il s’était adjugé six médailles d’or et deux de bronze. Il affiche donc un formidable bilan de 16 médailles d'or et deux médailles de bronze aux Jeux Olympiques.
Et lorsqu’on lui demande si ses performances à Pékin ont fait changer la natation, le champion se veut modeste : « L’une des choses les positives que j’ai constatées, c’est que maintenant, les gens s’intéressent vraiment à la natation. Ils connaissent nos noms. Ils viennent nous encourager. Ça m’amuse toujours de suivre la progression des jeunes nageurs. Ils vont passer par les mêmes étapes que nous mais avec une intensité plus forte. C’est amusant d’essayer d’imaginer ce qu’ils vont connaître dans cinq ou dix ans. »
Avec un tel palmarès, Michael Phelps sera attendu au tournant à Londres. Saura-t-il gérer cette pression ? Personne n’en doute.
Chad le Clos
Âgé de 20 ans seulement, le prodige sud-africain Chad le Clos a lui aussi rejoint la prestigieuse brochette d’ambassadeurs OMEGA. Chad a fait forte impression lors des premiers Jeux Olympiques de la Jeunesse en 2010 à Singapour, s’adjugeant cinq médailles.
La même année, il décroche l’or en 200 mètres papillon et en 400 mètres quatre nages aux Jeux du Commonwealth, établissant dans chacune de ces deux épreuves un nouveau record de la compétition. En 2010, lors des Championnats du Monde de natation en petit bassin de la FINA, il rafle la médaille d’or en 200 mètres papillon.
À Londres, Chad participera donc à ses premiers Jeux Olympiques. « En 2009, le jour de mes 17 ans, j’étais aux qualifications pour les Championnats du Monde à Rome et j’avais nagé le 400 mètres quatre nages en 4:16. À compter de ce jour, j’étais persuadé que je disputerais un jour les Jeux Olympiques. J’ai confiance en mes moyens mais ce sera la compétition la plus importante de ma vie. Je vais me concentrer sur chaque course, l’une après l’autre. »
La même année, il décroche l’or en 200 mètres papillon et en 400 mètres quatre nages aux Jeux du Commonwealth, établissant dans chacune de ces deux épreuves un nouveau record de la compétition. En 2010, lors des Championnats du Monde de natation en petit bassin de la FINA, il rafle la médaille d’or en 200 mètres papillon.
À Londres, Chad participera donc à ses premiers Jeux Olympiques. « En 2009, le jour de mes 17 ans, j’étais aux qualifications pour les Championnats du Monde à Rome et j’avais nagé le 400 mètres quatre nages en 4:16. À compter de ce jour, j’étais persuadé que je disputerais un jour les Jeux Olympiques. J’ai confiance en mes moyens mais ce sera la compétition la plus importante de ma vie. Je vais me concentrer sur chaque course, l’une après l’autre. »
Jessica Ennis
Âgée de 26 ans, l’heptathlonienne britannique Jessica Ennis est l’une des athlètes les plus brillantes de sa génération. Déjà sacrée championne du Monde et d’Europe, elle a également remporté les Championnats du Monde Indoor de sa spécialité.
Absente des Jeux de Pékin en raison d’une blessure, Jessica se prépare depuis de nombreuses années pour les Jeux Olympiques et attend avec impatience ceux de Londres. « Je me suis entraînée toute ma vie pour participer aux JO. Même si chaque année on a des compétitions à préparer, c’est une échéance spéciale pour tous les athlètes. C’est toujours un objectif à long terme. Ces Jeux vont avoir une signification particulière pour moi puisqu’ils se déroulent à Londres. »
Habituée à la pression des grands événements, Jessica sait à quoi s’attendre. « Je pense qu’avant d’entrer en scène, je serai complètement surexcitée. En tout cas c’est toujours ce qui se passe quand je participe à une compétition. C’est un sentiment étrange car on sait que tout va se jouer en quelques instants, que tout le temps passé à s’entraîner et tous les efforts consentis pendant des années peuvent se concrétiser ou non en un laps de temps très court. »
Absente des Jeux de Pékin en raison d’une blessure, Jessica se prépare depuis de nombreuses années pour les Jeux Olympiques et attend avec impatience ceux de Londres. « Je me suis entraînée toute ma vie pour participer aux JO. Même si chaque année on a des compétitions à préparer, c’est une échéance spéciale pour tous les athlètes. C’est toujours un objectif à long terme. Ces Jeux vont avoir une signification particulière pour moi puisqu’ils se déroulent à Londres. »
Habituée à la pression des grands événements, Jessica sait à quoi s’attendre. « Je pense qu’avant d’entrer en scène, je serai complètement surexcitée. En tout cas c’est toujours ce qui se passe quand je participe à une compétition. C’est un sentiment étrange car on sait que tout va se jouer en quelques instants, que tout le temps passé à s’entraîner et tous les efforts consentis pendant des années peuvent se concrétiser ou non en un laps de temps très court. »