Comme tous les vêtements (masculins y compris), le pantalon suit de grandes tendances… Des orientations que l’on découvre généralement quelques mois à l’avance dans les allées du salon Pitiuomo à Florence en Italie.
Un salon auquel participe la maison Bernard Zins tant ses clients sont internationaux. Français bien évidemment puisque la marque est française, mais également de nombreux Japonais (dont Beams), des Coréens, un détaillant singapourien (Decorum SG) et bien d’autres encore !
Selon Frank Zins, qui dirige l’entreprise, les grandes tendances de cette année, sont les pantalons « taille haute », des pinces (simples ou doubles), les pattes de serrage latérales et tout un camaïeu de marrons.
Un salon auquel participe la maison Bernard Zins tant ses clients sont internationaux. Français bien évidemment puisque la marque est française, mais également de nombreux Japonais (dont Beams), des Coréens, un détaillant singapourien (Decorum SG) et bien d’autres encore !
Selon Frank Zins, qui dirige l’entreprise, les grandes tendances de cette année, sont les pantalons « taille haute », des pinces (simples ou doubles), les pattes de serrage latérales et tout un camaïeu de marrons.
Le pantalon taille haute a l’avantage d’allonger la silhouette ; il est donc parfait pour les hommes de petite taille. Attention cependant ; il ne convient pas forcément aux messieurs ayant de la bedaine ! Cela risque de la faire ressortir...
Pour les physiques « forts », deux écoles existent : en prêt-à-porter, les pantalons à la taille abaissée sont préférés car plus facile à ajuster : le ventre est au-dessus du pantalon et on règle avec une ceinture.
En revanche, en sur-mesure, les tailleurs aiment les pantalons très taille haute : cela allonge toujours la silhouette et, en cas d’embonpoint, le ventre est masqué sous le pantalon. Idéal avec des bretelles, le pantalon tient ainsi parfaitement et confortablement.
Pour les physiques « forts », deux écoles existent : en prêt-à-porter, les pantalons à la taille abaissée sont préférés car plus facile à ajuster : le ventre est au-dessus du pantalon et on règle avec une ceinture.
En revanche, en sur-mesure, les tailleurs aiment les pantalons très taille haute : cela allonge toujours la silhouette et, en cas d’embonpoint, le ventre est masqué sous le pantalon. Idéal avec des bretelles, le pantalon tient ainsi parfaitement et confortablement.
Les pinces : elles sont doubles ou simples avec ou sans pli. Attention, les pinces d’un pantalon appellent le pli central car la pince la plus proche de la braguette signale l’endroit où le pli se trouve.
Elles sont orientées soit vers l’intérieur (vers la braguette ; dites pinces « françaises »), soit vers l’extérieur (vers la poche côté ; dites pinces italiennes).
Plus concrètement, il s’agit d’un repli de tissu qui se trouve de part et d’autre du devant du pantalon, sous la ceinture.
Elles sont orientées soit vers l’intérieur (vers la braguette ; dites pinces « françaises »), soit vers l’extérieur (vers la poche côté ; dites pinces italiennes).
Plus concrètement, il s’agit d’un repli de tissu qui se trouve de part et d’autre du devant du pantalon, sous la ceinture.
Technique qui vient des tailleurs et qui permet de donner de l’ampleur au niveau du ventre et au bassin et du confort. Cette pratique date environ de 1880 et connut son heure de gloire vers 1930 avec les modes sports.
Dans les années 1930, on met volontiers deux pinces par côté du pantalon, habitude qui se prolonge jusqu’en 1960. Dans les années 1980, cette mode revient, parfois de façon extrême, avec trois pinces !
Les pinces permettent d’apporter un certain confort et de l’aisance au niveau des hanches et du haut de la cuisse. Surtout en position assise.
Une ou deux pinces ? A vous de choisir. Une pince est bien évidemment plus discrète… Deux pinces affirment quant à elles, la personnalité de votre pantalon. Les deux pinces sont également des pantalons plus « sartoriaux »…
Dans les années 1930, on met volontiers deux pinces par côté du pantalon, habitude qui se prolonge jusqu’en 1960. Dans les années 1980, cette mode revient, parfois de façon extrême, avec trois pinces !
Les pinces permettent d’apporter un certain confort et de l’aisance au niveau des hanches et du haut de la cuisse. Surtout en position assise.
Une ou deux pinces ? A vous de choisir. Une pince est bien évidemment plus discrète… Deux pinces affirment quant à elles, la personnalité de votre pantalon. Les deux pinces sont également des pantalons plus « sartoriaux »…
Certaines expériences sartoriales présentent un « pli croisé » sur des pantalons d’hommes, alors que c’était jusque là réservé à la mode féminine.
Dernière grande tendance de l’année selon Frank Zins : les pantalons de la rentrée 2024 font la part belle à toute une palette de marrons, mais notamment des marrons foncés qui avaient quelque peu disparu des catalogues ces dernières années et qui font donc leur grand retour dans une palette « chocolatée » qui va du cacao au moka en passant par le cabosse.
Autre tendance, mais plus marginale : l’arrivée de pantalon blanc ou crème dans des matières hivernales.
Dernière grande tendance de l’année selon Frank Zins : les pantalons de la rentrée 2024 font la part belle à toute une palette de marrons, mais notamment des marrons foncés qui avaient quelque peu disparu des catalogues ces dernières années et qui font donc leur grand retour dans une palette « chocolatée » qui va du cacao au moka en passant par le cabosse.
Autre tendance, mais plus marginale : l’arrivée de pantalon blanc ou crème dans des matières hivernales.
