Cette nouveauté illustre parfaitement le choix de Longines de monter en gamme et donc, d’augmenter son prix de vente moyen. Choix judicieux ou pas, l’avenir le dira.
Toujours est-il que cette nouveauté s’avère intéressante puisqu’elle part d’une pièce historique datant de 1968, mais qu’elle l’habille de matériaux contemporains ; en l’occurrence, le carbone forgé.
Avant de présenter cette pièce en détail, rappelons que le carbone forgé fut utilisé pour la toute première fois en horlogerie en 2007 par Audemars Piguet.
Un matériau que l’on retrouve depuis, régulièrement, dans des éditions spéciales, chez Herbelin par exemple ou encore chez TAG Heuer, Squale, G-Shock, etc. Et dernièrement chez Tissot pour sa PRX, qui, comme Longines appartient au Swatch Group.
Toujours est-il que cette nouveauté s’avère intéressante puisqu’elle part d’une pièce historique datant de 1968, mais qu’elle l’habille de matériaux contemporains ; en l’occurrence, le carbone forgé.
Avant de présenter cette pièce en détail, rappelons que le carbone forgé fut utilisé pour la toute première fois en horlogerie en 2007 par Audemars Piguet.
Un matériau que l’on retrouve depuis, régulièrement, dans des éditions spéciales, chez Herbelin par exemple ou encore chez TAG Heuer, Squale, G-Shock, etc. Et dernièrement chez Tissot pour sa PRX, qui, comme Longines appartient au Swatch Group.
Dans la pratique, des morceaux de fibre de carbone sont imprégnés de résine époxy et durcis dans un autoclave à haute pression et haute température, donnant naissance à un motif unique à l’aspect marbré, reflet de la répartition aléatoire des fibres.
Depuis l’été 2022, date de sa relance, la Longines Ultra-Chron s’inspire d’un modèle de 1968 : l’Ultra-Chron Diver, qui était à l’époque sa toute première montre de plongée dotée d’un calibre battant à haute-fréquence
Il faut savoir qu’il n’y a pas que les calibres Zenith, Patek Philippe, Grand Seiko et quelques autres à battre à haute fréquence. En effet, dès 1959, Longines développait son premier mouvement haute fréquence dans une montre-bracelet. Un chronomètre qui établissait alors de nouveaux records en termes de précision !
C’est pour rendre hommage à ce modèle, mais également pour rappeler toute sa légitimité horlogère que la marque au sablier ailé a lancé cette collection dont le second modèle arrive sur le marché en ce début d’année 2025.
Depuis l’été 2022, date de sa relance, la Longines Ultra-Chron s’inspire d’un modèle de 1968 : l’Ultra-Chron Diver, qui était à l’époque sa toute première montre de plongée dotée d’un calibre battant à haute-fréquence
Il faut savoir qu’il n’y a pas que les calibres Zenith, Patek Philippe, Grand Seiko et quelques autres à battre à haute fréquence. En effet, dès 1959, Longines développait son premier mouvement haute fréquence dans une montre-bracelet. Un chronomètre qui établissait alors de nouveaux records en termes de précision !
C’est pour rendre hommage à ce modèle, mais également pour rappeler toute sa légitimité horlogère que la marque au sablier ailé a lancé cette collection dont le second modèle arrive sur le marché en ce début d’année 2025.
Ce modèle de 43 mm en carbone forgé affiche un poids plume de moins de 80 grammes, montre et bracelet inclus. Il est également étanche jusqu’à 30 bars (300 mètres). La lunette est en titane ; elle est par ailleurs dotée d’un insert en aluminium gravé d'une échelle numérotée de 10 en 10.
La couronne et le fond vissés sont également en titane pour ne pas alourdir l’ensemble. Sous une glace saphir avec traitement antireflet multicouche, le cadran anthracite sablé présente une minuterie marquée par douze index argentés appliqués.
Ces derniers, tout comme les aiguilles des heures et des minutes en PVD gris, sont revêtus de Superluminova à luminescence bleutée.
Côté moteur, cette Longines Ultra-Chron embarque le calibre L836.6, un mouvement haute fréquence « in-house » en collaboration avec ETA. Pour rappel, une montre est dite « haute fréquence » lorsqu’elle est équipée d’un mouvement dont le spiral oscille à 36’000 alternances par heure (10 alternances par seconde).
La couronne et le fond vissés sont également en titane pour ne pas alourdir l’ensemble. Sous une glace saphir avec traitement antireflet multicouche, le cadran anthracite sablé présente une minuterie marquée par douze index argentés appliqués.
Ces derniers, tout comme les aiguilles des heures et des minutes en PVD gris, sont revêtus de Superluminova à luminescence bleutée.
Côté moteur, cette Longines Ultra-Chron embarque le calibre L836.6, un mouvement haute fréquence « in-house » en collaboration avec ETA. Pour rappel, une montre est dite « haute fréquence » lorsqu’elle est équipée d’un mouvement dont le spiral oscille à 36’000 alternances par heure (10 alternances par seconde).
Ces mouvements, pour lesquels Longines a tenu un rôle pionnier en 1914 (pour chronométrer au 1/10e de seconde) et 1916 (pour chronométrer au 1/100e de seconde), ont amélioré la précision du chronométrage.
À partir de 1959, Longines utilisera les mouvements haute fréquence pour augmenter la précision de ses montres. Par ailleurs, le mouvement haute fréquence se révèlerait plus stable étant donné qu’il réduit les effets perturbateurs dus aux chocs ou aux changements de position du mouvement.
Soulignons que la précision de l’Ultra-Chron a été confirmée par TIMELAB, un laboratoire de test indépendant situé à Genève, qui l’a certifiée « chronomètre », une désignation qui va au-delà de la certification habituelle du COSC.
Le processus de qualification teste la tête de montre et soumet le produit fini à une période d’essai de 15 jours au cours de laquelle la montre est soumise à une série de tests à trois températures, 8 °C, 23 °C et 38 °C, confirmant qu’elle répond aux critères stricts de précision (norme ISO 3159:2009). Cette nouveauté est garantie cinq ans (spiral en silicium).
À partir de 1959, Longines utilisera les mouvements haute fréquence pour augmenter la précision de ses montres. Par ailleurs, le mouvement haute fréquence se révèlerait plus stable étant donné qu’il réduit les effets perturbateurs dus aux chocs ou aux changements de position du mouvement.
Soulignons que la précision de l’Ultra-Chron a été confirmée par TIMELAB, un laboratoire de test indépendant situé à Genève, qui l’a certifiée « chronomètre », une désignation qui va au-delà de la certification habituelle du COSC.
Le processus de qualification teste la tête de montre et soumet le produit fini à une période d’essai de 15 jours au cours de laquelle la montre est soumise à une série de tests à trois températures, 8 °C, 23 °C et 38 °C, confirmant qu’elle répond aux critères stricts de précision (norme ISO 3159:2009). Cette nouveauté est garantie cinq ans (spiral en silicium).