Depuis l’annonce de l’Automobile Club de l’Ouest en 2020 d’une nouvelle catégorie « Reine » en Endurance, de nombreux constructeurs ont annoncé leur retour et notamment Peugeot.
La marque française, 3 fois victorieuse aux 24h du Mans (1992, 1993, 2009), a fait sensation avec l’annonce de son prototype Hypercar Hybrid, la 9X8. Avec cette nouvelle catégorie résolument tournée vers le public et avec la reprise des codes esthétiques de la marque, Peugeot marque à nouveau les esprits à l’instar de la présentation de la 905 en 1990 et de la 908 en 2006.
La BL-Endurance, premier modèle de Lorige (qui n’est pas sans évoquer l’univers de Richard Mille mais dix fois moins cher), a nécessité plus de 2 ans de développement dont des phases de tests pour vérifier la fiabilité du calibre LOR-PR01 et valider le retraitement du carbone/carbone.
La marque française, 3 fois victorieuse aux 24h du Mans (1992, 1993, 2009), a fait sensation avec l’annonce de son prototype Hypercar Hybrid, la 9X8. Avec cette nouvelle catégorie résolument tournée vers le public et avec la reprise des codes esthétiques de la marque, Peugeot marque à nouveau les esprits à l’instar de la présentation de la 905 en 1990 et de la 908 en 2006.
La BL-Endurance, premier modèle de Lorige (qui n’est pas sans évoquer l’univers de Richard Mille mais dix fois moins cher), a nécessité plus de 2 ans de développement dont des phases de tests pour vérifier la fiabilité du calibre LOR-PR01 et valider le retraitement du carbone/carbone.
Lorige a pour habitude de réaliser les boîtiers de ses montres (deux modèles à ce jour avant celui-ci) avec des freins ayant participé à des courses ; mais cette fois-ci, profitant du développement de cette nouvelle voiture, la BL-Endurance « Hyperblack », utilise les plaquettes de frein issues des premiers roulages de la Peugeot Hypercar.
Tout comme ce bolide de chez Peugeot Sport, la Lorige BL-Endurance « Hyperblack » -51,6 x 43,6 mm, étanche à 50 mètres- réalise donc ses premiers tours d’aiguilles.
Historiquement, le développement d’une voiture de course s’effectue sans « décoration » extérieure, on peut donc apprécier les courbes des carrosseries en carbone apparent. Il en va de même pour la BL-Endurance « Hyperblack » qui affiche son carbone brut et ses pièces en titane traitées en DLC noir.
De la lunette en titane grade 5 jusqu’aux vis extérieures sur-mesure, toutes les pièces de la montre ont été micro-billées et traitées en noir pour obtenir l’effet monochrome recherché. Par ailleurs, le noir est réhaussé de touches kryptonite et de gris selenium en lien avec l’identité visuelle de Peugeot Sport.
Tout comme ce bolide de chez Peugeot Sport, la Lorige BL-Endurance « Hyperblack » -51,6 x 43,6 mm, étanche à 50 mètres- réalise donc ses premiers tours d’aiguilles.
Historiquement, le développement d’une voiture de course s’effectue sans « décoration » extérieure, on peut donc apprécier les courbes des carrosseries en carbone apparent. Il en va de même pour la BL-Endurance « Hyperblack » qui affiche son carbone brut et ses pièces en titane traitées en DLC noir.
De la lunette en titane grade 5 jusqu’aux vis extérieures sur-mesure, toutes les pièces de la montre ont été micro-billées et traitées en noir pour obtenir l’effet monochrome recherché. Par ailleurs, le noir est réhaussé de touches kryptonite et de gris selenium en lien avec l’identité visuelle de Peugeot Sport.
Clairement visible à 6h, l’indication de réserve de marche, standard de 45h, ainsi que son nom, rappellent que ce modèle est né de l’endurance. On remarque ses index qui rappellent les vibreurs des bords de circuits, pour autant le modèle ne multiplie pas outrancièrement les allusions au domaine des sports mécaniques. Des ponts aux aiguilles, la quasi-totalité des pièces a été traitée en PVD noir.
Pour le développement du mouvement de forme (les amateurs apprécieront), Lorige s’est appuyé sur le savoir-faire d’une manufacture du Jura suisse qui a conçu ce calibre LOR-PR03 à rotor périphérique (294 composants) qui s’annonce comme « exclusif Lorige ». Chaque composant est fabriqué en Suisse. Le montage et l’ajustage sont entièrement réalisés à la main par des artisans qui travaillent dans la plus pure tradition horlogère helvétique.
Le bracelet est en caoutchouc noir et la boucle et la couronne sont réalisées en titane de grade 5 micro-billé traité DLC noir.
Pour le développement du mouvement de forme (les amateurs apprécieront), Lorige s’est appuyé sur le savoir-faire d’une manufacture du Jura suisse qui a conçu ce calibre LOR-PR03 à rotor périphérique (294 composants) qui s’annonce comme « exclusif Lorige ». Chaque composant est fabriqué en Suisse. Le montage et l’ajustage sont entièrement réalisés à la main par des artisans qui travaillent dans la plus pure tradition horlogère helvétique.
Le bracelet est en caoutchouc noir et la boucle et la couronne sont réalisées en titane de grade 5 micro-billé traité DLC noir.