On ne présente plus l’Excellence Petite Seconde, pièce d’entrée de la collection Excellence redessinée en 2020. Elle n’a connu qu’une seule évolution depuis, avec l’ajout d’un second tour de boite, bienvenu, le 39mm s’ajoutant au 42mm d’origine (qui reste un peu large pour de nombreux poignets, notamment pour une montre de ville).
Depuis quatre ans, ce modèle a démontré sa versatilité au travers de nombreuses variations, couleurs, matières (pierres fines, émail grand feu), créations capsules, notamment avec Seconde/Seconde/ et The Horophile.
Elle revient cette année dans deux variations sur un thème cher à Louis Erard : la finition haute horlogerie. Et toujours sur le postulat : rendre les savoir-faire accessibles.
Ces deux nouveautés sont nées sous le signe d’une technique ; une technique ancestrale, qui a connu un âge d’or au XVIIIe siècle, avec des pères qui ont donné leur nom à l’histoire, Abraham-Louis Breguet ou Urban Jürgensen. Cette technique, c’est le guillochage.
Lire aussi : Schwarz Etienne Geometry : somptueux cadrans et belle mécanique
Depuis quatre ans, ce modèle a démontré sa versatilité au travers de nombreuses variations, couleurs, matières (pierres fines, émail grand feu), créations capsules, notamment avec Seconde/Seconde/ et The Horophile.
Elle revient cette année dans deux variations sur un thème cher à Louis Erard : la finition haute horlogerie. Et toujours sur le postulat : rendre les savoir-faire accessibles.
Ces deux nouveautés sont nées sous le signe d’une technique ; une technique ancestrale, qui a connu un âge d’or au XVIIIe siècle, avec des pères qui ont donné leur nom à l’histoire, Abraham-Louis Breguet ou Urban Jürgensen. Cette technique, c’est le guillochage.
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Louis Erard a déjà exploré ce champ par le passé avec une pièce d’artisanat très contemporaine ; l’Excellence Guilloché Main, édition limitée, 2021. L’objectif est cette fois-ci d’explorer la face classique du guillochage, en reprenant certains codes de la haute horlogerie, où le guillochage devient un art très sophistiqué, croisant motifs, couleurs et épargnes.
Ce duo Excellence Petite Seconde Guilloché se pare ainsi d’un cadran en quatre parties. Le centre capte le regard avec son motif drapé, « piège à lumière » où la planéité du cadran se creuse en vagues, évolutives, grandissant depuis le centre. Un effet classique du guillochage flinqué -traditionnellement réalisé au tour.
Ce « tableau central » est cerclé, une transition classique, elle aussi, qui amène vers le grand tour des heures, couvert d’un motif paniers, finement disposés en quinconce, comme des écailles. Enfin, un nouveau cerclage ferme le dessin, suivi d’un tour où le chemin de fer des minutes est décalqué.
Le sous-cadran de la petite seconde perce l’ensemble, à cheval entre les vagues du centre et la corole des index. Reprenant à son tour le motif paniers et le cerclage à chemin de fer -des secondes.
Pour le reste, on retrouve bien évidemment, les caractéristiques Louis Erard : les aiguilles « sapin » signatures, une couronne monogramme et un calibre Sellita d’une réserve de marche standard de 38h seulement (l’un des points sur lesquels L.E. pourrait évoluer d’ailleurs). Cette montre se porte sur un bracelet en cuir de veau grainé avec coutures ton sur ton, doublure en cuir de veau grainé également et boucle ardillon en acier poli et barrettes à ergot pour un changement rapide du bracelet.
Ce duo Excellence Petite Seconde Guilloché se pare ainsi d’un cadran en quatre parties. Le centre capte le regard avec son motif drapé, « piège à lumière » où la planéité du cadran se creuse en vagues, évolutives, grandissant depuis le centre. Un effet classique du guillochage flinqué -traditionnellement réalisé au tour.
Ce « tableau central » est cerclé, une transition classique, elle aussi, qui amène vers le grand tour des heures, couvert d’un motif paniers, finement disposés en quinconce, comme des écailles. Enfin, un nouveau cerclage ferme le dessin, suivi d’un tour où le chemin de fer des minutes est décalqué.
Le sous-cadran de la petite seconde perce l’ensemble, à cheval entre les vagues du centre et la corole des index. Reprenant à son tour le motif paniers et le cerclage à chemin de fer -des secondes.
Pour le reste, on retrouve bien évidemment, les caractéristiques Louis Erard : les aiguilles « sapin » signatures, une couronne monogramme et un calibre Sellita d’une réserve de marche standard de 38h seulement (l’un des points sur lesquels L.E. pourrait évoluer d’ailleurs). Cette montre se porte sur un bracelet en cuir de veau grainé avec coutures ton sur ton, doublure en cuir de veau grainé également et boucle ardillon en acier poli et barrettes à ergot pour un changement rapide du bracelet.