Comme toutes les collab’ Louis Erard, la Petite Seconde Metropolis est avant tout une aventure humaine, née d'un lien étroit entre Amr Sindi –créateur de la plateforme Instagram @TheHorophile, consultant marketing itinérant, producteur de séries limitées indépendant– et Manuel Emch, directeur général de la marque.
Cette nouvelle Metropolis reprend deux codes de La Petite Seconde de la marque, son boîtier en acier de 39 mm (étanche à 50 mètres) et sa couronne signature « LE » ; c’est d’ailleurs le seul endroit où le nom de la marque apparait !
Sur le cadran, comment afficher les chiffres ? Droit ou Circulaire ? Ils seront circulaires, comme posés sur un disque. Le motif du disque devenant à son tour central, travaillé graphiquement en deux dimensions pour souligner les deux espaces d’affichage du temps : le grand cadran heure minute et le sous-cadran de la seconde.
Cette nouvelle Metropolis reprend deux codes de La Petite Seconde de la marque, son boîtier en acier de 39 mm (étanche à 50 mètres) et sa couronne signature « LE » ; c’est d’ailleurs le seul endroit où le nom de la marque apparait !
Sur le cadran, comment afficher les chiffres ? Droit ou Circulaire ? Ils seront circulaires, comme posés sur un disque. Le motif du disque devenant à son tour central, travaillé graphiquement en deux dimensions pour souligner les deux espaces d’affichage du temps : le grand cadran heure minute et le sous-cadran de la seconde.
Le disque est aussi travaillé en trois dimensions, au centre de la montre, avec une série de sillons concentriques, en godrons, pour donner de la matérialité au cadran et accrocher la lumière. Quant aux aiguilles bâtons « Empire », elles reprennent un motif du patrimoine universel : l’Empire State Building, gratte-ciel Art déco emblème même de la modernité.
Là encore, la marque mise sur « l’ultra-détail » : des proportions, étage par étage, des fondations jusqu’à la flèche, et squelettage, au centre. Pour créer au final, une petite skyline mobile sur un disque, pur, sans logo.
Après les trois tonalités chaudes des cadrans précédents : anthracite, saumon et tabac, le duo Louis Erard et The Horophile a décidé d’explorer des nuances moins courues dans l’univers Art Déco, tout en restant en phase avec une vision de l’architecture contemporaine.
Là encore, la marque mise sur « l’ultra-détail » : des proportions, étage par étage, des fondations jusqu’à la flèche, et squelettage, au centre. Pour créer au final, une petite skyline mobile sur un disque, pur, sans logo.
Après les trois tonalités chaudes des cadrans précédents : anthracite, saumon et tabac, le duo Louis Erard et The Horophile a décidé d’explorer des nuances moins courues dans l’univers Art Déco, tout en restant en phase avec une vision de l’architecture contemporaine.
La couleur verte du cadran prend une teinte chaleureuse et changeante avec la lumière avec une base métallique apportant texture et contraste.
Les aiguilles argentées et les chiffres des heures argentés poudrés du cadran rappellent les armatures en acier des bâtiments imposants qui dominent les paysages verdoyants tout en s’y fondant harmonieusement.
Côté moteur, cette montre embarque un calibre Sellita d’une réserve de marche standard de 38h seulement (l’un des points sur lesquels L.E. pourrait évoluer d’ailleurs). Cette Métropolis se porte sur un bracelet en cuir de veau grainé beige sur boucle ardillon en acier poli et barrettes à ergot pour un changement rapide du bracelet.
Les aiguilles argentées et les chiffres des heures argentés poudrés du cadran rappellent les armatures en acier des bâtiments imposants qui dominent les paysages verdoyants tout en s’y fondant harmonieusement.
Côté moteur, cette montre embarque un calibre Sellita d’une réserve de marche standard de 38h seulement (l’un des points sur lesquels L.E. pourrait évoluer d’ailleurs). Cette Métropolis se porte sur un bracelet en cuir de veau grainé beige sur boucle ardillon en acier poli et barrettes à ergot pour un changement rapide du bracelet.