Emmanuel Macron et l’Elysée sont protégés par trois niveaux de surveillance. Tout d’abord la police parisienne qui assure la surveillance et la protection extérieure du palais de l’Elysée. Ensuite, il y a la garde républicaine qui est contrôle les entrées à l’intérieur de l’édifice. Et enfin, il y a le GSPR, la garde rapprochée de Macron qui le suit partout.
Rappelons que cette unité d’élite a été mise en place en 1983 par Christian Prouteau pour assurer alors, la protection de François Mitterrand… et de sa fille Mazarine (encore « secrète » à l’époque). Dans la pratique, il s’agit d’une unité de la police nationale française et de la Gendarmerie nationale avec direction alternée.
Ces hommes (et femmes depuis 1998) ont pour mission, bien évidemment, de protéger le président et sa famille, mais ce sont eux également qui mettent en place les mesures nécessaires à la sécurité de ses déplacements. Bref, le GSPR suit le président Macron pas à pas dans son quotidien, qui peut parfois être quelque peu, disons « agité ».
Rappelons que cette unité d’élite a été mise en place en 1983 par Christian Prouteau pour assurer alors, la protection de François Mitterrand… et de sa fille Mazarine (encore « secrète » à l’époque). Dans la pratique, il s’agit d’une unité de la police nationale française et de la Gendarmerie nationale avec direction alternée.
Ces hommes (et femmes depuis 1998) ont pour mission, bien évidemment, de protéger le président et sa famille, mais ce sont eux également qui mettent en place les mesures nécessaires à la sécurité de ses déplacements. Bref, le GSPR suit le président Macron pas à pas dans son quotidien, qui peut parfois être quelque peu, disons « agité ».
Ce groupe a commencé avec une cinquantaine d’hommes avant de passer à 60 (dont 4 femmes) après l’attentat raté contre Jacques Chirac le 14 juillet 2002. Si Nicolas Sarkozy fait remplacer les gendarmes par des policiers, les militaires seront réintégrés plus tard par François Hollande. Depuis l’élection de Macron, le groupe est constitué de 77 membres.
Désormais, en plus de leur Manurhin MR 73, de leur 357 Magnum, de leur Smith & Wesson et de leur Glock, les hommes du président porteront également à leur poignet une montre de chez MAT Watches. En effet, l’horloger français (pour une fois, la préférence nationale a été respectée et l’Etat n’a pas été choisir un horloger suisse) vient de dévoiler une édition limitée de 150 exemplaires dédiée au GSPR.
Désormais, en plus de leur Manurhin MR 73, de leur 357 Magnum, de leur Smith & Wesson et de leur Glock, les hommes du président porteront également à leur poignet une montre de chez MAT Watches. En effet, l’horloger français (pour une fois, la préférence nationale a été respectée et l’Etat n’a pas été choisir un horloger suisse) vient de dévoiler une édition limitée de 150 exemplaires dédiée au GSPR.
Plus précisément, il s’agit d’un modèle doté d’un boitier en acier de 42 mm étanche à 200 mètres. Le cadran noir arbore des index associés à de larges aiguilles recouverts de matière luminescente. La date apparait de manière traditionnelle à 3h tandis que le logo du GSPR a été placé à 6h, souligné d’une touche discrète mais présente de bleu, de blanc et de rouge. Une lunette noire 12h bidirectionnelle complète l’ensemble. Le logo est également gravé sur le fond de boite.
Cette « trois aiguilles-date » est équipée d’un calibre mécanique automatique swiss made éprouvé, le fameux ETA 2824-2 avec une réserve de marche d’une quarantaine d’heures. Point important, les montres sont assemblées à Paris, d’où le fait qu’elles puissent revendiquer le « Fabriqué en France » qui apparait au bas du cadran. Compter dans les 1.650 euros. Livrée avec trois bracelets comme toujours chez MAT Watches.
*il s’agit de la deuxième série limitée MAT Watches pour le GSPR, la première datant de 2006 (modèle quartz à l’époque).
Cette « trois aiguilles-date » est équipée d’un calibre mécanique automatique swiss made éprouvé, le fameux ETA 2824-2 avec une réserve de marche d’une quarantaine d’heures. Point important, les montres sont assemblées à Paris, d’où le fait qu’elles puissent revendiquer le « Fabriqué en France » qui apparait au bas du cadran. Compter dans les 1.650 euros. Livrée avec trois bracelets comme toujours chez MAT Watches.
*il s’agit de la deuxième série limitée MAT Watches pour le GSPR, la première datant de 2006 (modèle quartz à l’époque).