Cette horloge neuchâteloise a été développée par le professeur Simon Henein, titulaire de la chaire Patek Philippe de l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) et son équipe, au sein du laboratoire de conception micromécanique et horlogère (Instant-Lab) à Neuchâtel (Microcity) est dotée de l'oscillateur unidirectionnel IsoSpring qui fonctionne sans échappement.
Comme le souligne le communiqué du MIH, « ce mécanisme ouvre la porte à des améliorations considérables des performances en termes de rendement et de précision. Son concept, présenté publiquement en 2014, s'est matérialisé en décembre 2016 sous la forme d'une horloge mécanique exposée dans la Salle des Pas Perdus de l'Hôtel de Ville de Neuchâtel ».
Comme le souligne le communiqué du MIH, « ce mécanisme ouvre la porte à des améliorations considérables des performances en termes de rendement et de précision. Son concept, présenté publiquement en 2014, s'est matérialisé en décembre 2016 sous la forme d'une horloge mécanique exposée dans la Salle des Pas Perdus de l'Hôtel de Ville de Neuchâtel ».
Cet oscillateur est doté d’un mouvement de translation décrivant des orbites continues ; il en résulte que l’aiguille des secondes avance sans interruption et que l’horloge fonctionne sans émettre le fameux « tic-tac » caractéristique des horloges mécaniques depuis des siècles.
La deuxième pièce de démonstration, dont la conception vient juste d'être achevée, est basée sur un oscillateur IsoSpring constitué cette fois d’une sphère suspendue par quatre tiges flexibles qui pivote sur elle-même dans deux directions, à la manière d’un œil dans son orbite.
Cette variante de l’oscillateur rend l’horloge insensible aux défauts d’alignement avec la verticale. Cette dernière a trouvé sa place à l'entrée de l'exposition « La Neuchâteloise » du MIH, en clin d'œil à la cinquantaine de pendules historiques présentées pour l'occasion.
A voir du mardi au dimanche, de 10h à 17h, jusqu'au 8 octobre 2017.
La deuxième pièce de démonstration, dont la conception vient juste d'être achevée, est basée sur un oscillateur IsoSpring constitué cette fois d’une sphère suspendue par quatre tiges flexibles qui pivote sur elle-même dans deux directions, à la manière d’un œil dans son orbite.
Cette variante de l’oscillateur rend l’horloge insensible aux défauts d’alignement avec la verticale. Cette dernière a trouvé sa place à l'entrée de l'exposition « La Neuchâteloise » du MIH, en clin d'œil à la cinquantaine de pendules historiques présentées pour l'occasion.
A voir du mardi au dimanche, de 10h à 17h, jusqu'au 8 octobre 2017.