Des chaussures élégantes et entretenues, un pantalon bien coupé, une veste qui ne soit ridiculement trop courte, une chemise au col équilibré et une cravate, sont les bases de cette élégance masculine que certains créateurs contemporains s’évertuent à faire disparaître. Sans parler des blogueuses de tout poil qui pensent être compétente en matière de mode masculine.
Mais, il est un autre élément du vestiaire masculin qui tend à disparaître également : c’est la pochette. De plus en plus rare, elle est, il est vrai, la traduction d’un certain dandysme. Dans sa version la plus rigoureuse, il s’agit d’un simple mouchoir blanc que l’on glisse dans la poche de veste. Il peut être plié droit ou à deux ou trois pointes mais cela est réservé à une tenue particulièrement formelle.
Dans un esprit plus ludique, égayer sa tenue d’une pochette imprimée, en soie ou en coton, apporte une touche de raffinement à la veste la plus banale. Cela, sans paraître ostentatoire ni être à contre-emploi.
Mais, il est un autre élément du vestiaire masculin qui tend à disparaître également : c’est la pochette. De plus en plus rare, elle est, il est vrai, la traduction d’un certain dandysme. Dans sa version la plus rigoureuse, il s’agit d’un simple mouchoir blanc que l’on glisse dans la poche de veste. Il peut être plié droit ou à deux ou trois pointes mais cela est réservé à une tenue particulièrement formelle.
Dans un esprit plus ludique, égayer sa tenue d’une pochette imprimée, en soie ou en coton, apporte une touche de raffinement à la veste la plus banale. Cela, sans paraître ostentatoire ni être à contre-emploi.
Bien sûr, les réflexions de quelques incultes se feront entendre, mais être bien habillé est en priorité un plaisir personnel. On s’habille d’abord pour soi ! Si les pochettes en soie que l’on pouvait se procurer chez Anam ou au Cyclamen sont aujourd’hui des pièces de collection, on peut trouver chez Hermès à Paris, chez Anderson & Sheppard ou chez Drakes à Londres, de jolis petits carrés qui conviennent parfaitement à cet usage.
Outre ces belles maisons, on a parfois la surprise de découvrir d’autres sources d’élégances. Ainsi la Maison Fétiche qui a été créée par Caroline Basuyau, propose une série d’accessoires et de foulards mais aussi des petits carrés de 30 cm qui conviennent parfaitement à la confection d’une pochette.
Les motifs sont dessinés par Caroline Basuyau qui est également peintre. La faune et la flore sont la principale source d’inspiration de ses créations textiles. Sa série en hommage aux carpes Koï s’adapte particulièrement au format d’une pochette. Vendues en coffrets de trois pièces (152 euros) ou à l’unité (68 euros), elles sont l’occasion de redonner un peu d’élégance à papa !
Un dernier conseil, une pochette ne doit absolument jamais être assortie à la cravate.
Joël Chassaing-Cuvillier
www.maisonfetiche.com
Outre ces belles maisons, on a parfois la surprise de découvrir d’autres sources d’élégances. Ainsi la Maison Fétiche qui a été créée par Caroline Basuyau, propose une série d’accessoires et de foulards mais aussi des petits carrés de 30 cm qui conviennent parfaitement à la confection d’une pochette.
Les motifs sont dessinés par Caroline Basuyau qui est également peintre. La faune et la flore sont la principale source d’inspiration de ses créations textiles. Sa série en hommage aux carpes Koï s’adapte particulièrement au format d’une pochette. Vendues en coffrets de trois pièces (152 euros) ou à l’unité (68 euros), elles sont l’occasion de redonner un peu d’élégance à papa !
Un dernier conseil, une pochette ne doit absolument jamais être assortie à la cravate.
Joël Chassaing-Cuvillier
www.maisonfetiche.com