En 46 av. JC, Sosigène, astronome originaire d’Alexandrie, a mis au point les principes de base du calendrier que nous utilisons aujourd’hui. Il a divisé l’année en douze mois : sept mois de 31 jours, quatre mois de 30 jours et un mois de 29 jours, soit un total de 365,25 jours par an, avec un jour supplémentaire tous les quatre ans pour corriger le manque.
Ce système s’est alors répandu dans le monde de l’époque grâce au grand empereur romain Jules César. Cependant, ce calendrier « julien » comportait une erreur de 0,0078 jours par an. Cette divergence fut rectifiée en 1582 par le Pape Grégoire XIII. Le système auquel il a donné son nom ignore une année bissextile tous les 100 ans, à l’exception des siècles complets, où le nombre d’années est divisible par 400.
Le calendrier grégorien est encore usité de nos jours et constitue la base de notre mesure du temps. Les problèmes engendrés par les mois dont la longueur varie, particulièrement durant les années bissextiles, sont bien
connus de quiconque porte une montre mécanique avec affichage de la date. Parce que les mécanismes de calendrier normaux et simples passent toujours du 30è au 31è jour du mois en moins de 31 jours, la date doit être manuellement réglée sur le 1er.
Avec un quantième perpétuel, en revanche, le mouvement est en mesure de procéder lui-même à ces changements correctement, même en tenant compte des années bissextiles. Sa complexité fait de ce mécanisme l’une des disciplines par excellence de l’horlogerie, que l’on désigne sous le terme de « grande complication ». Aucune correction manuelle ne sera nécessaire jusqu’en 2100, date à laquelle il manque, comme pour toutes les années divisibles par 100 mais pas par 400, une année bissextile.
Ce système s’est alors répandu dans le monde de l’époque grâce au grand empereur romain Jules César. Cependant, ce calendrier « julien » comportait une erreur de 0,0078 jours par an. Cette divergence fut rectifiée en 1582 par le Pape Grégoire XIII. Le système auquel il a donné son nom ignore une année bissextile tous les 100 ans, à l’exception des siècles complets, où le nombre d’années est divisible par 400.
Le calendrier grégorien est encore usité de nos jours et constitue la base de notre mesure du temps. Les problèmes engendrés par les mois dont la longueur varie, particulièrement durant les années bissextiles, sont bien
connus de quiconque porte une montre mécanique avec affichage de la date. Parce que les mécanismes de calendrier normaux et simples passent toujours du 30è au 31è jour du mois en moins de 31 jours, la date doit être manuellement réglée sur le 1er.
Avec un quantième perpétuel, en revanche, le mouvement est en mesure de procéder lui-même à ces changements correctement, même en tenant compte des années bissextiles. Sa complexité fait de ce mécanisme l’une des disciplines par excellence de l’horlogerie, que l’on désigne sous le terme de « grande complication ». Aucune correction manuelle ne sera nécessaire jusqu’en 2100, date à laquelle il manque, comme pour toutes les années divisibles par 100 mais pas par 400, une année bissextile.
Pour tous les adeptes de ce chef d’oeuvre traditionnel de l’art horloger, la marque Carl F. Bucherer présente le nouveau Manero ChronoPerpetual.
Ses capacités sont néanmoins loin de se limiter au quantième perpétuel qui ne nécessite aucune correction avec un affichage de la date à 12 heures, du jour de la semaine à 6 heures, du mois et de l’année bissextile à 9 heures et de la phase de lune à 3 heures.
En effet, le module fonctionnel spécialement conçu pour Carl F. Bucherer comporte également un chronographe doublé de la fonction flyback. Une échelle tachymétrique vient compléter la gamme de fonctions pratiques.
Un mouvement de manufacture Vaucher, à la décoration contemporaine, constitue une base exclusive. En dépit de cette multiplicité de fonctions et d’affichages, Carl F. Bucherer n’a pas épargné la lisibilité optimale du cadran sur le Manero ChronoPerpetual. « Les créateurs ont dû soulever ce défi en rendant le design aussi généreux que possible et en intégrant différentes finitions de niveaux et de surface » souligne la marque dans son communiqué.
Les compteurs du chronographe pour les heures (6 heures) et les minutes (9 heures) ainsi que l’aiguille des petites secondes (12 heures) ont été clairement intégrés aux affichages du calendrier ; des lignes noires marquent la délimitation nécessaire entre les affichages. Une aiguille étroite au centre indique les secondes arrêtées.
Grâce aux index réglages en forme de cale, les lettres et les nombres -si caractéristiques de Carl F. Bucherer- et les aiguilles des heures et des minutes bombées enduites de Superluminova, la complication traditionnelle du quantième perpétuel a été réinterprétée pour notre époque.
Les aiguilles du chronographe sont d’un noir discret. Le centre du cadran argenté classique est mat, tandis que les compteurs du chronographe et l’anneau à division des minutes sont brossés, ce qui crée un jeu de lumières attractif. L’indication de la phase de lune se targue aussi d’un design contemporain, avec un fond de couleur anthracite et un disque de lune argenté.
Pour le boîtier, la finition en satin et les éléments polis marquent un contraste intéressant, les barrettes sont plus angulaires que sur les modèles précédents, la lunette est de forme concave tandis que le verre saphir est bombé, la couronne et les poussoirs du chronographe poli sont tout simplement élégants. Le fond du boîtier en verre saphir permet de voir clairement ce bijou mécanique à la masse oscillante en or rose 22 carats.
Dernier point, l’exclusivité du Manero ChronoPerpetual est renforcée par son édition strictement limitée : 150 pièces ont été réalisées en acier, tandis que la version en or rose se limite à 100 pièces uniques dans le monde entier.
Ses capacités sont néanmoins loin de se limiter au quantième perpétuel qui ne nécessite aucune correction avec un affichage de la date à 12 heures, du jour de la semaine à 6 heures, du mois et de l’année bissextile à 9 heures et de la phase de lune à 3 heures.
En effet, le module fonctionnel spécialement conçu pour Carl F. Bucherer comporte également un chronographe doublé de la fonction flyback. Une échelle tachymétrique vient compléter la gamme de fonctions pratiques.
Un mouvement de manufacture Vaucher, à la décoration contemporaine, constitue une base exclusive. En dépit de cette multiplicité de fonctions et d’affichages, Carl F. Bucherer n’a pas épargné la lisibilité optimale du cadran sur le Manero ChronoPerpetual. « Les créateurs ont dû soulever ce défi en rendant le design aussi généreux que possible et en intégrant différentes finitions de niveaux et de surface » souligne la marque dans son communiqué.
Les compteurs du chronographe pour les heures (6 heures) et les minutes (9 heures) ainsi que l’aiguille des petites secondes (12 heures) ont été clairement intégrés aux affichages du calendrier ; des lignes noires marquent la délimitation nécessaire entre les affichages. Une aiguille étroite au centre indique les secondes arrêtées.
Grâce aux index réglages en forme de cale, les lettres et les nombres -si caractéristiques de Carl F. Bucherer- et les aiguilles des heures et des minutes bombées enduites de Superluminova, la complication traditionnelle du quantième perpétuel a été réinterprétée pour notre époque.
Les aiguilles du chronographe sont d’un noir discret. Le centre du cadran argenté classique est mat, tandis que les compteurs du chronographe et l’anneau à division des minutes sont brossés, ce qui crée un jeu de lumières attractif. L’indication de la phase de lune se targue aussi d’un design contemporain, avec un fond de couleur anthracite et un disque de lune argenté.
Pour le boîtier, la finition en satin et les éléments polis marquent un contraste intéressant, les barrettes sont plus angulaires que sur les modèles précédents, la lunette est de forme concave tandis que le verre saphir est bombé, la couronne et les poussoirs du chronographe poli sont tout simplement élégants. Le fond du boîtier en verre saphir permet de voir clairement ce bijou mécanique à la masse oscillante en or rose 22 carats.
Dernier point, l’exclusivité du Manero ChronoPerpetual est renforcée par son édition strictement limitée : 150 pièces ont été réalisées en acier, tandis que la version en or rose se limite à 100 pièces uniques dans le monde entier.
Spécificités techniques du Manero ChronoPerpetual Carl F. Bucherer
Mouvement : automatique, calibre CFB 1904, diamètre 30 mm, hauteur 7,6 mm, 49 rubis,
Réserve de marche : 50 heures
Fonctions : chronographe, flyback, calendrier perpétuel avec affichage de la date, du jour, du mois, de l’année bissextile et de la phase de lune
Boîtier : or rose 18 K, glace saphir bombé antireflet sur les deux faces, fond de boîte avec verre saphir, diamètre 42,5 mm, hauteur 14,3 mm
Etanche jusqu’à 30 m (3 atm)
Bracelet : cuir d’alligator de Louisiane, cousu main, fermoir à ardillon or rose 18 K
Edition limitée : 100 pièces
Numéro de référence: 00.10906.03.13.01
Variantes : 00.10906.08.13.01 boîtier en acier, cuir d’alligator de Louisiane, cousu main, fermoir à ardillon en acier, édition limitée de 150 pièces
Réserve de marche : 50 heures
Fonctions : chronographe, flyback, calendrier perpétuel avec affichage de la date, du jour, du mois, de l’année bissextile et de la phase de lune
Boîtier : or rose 18 K, glace saphir bombé antireflet sur les deux faces, fond de boîte avec verre saphir, diamètre 42,5 mm, hauteur 14,3 mm
Etanche jusqu’à 30 m (3 atm)
Bracelet : cuir d’alligator de Louisiane, cousu main, fermoir à ardillon or rose 18 K
Edition limitée : 100 pièces
Numéro de référence: 00.10906.03.13.01
Variantes : 00.10906.08.13.01 boîtier en acier, cuir d’alligator de Louisiane, cousu main, fermoir à ardillon en acier, édition limitée de 150 pièces