Entre le titane et l’horlogerie, c’est une longue histoire… Si le titane fut découvert à la fin du 18ème siècle par le professeur Martin Heinrich Klaporth, ce n’est que dans les années 70 qu’il apparait pour la toute première fois dans l’industrie horlogère.
Et non pas chez les Suisses, mais chez les Japonais. C’est en effet Citizen qui fut le tout premier horloger au monde à produire et commercialiser une montre avec un boitier en titane ! Ce n’est que dix ans plus tard, dans les années 80, que les Suisses, et plus précisément IWC intègrera ce métal pour la première fois dans une montre avec la présentation de son fameux modèle IWC Porsche Design Titan Chronograph.
Le titane est un métal léger (env. 30% de moins que l’acier), brillant, hypoallergénique, antimagnétique et résiste à la corrosion et aux acides. Les grades 1 et 2, les plus faciles à forger demeurent les plus utilisés ; ils offrent un bon compromis entre solidité, élasticité, résistance à la corrosion et demeure plus facile à souder.
Le grade 5 (celui qui est utilisé pour cette nouvelle March LAB) est quant à lui, complexe à forger et à souder ; mais il est doté d’une résistance exceptionnelle. Ce dernier peut être nettoyé mais également poli, atout non négligeable dans le secteur de l’horlogerie et de la bijouterie.
C’est donc dans ce métal que March LAB propose cette AM2 de 39mm, étanche à 100 mètres (couronne vissée à 4h). Une AM2 au design monochrome, où le cadran, le boitier, le bracelet et les aiguilles arborent la « même couleur ». Ce titane a été traité anti-traces et s’avère donc plus résistant aux rayures.
Son poids passe en dessous des cent grammes (91 grammes) au total. Elle est équipée d’un bracelet également en titane, intégré. Elle pèse 39 grammes de moins qu’une version standard en acier !
La couleur de son cadran est gris mat guilloché avec les lignes signatures entrelacées du logo March LA.B. Un verre saphir bombé -rabaissé de 0,9 mm pour affiner l’ensemble et atteindre une épaisseur totale de 11,5 mm- protège l’ensemble.
Côté « moteur », cette montre « poids plume » embarque le fameux calibre franco-suisse G100 de Lajoux-Perret entièrement monté à Besançon. Ce mouvement de dernière génération évolue à la fréquence de 28800 alt/h avec une réserve de marche de 68h soit près de 3 jours -donc largement week-end proof.
Une montre efficace au design contemporain dotée d’un excellent rapport qualité-prix. Et française de surcroit.
Et non pas chez les Suisses, mais chez les Japonais. C’est en effet Citizen qui fut le tout premier horloger au monde à produire et commercialiser une montre avec un boitier en titane ! Ce n’est que dix ans plus tard, dans les années 80, que les Suisses, et plus précisément IWC intègrera ce métal pour la première fois dans une montre avec la présentation de son fameux modèle IWC Porsche Design Titan Chronograph.
Le titane est un métal léger (env. 30% de moins que l’acier), brillant, hypoallergénique, antimagnétique et résiste à la corrosion et aux acides. Les grades 1 et 2, les plus faciles à forger demeurent les plus utilisés ; ils offrent un bon compromis entre solidité, élasticité, résistance à la corrosion et demeure plus facile à souder.
Le grade 5 (celui qui est utilisé pour cette nouvelle March LAB) est quant à lui, complexe à forger et à souder ; mais il est doté d’une résistance exceptionnelle. Ce dernier peut être nettoyé mais également poli, atout non négligeable dans le secteur de l’horlogerie et de la bijouterie.
C’est donc dans ce métal que March LAB propose cette AM2 de 39mm, étanche à 100 mètres (couronne vissée à 4h). Une AM2 au design monochrome, où le cadran, le boitier, le bracelet et les aiguilles arborent la « même couleur ». Ce titane a été traité anti-traces et s’avère donc plus résistant aux rayures.
Son poids passe en dessous des cent grammes (91 grammes) au total. Elle est équipée d’un bracelet également en titane, intégré. Elle pèse 39 grammes de moins qu’une version standard en acier !
La couleur de son cadran est gris mat guilloché avec les lignes signatures entrelacées du logo March LA.B. Un verre saphir bombé -rabaissé de 0,9 mm pour affiner l’ensemble et atteindre une épaisseur totale de 11,5 mm- protège l’ensemble.
Côté « moteur », cette montre « poids plume » embarque le fameux calibre franco-suisse G100 de Lajoux-Perret entièrement monté à Besançon. Ce mouvement de dernière génération évolue à la fréquence de 28800 alt/h avec une réserve de marche de 68h soit près de 3 jours -donc largement week-end proof.
Une montre efficace au design contemporain dotée d’un excellent rapport qualité-prix. Et française de surcroit.