Les premiers succès de Martin Fuchs s’inscrivent dans une histoire de famille –il faudrait même dire : dans l’histoire d’une dynastie.
Car cela fait déjà trois générations que l’on retrouve chez les Fuchs une même passion pour le sport hippique de haut niveau. En 1965, le grand-père de Martin ouvrait un centre équestre près de Zurich en Suisse. Il communique alors à ses deux fils son amour des chevaux, du dressage et de la compétition.
L’aîné, Markus, devient champion d’Europe junior de saut d’obstacles à 15 ans : il se lance ensuite dans une brillante carrière internationale, jalonnée de nombreuses médailles en coupe du monde et aux Jeux olympiques.
Le cadet, Thomas, extrêmement doué, entame lui aussi une carrière de sportif de haut niveau et transmet la passion familiale à son fils cadet, Martin, né en 1992. Le garçon a de qui tenir, puisque sa mère, Renata, est elle-même une ancienne championne de Suisse de saut.
Martin commence à monter très jeune, dès l’âge de 6 ans. Ses premières compétitions, c’est à poney qu’il les remporte. À cheval, sa précocité est tout aussi impressionnante : à 14 ans, en 2006, à Istanbul, le voici vice-champion d’Europe de saut dans la catégorie « enfants » ; les deux années suivantes, il remporte la médaille de bronze aux championnats d’Europe juniors, et en 2010, c’est l’or qu’il décroche au Jeux olympiques de la jeunesse à Singapour.
Depuis qu’il a atteint sa majorité, en juillet dernier, Martin est entré au classement mondial de la Fédération Internationale d’Équitation à la 108e place, pour grimper quelques mois plus tard dans les 100 premiers. Et ce n’est, bien sûr, qu’un début. Parmi ses prochains objectifs : les championnats d’Europe de saut pour jeunes cavaliers à Comporta au Portugal en juillet 2011.
C’est parce qu’il s’est inscrit dans une véritable tradition familiale que le parcours de Martin Fuchs a démarré de manière si fulgurante. Cette confiance en l’expérience accumulée par ceux qui l’ont précédé s’est manifestée aussi dans le choix de ses montures, puisque Martin a remporté plusieurs compétitions en montant des chevaux expérimentés, comme Idéo du Thot ou Riot Gun, deux fois champion de Suisse.
Voilà une première affinité qui lie le jeune champion à la Manufacture Zenith, elle-même fière de perpétuer une tradition de haute horlogerie de près d’un siècle et demi. Le parallèle peut être poussé plus loin. Discipline reine de l’équitation, le saut d’obstacles nécessite l’alliance de qualités bien particulières.
Pour réaliser des sauts parfaits, le cavalier doit d’abord contrôler parfaitement la puissance de sa monture, en maîtriser la trajectoire et la vitesse, évaluer sans erreur le nombre de foulées qui le séparent de l’obstacle… Tout ceci est un travail d’extrême précision –qualité primordiale, évidemment, dans le monde de l’horlogerie.
Cette précision, le cavalier ne peut espérer l’atteindre que s’il a tissé une entente parfaite avec sa monture : cela se prépare en amont de la compétition, par un dressage le plus fin possible.
Car cela fait déjà trois générations que l’on retrouve chez les Fuchs une même passion pour le sport hippique de haut niveau. En 1965, le grand-père de Martin ouvrait un centre équestre près de Zurich en Suisse. Il communique alors à ses deux fils son amour des chevaux, du dressage et de la compétition.
L’aîné, Markus, devient champion d’Europe junior de saut d’obstacles à 15 ans : il se lance ensuite dans une brillante carrière internationale, jalonnée de nombreuses médailles en coupe du monde et aux Jeux olympiques.
Le cadet, Thomas, extrêmement doué, entame lui aussi une carrière de sportif de haut niveau et transmet la passion familiale à son fils cadet, Martin, né en 1992. Le garçon a de qui tenir, puisque sa mère, Renata, est elle-même une ancienne championne de Suisse de saut.
Martin commence à monter très jeune, dès l’âge de 6 ans. Ses premières compétitions, c’est à poney qu’il les remporte. À cheval, sa précocité est tout aussi impressionnante : à 14 ans, en 2006, à Istanbul, le voici vice-champion d’Europe de saut dans la catégorie « enfants » ; les deux années suivantes, il remporte la médaille de bronze aux championnats d’Europe juniors, et en 2010, c’est l’or qu’il décroche au Jeux olympiques de la jeunesse à Singapour.
Depuis qu’il a atteint sa majorité, en juillet dernier, Martin est entré au classement mondial de la Fédération Internationale d’Équitation à la 108e place, pour grimper quelques mois plus tard dans les 100 premiers. Et ce n’est, bien sûr, qu’un début. Parmi ses prochains objectifs : les championnats d’Europe de saut pour jeunes cavaliers à Comporta au Portugal en juillet 2011.
C’est parce qu’il s’est inscrit dans une véritable tradition familiale que le parcours de Martin Fuchs a démarré de manière si fulgurante. Cette confiance en l’expérience accumulée par ceux qui l’ont précédé s’est manifestée aussi dans le choix de ses montures, puisque Martin a remporté plusieurs compétitions en montant des chevaux expérimentés, comme Idéo du Thot ou Riot Gun, deux fois champion de Suisse.
Voilà une première affinité qui lie le jeune champion à la Manufacture Zenith, elle-même fière de perpétuer une tradition de haute horlogerie de près d’un siècle et demi. Le parallèle peut être poussé plus loin. Discipline reine de l’équitation, le saut d’obstacles nécessite l’alliance de qualités bien particulières.
Pour réaliser des sauts parfaits, le cavalier doit d’abord contrôler parfaitement la puissance de sa monture, en maîtriser la trajectoire et la vitesse, évaluer sans erreur le nombre de foulées qui le séparent de l’obstacle… Tout ceci est un travail d’extrême précision –qualité primordiale, évidemment, dans le monde de l’horlogerie.
Cette précision, le cavalier ne peut espérer l’atteindre que s’il a tissé une entente parfaite avec sa monture : cela se prépare en amont de la compétition, par un dressage le plus fin possible.