C’est en 1992 que la Grande Maison de la Vallée de Joux a introduit cette ligne d’inspiration classique qui porte le nom d’une impitoyable série de tests, le Contrôle des 1000 heures, introduit la même année afin de garantir la fiabilité, la robustesse et la précision de ses garde-temps, dans les conditions les plus extrêmes.
En 1833, Antoine LeCoultre, fonde son propre établissement au Sentier afin de se consacrer à la production de composants horlogers. Il vient de mettre au point une machine révolutionnaire pour tailler les pignons, un élément clé des mécanismes horlogers. Il s’agit là d’une avancée décisive, qui ouvre la voie à la standardisation des mouvements et à la fabrication en série.
Ce premier pas hors des sentiers battus a valeur d’exemple, car il demeure aujourd’hui encore source d’inspiration pour ses successeurs. Antoine LeCoultre n’accueille pas le succès qui couronne ses premiers efforts comme une incitation au repos, tout au contraire. Il étend sa production aux autres composants des garde-temps et ne cesse de réfléchir à de nouveaux moyens pour accroître la qualité de fabrication.
Dix ans se sont à peine écoulés au moment où il met au point le millionomètre, le premier instrument de l’histoire capable de réaliser des mesures avec une exactitude d’un seul micron, la millionième partie du mètre.
La portée de cette invention est considérable. Hormis un formidable gain en précision, elle permet en effet d’intégrer aux montres de poche des complications qui appartenaient jusqu’alors au domaine du rêve. Les nouvelles réalisations suscitent l’enthousiasme et la Vallée de Joux, gagne bientôt le surnom de « Vallée des Complications » !
En 2004, le Gyrotourbillon a ouvert les feux avec le premier tourbillon sphérique au monde. Quatre ans plus tard, la Grande Maison de la Vallée de Joux levait le voile sur la Reverso Gyrotourbillon, premier tourbillon tridimensionnel à comporter un spiral cylindrique.
Douze mois s’étaient à peine écoulés que Jaeger-LeCoultre présentait la Master Grande Tradition Grande Complication qui associe un tourbillon volant et des indications célestes sous la forme d’un calendrier zodiacal sidéral.
Il y a six ans, la Master Tourbillon réalisait un retour aux sources du tourbillon dont la fonction première consiste à optimiser la précision et la fiabilité d’un garde-temps en compensant les effets préjudiciables de la force de gravité sur l’organe réglant.
Son tourbillon se distingue par ses dimensions généreuses et sa haute fréquence de 28 800 alternances par heure. Il possède aussi une cage en titane d’une légèreté diaphane car elle n’accuse que très exactement 0,33 gramme lorsqu’elle est déposée sur une balance, un atout indéniable afin de réduire l’énergie exigée d’un barillet dont le remontage est assuré par un rotor monté sur des billes en céramique. Cet instrument de haute précision a remporté le premier prix du Concours international de chronométrie organisé en 2009.
Dans cette exécution (celle de 2012), le tourbillon est maintenu par un pont en filigrane qui laisse découvrir son orbite. Sur un cadran coquille d’oeuf, des index appliqués en or rose conservent la modestie requise afin de ne pas distraire le regard du centre d’attention. Les aiguilles des heures et des minutes en or accompagnent la petite seconde à 6 heures qui, solidaire des évolutions du tourbillon, accomplit un tour complet toutes les minutes.
Afin de rendre hommage à cette prouesse artistique et technologique, la Manufacture Jaeger-LeCoultre proposera la Master Ultra Thin Tourbillon uniquement avec un boîtier en or rose d’un diamètre de 40 mm, à l’extraordinaire minceur de 11,3 millimètres.
En 1833, Antoine LeCoultre, fonde son propre établissement au Sentier afin de se consacrer à la production de composants horlogers. Il vient de mettre au point une machine révolutionnaire pour tailler les pignons, un élément clé des mécanismes horlogers. Il s’agit là d’une avancée décisive, qui ouvre la voie à la standardisation des mouvements et à la fabrication en série.
Ce premier pas hors des sentiers battus a valeur d’exemple, car il demeure aujourd’hui encore source d’inspiration pour ses successeurs. Antoine LeCoultre n’accueille pas le succès qui couronne ses premiers efforts comme une incitation au repos, tout au contraire. Il étend sa production aux autres composants des garde-temps et ne cesse de réfléchir à de nouveaux moyens pour accroître la qualité de fabrication.
Dix ans se sont à peine écoulés au moment où il met au point le millionomètre, le premier instrument de l’histoire capable de réaliser des mesures avec une exactitude d’un seul micron, la millionième partie du mètre.
La portée de cette invention est considérable. Hormis un formidable gain en précision, elle permet en effet d’intégrer aux montres de poche des complications qui appartenaient jusqu’alors au domaine du rêve. Les nouvelles réalisations suscitent l’enthousiasme et la Vallée de Joux, gagne bientôt le surnom de « Vallée des Complications » !
En 2004, le Gyrotourbillon a ouvert les feux avec le premier tourbillon sphérique au monde. Quatre ans plus tard, la Grande Maison de la Vallée de Joux levait le voile sur la Reverso Gyrotourbillon, premier tourbillon tridimensionnel à comporter un spiral cylindrique.
Douze mois s’étaient à peine écoulés que Jaeger-LeCoultre présentait la Master Grande Tradition Grande Complication qui associe un tourbillon volant et des indications célestes sous la forme d’un calendrier zodiacal sidéral.
Il y a six ans, la Master Tourbillon réalisait un retour aux sources du tourbillon dont la fonction première consiste à optimiser la précision et la fiabilité d’un garde-temps en compensant les effets préjudiciables de la force de gravité sur l’organe réglant.
Son tourbillon se distingue par ses dimensions généreuses et sa haute fréquence de 28 800 alternances par heure. Il possède aussi une cage en titane d’une légèreté diaphane car elle n’accuse que très exactement 0,33 gramme lorsqu’elle est déposée sur une balance, un atout indéniable afin de réduire l’énergie exigée d’un barillet dont le remontage est assuré par un rotor monté sur des billes en céramique. Cet instrument de haute précision a remporté le premier prix du Concours international de chronométrie organisé en 2009.
Dans cette exécution (celle de 2012), le tourbillon est maintenu par un pont en filigrane qui laisse découvrir son orbite. Sur un cadran coquille d’oeuf, des index appliqués en or rose conservent la modestie requise afin de ne pas distraire le regard du centre d’attention. Les aiguilles des heures et des minutes en or accompagnent la petite seconde à 6 heures qui, solidaire des évolutions du tourbillon, accomplit un tour complet toutes les minutes.
Afin de rendre hommage à cette prouesse artistique et technologique, la Manufacture Jaeger-LeCoultre proposera la Master Ultra Thin Tourbillon uniquement avec un boîtier en or rose d’un diamètre de 40 mm, à l’extraordinaire minceur de 11,3 millimètres.
Le contrôle des 1.000 heures
Les inventions et les perfectionnements réalisés par la Manufacture s’attachent à tous les aspects de l’horlogerie afin de porter à des sommets inédits la beauté, la fiabilité et les performances des garde-temps.
Il y a exactement deux décennies, pour tester dans les moindres détails et dans les circonstances les plus improbables la qualité et la robustesse de ses créations horlogères, Jaeger-LeCoultre instaure une rigoureuse procédure de contrôle, le test de 1000 heures.
Chaque exemplaire de la nouvelle ligne dévoilée cette même année n’est autorisé à quitter les ateliers de la Manufacture que s’il est doté d’un certificat signé par le maître horloger responsable. Ce document atteste que la montre a vaillamment surmonté les redoutables épreuves stipulées par ce programme de test qui s’étend sur six semaines.
Cependant, leur résistance aux conditions les plus extrêmes était déjà le fruit d’une technique d’avant-garde. A une époque où les garde-temps automatiques se contentaient le plus souvent d’imprimer à leur balancier 21 600 alternances par heure, ou 3 Hertz, le Calibre Jaeger-LeCoultre 899/1 se distinguait par sa haute fréquence de 4 Hertz, soit 28 800 alternances par heure, une caractéristique qui lui assurait plusieurs longueurs d’avance sur les mouvements horlogers de son temps.
Chez Jaeger-LeCoultre, les garde-temps ne sont testés qu’une fois achevés, juste avant leur départ de la Manufacture, dans leur forme définitive et le moindre écart, la moindre faiblesse décelés pendant ce mois et demi signifie leur retour immédiat dans les ateliers des horlogers.
Le Maître Contrôleur est inflexible car il en va de sa réputation et, tout aussi important à ses yeux, de la renommée de la marque. Ainsi, dès sa réception, chaque montre subit des épreuves les plus diverses : le cyclotest lui imprime des mouvements de rotation entrecoupés d’interruptions plus ou moins longues alors que d’autres appareils testent son comportement à différentes températures ou vérifient sa précision de marche dans six positions.
Six semaines plus tard, le Maître Contrôleur lui décerne enfin sa feuille de route en apposant sa signature sur le certificat attestant qu’elle possède toutes les qualités pour devenir une compagne fidèle et appréciée, jour après jour et année après année.
Il y a exactement deux décennies, pour tester dans les moindres détails et dans les circonstances les plus improbables la qualité et la robustesse de ses créations horlogères, Jaeger-LeCoultre instaure une rigoureuse procédure de contrôle, le test de 1000 heures.
Chaque exemplaire de la nouvelle ligne dévoilée cette même année n’est autorisé à quitter les ateliers de la Manufacture que s’il est doté d’un certificat signé par le maître horloger responsable. Ce document atteste que la montre a vaillamment surmonté les redoutables épreuves stipulées par ce programme de test qui s’étend sur six semaines.
Cependant, leur résistance aux conditions les plus extrêmes était déjà le fruit d’une technique d’avant-garde. A une époque où les garde-temps automatiques se contentaient le plus souvent d’imprimer à leur balancier 21 600 alternances par heure, ou 3 Hertz, le Calibre Jaeger-LeCoultre 899/1 se distinguait par sa haute fréquence de 4 Hertz, soit 28 800 alternances par heure, une caractéristique qui lui assurait plusieurs longueurs d’avance sur les mouvements horlogers de son temps.
Chez Jaeger-LeCoultre, les garde-temps ne sont testés qu’une fois achevés, juste avant leur départ de la Manufacture, dans leur forme définitive et le moindre écart, la moindre faiblesse décelés pendant ce mois et demi signifie leur retour immédiat dans les ateliers des horlogers.
Le Maître Contrôleur est inflexible car il en va de sa réputation et, tout aussi important à ses yeux, de la renommée de la marque. Ainsi, dès sa réception, chaque montre subit des épreuves les plus diverses : le cyclotest lui imprime des mouvements de rotation entrecoupés d’interruptions plus ou moins longues alors que d’autres appareils testent son comportement à différentes températures ou vérifient sa précision de marche dans six positions.
Six semaines plus tard, le Maître Contrôleur lui décerne enfin sa feuille de route en apposant sa signature sur le certificat attestant qu’elle possède toutes les qualités pour devenir une compagne fidèle et appréciée, jour après jour et année après année.
Spécificités techniques de la Jaeger-LeCoultre Master Ultra Thin Tourbillon
Mouvement mécanique à remontage automatique, Calibre Jaeger-LeCoultre 982
28 800 alternances par heure
262 pièces
33 rubis
6.4 mm de hauteur
30 mm de diamètre
Réserve de marche : 48 heures
Fonctions : heures, minutes, petite seconde et tourbillon
Cadran coquille d’œuf et appliques or rose
Aiguilles
heures et minutes : type dauphine
secondes : type bâton
Couronne : une couronne pour le remontage de la montre, le réglage des heures et des minutes
Boîtier : 40 mm, épaisseur : 11.3 mm
or rose 18 carats
verre saphir, bombé et traité antireflet extérieur côté cadran
Etanchéité : 5 bar
Bracelet en alligator chocolat avec boucle ardillon en or 18 carats
Référence Q1322510, or rose 18 carats
28 800 alternances par heure
262 pièces
33 rubis
6.4 mm de hauteur
30 mm de diamètre
Réserve de marche : 48 heures
Fonctions : heures, minutes, petite seconde et tourbillon
Cadran coquille d’œuf et appliques or rose
Aiguilles
heures et minutes : type dauphine
secondes : type bâton
Couronne : une couronne pour le remontage de la montre, le réglage des heures et des minutes
Boîtier : 40 mm, épaisseur : 11.3 mm
or rose 18 carats
verre saphir, bombé et traité antireflet extérieur côté cadran
Etanchéité : 5 bar
Bracelet en alligator chocolat avec boucle ardillon en or 18 carats
Référence Q1322510, or rose 18 carats