Le recyclage est devenue tendance dans le monde du luxe et notamment dans l’industrie horlogère. Et paradoxalement, depuis quelques années, ce ne sont plus forcément les matières nobles qui servent à fabriquer des montres ou des bracelets, mais des déchets…
Breitling, Panerai, Alpina, Oris et quelques autres proposent toutes au sein de leurs collections, une ou plusieurs références de montres dont certains composants (boitier, cadran ou bracelet) proviennent de plastiques récupérés dans les océans.
Aujourd’hui, c’est au tour de Maurice Lacroix d’entrer dans la danse du recyclage. En effet, à l’occasion d’un grand lancement qui s’est tenu ce week-end à Miami, la marque a dévoilé une toute nouvelle collection d’Aikon, l’Aikon #tide, dont les boitiers et les bracelets sont issus du recyclage.
Breitling, Panerai, Alpina, Oris et quelques autres proposent toutes au sein de leurs collections, une ou plusieurs références de montres dont certains composants (boitier, cadran ou bracelet) proviennent de plastiques récupérés dans les océans.
Aujourd’hui, c’est au tour de Maurice Lacroix d’entrer dans la danse du recyclage. En effet, à l’occasion d’un grand lancement qui s’est tenu ce week-end à Miami, la marque a dévoilé une toute nouvelle collection d’Aikon, l’Aikon #tide, dont les boitiers et les bracelets sont issus du recyclage.
Pour rappel, l’Aikon de Maurice Lacroix, lancée en 2016, est l’un des best-sellers de la marque en France. Elle est la digne héritière du modèle Calypso de ML qui possédait déjà l’ADN qui perdure aujourd’hui dans la nouvelle Aikon 42 (ou 35 mm pour femmes) : le boîtier intégré et étanche et la lunette aux 6 cavaliers qui entourent une glace saphir plate. Cadran avec ou sans diamants.
Naturellement, cette Aikon #tide a hérité des mêmes caractéristiques que les autres membres de cette famille ; on ne change pas une équipe qui gagne. A ceci près toutefois, qu’elle est constituée de plastique recyclé extrait des océans, associé à de la fibre de verre.
Le matériau composite ainsi créé se veut deux fois plus dur que le plastique traditionnel (encore une chance), cinq fois plus résistant et possède en plus, une empreinte carbone nettement inférieure à celle de la production de PET vierge.
Naturellement, cette Aikon #tide a hérité des mêmes caractéristiques que les autres membres de cette famille ; on ne change pas une équipe qui gagne. A ceci près toutefois, qu’elle est constituée de plastique recyclé extrait des océans, associé à de la fibre de verre.
Le matériau composite ainsi créé se veut deux fois plus dur que le plastique traditionnel (encore une chance), cinq fois plus résistant et possède en plus, une empreinte carbone nettement inférieure à celle de la production de PET vierge.
La lunette, le boîtier, le fond du boîtier, la couronne, l’attache et la boucle du bracelet de ce nouveau modèle sont tous façonnés à partir de ce matériau composite. Plus concrètement, il faut 17 bouteilles en plastique pour façonner l’une de ces montres et son emballage dédié, lui aussi fabriqué à partir de 100% de déchets océaniques recyclés.
Logé dans un boîtier de couleur vive, le cadran est orné d’une finition « vagues du Jura », référence évidente à l’océan. Le boîtier de 40 mm (avec couronne et fond vissé, étanche à 100 mètres) est surmonté d’un verre saphir plat.
Elle présente également un système de changement facile du bracelet qui permet de changer de style rapidement, sans utiliser d’outils (grande tendance depuis quelques années). Dans les prochaines semaines, la marque devrait dévoiler -déjà- une deuxième version de la #tide équipée d’un bracelet constitué – vous l’aurez deviné – de ce même matériau composite !
Logé dans un boîtier de couleur vive, le cadran est orné d’une finition « vagues du Jura », référence évidente à l’océan. Le boîtier de 40 mm (avec couronne et fond vissé, étanche à 100 mètres) est surmonté d’un verre saphir plat.
Elle présente également un système de changement facile du bracelet qui permet de changer de style rapidement, sans utiliser d’outils (grande tendance depuis quelques années). Dans les prochaines semaines, la marque devrait dévoiler -déjà- une deuxième version de la #tide équipée d’un bracelet constitué – vous l’aurez deviné – de ce même matériau composite !
Pour ce faire, la marque a conclu un partenariat à long terme avec #tide, spécialiste de l’upcycling de déchets plastiques (ce n’est d’ailleurs pas la seule), qui vise à collecter des bouteilles en plastique dans les eaux qui entourent plusieurs îles de Thaïlande, d’Indonésie et des Philippines.
Dans la pratique, Maurice Lacroix s’est engagé à récupérer 10 millions de bouteilles en plastique qui polluent les océans. Pour cela, la maison offre un soutien financier qui permet de subventionner les activités de collecte du plastique, l’achat de bateaux à longue queue et d’entrepôts, des programmes éducatifs et l’acquisition de bon nombre d’équipements.
Les bouteilles sont triées, broyées, lavées et compactées à proximité du point de collecte, puis transportées vers les installations de recyclage de #tide. Les fragments de bouteilles sont ensuite réduits en granules puis amalgamés suivant une formule « secrète ». Résultat : un plastique upcyclé qui sera ensuite utilisé pour fabriquer ces Aikon #tide aux couleurs chatoyantes pour hommes et femmes.
A découvrir prochainement chez Emile Leon à Paris.
Dans la pratique, Maurice Lacroix s’est engagé à récupérer 10 millions de bouteilles en plastique qui polluent les océans. Pour cela, la maison offre un soutien financier qui permet de subventionner les activités de collecte du plastique, l’achat de bateaux à longue queue et d’entrepôts, des programmes éducatifs et l’acquisition de bon nombre d’équipements.
Les bouteilles sont triées, broyées, lavées et compactées à proximité du point de collecte, puis transportées vers les installations de recyclage de #tide. Les fragments de bouteilles sont ensuite réduits en granules puis amalgamés suivant une formule « secrète ». Résultat : un plastique upcyclé qui sera ensuite utilisé pour fabriquer ces Aikon #tide aux couleurs chatoyantes pour hommes et femmes.
A découvrir prochainement chez Emile Leon à Paris.