Connue pour avoir inventé une nouvelle technique de portrait particulièrement originale, la Californienne a exercé son art face aux visiteurs du stand Maurice Lacroix lors de la dernière édition de la Foire de Bâle 2017.
Rappelons que le concept d’Alexa consiste à appliquer de la peinture sur ses modèles et les éléments qui les entourent pour créer l’illusion d'un tableau à mi-chemin entre la 2D et la 3D. Puisant son inspiration dans les couleurs, l’espace et les objets, Alexa joue avec les ombres et la lumière pour manipuler la perception de l’espace. Certes, ces œuvres ne sont pas intemporelles puisque le modèle peint n’appartient pas à la toile, mais l’idée est intéressante et ses happenings toujours fascinants.
Comme le souligne la jeune femme : « l’idée du projet a germé en 2008. Je m'intéressais aux ombres et j’ai eu l’idée d'appliquer de la peinture noire sur les ombres que je voyais au sol. Plus tard, l'idée a évolué, et j'ai commencé à peindre les effets de lumière dans un dégradé de gris, puis avec le spectre complet des couleurs sur des personnes. L’idée a pris différentes directions au fil du temps ».
Rappelons que le concept d’Alexa consiste à appliquer de la peinture sur ses modèles et les éléments qui les entourent pour créer l’illusion d'un tableau à mi-chemin entre la 2D et la 3D. Puisant son inspiration dans les couleurs, l’espace et les objets, Alexa joue avec les ombres et la lumière pour manipuler la perception de l’espace. Certes, ces œuvres ne sont pas intemporelles puisque le modèle peint n’appartient pas à la toile, mais l’idée est intéressante et ses happenings toujours fascinants.
Comme le souligne la jeune femme : « l’idée du projet a germé en 2008. Je m'intéressais aux ombres et j’ai eu l’idée d'appliquer de la peinture noire sur les ombres que je voyais au sol. Plus tard, l'idée a évolué, et j'ai commencé à peindre les effets de lumière dans un dégradé de gris, puis avec le spectre complet des couleurs sur des personnes. L’idée a pris différentes directions au fil du temps ».
Et de poursuivre : « j’ai été fortement inspirée par l’ouvrage Seeing is Forgetting the Name of the Thing One Sees (« Voir, c’est oublier le nom de ce que l’on voit ») sur Robert Irwin, un artiste minimaliste californien des années 1970 qui jouait sur la lumière et les ombres pour manipuler la perception de l’espace. Alors que j’essayais de nouvelles façons de peindre, que j’inventais ce nouveau style de peinture sur des objets en 3D, je me suis beaucoup inspirée des portraitistes Lucien Freud et Alice Neel. J’ai également beaucoup observé les toiles de Jenny Saville et Cézanne ».
En faisant appel à Alexa Meade, Maurice Lacroix confirme sa volonté de donner un tour avant-gardiste et inspiré au lancement de sa nouvelle campagne de communication. Son thème ? « Les villes iconiques ». De fait, les nouvelles collections sont présentées devant des vues panoramiques de métropoles à l'architecture caractéristique, telles que New York, London, Dubaï et Séoul.
En faisant appel à Alexa Meade, Maurice Lacroix confirme sa volonté de donner un tour avant-gardiste et inspiré au lancement de sa nouvelle campagne de communication. Son thème ? « Les villes iconiques ». De fait, les nouvelles collections sont présentées devant des vues panoramiques de métropoles à l'architecture caractéristique, telles que New York, London, Dubaï et Séoul.