La marque horlogère suisse Ikepod fut lancée à l’origine -en 1994- par le fameux designer australien Marc Newson à qui l’on doit, entre autre, certains modèles d’horloges Atmos de chez Jaeger-LeCoultre, mais également la dernière valise Horizon de chez Louis Vuitton qui a fait entrer les bagages du prestigieux malletier français dans le 21ème siècle.
En une vingtaine d’années, Ikepod, a commercialisé de nombreux modèles de montres allant de la simple deux aiguilles au complexe quantième perpétuel. Des calibres mécaniques intégrés la plupart du temps au sein de boitiers en titane (certains en platine) tout en rondeurs arborant des aiguilles bien spécifiques à la marque.
Oui mais voilà, malgré la renommée du designer et l’esthétique très réussie de ces produits, Ikepod n’a jamais vraiment décollé. Notamment à cause du prix de vente de ces montres, bien trop élevés ! Dans ce contexte, pas étonnant que la marque ait disparu des radars horlogers… Pas étonnant mais dommage tout de même.
Heureusement, l’horlogerie -comme la mode- est un éternel recommencement ! C’est ainsi, qu’en 2018, grâce au financement participatif, Ikepod est revenu sur le devant de la scène par le biais d’une campagne Kickstarter.
Une réussite grâce au design d’Emmanuel Gueit (à qui l’on doit notamment la fameuse Royal Oak Offshore) mais une petite déconvenue tout de même pour les puristes puisque cette première « mouture » était dotée de calibres quartz.
En une vingtaine d’années, Ikepod, a commercialisé de nombreux modèles de montres allant de la simple deux aiguilles au complexe quantième perpétuel. Des calibres mécaniques intégrés la plupart du temps au sein de boitiers en titane (certains en platine) tout en rondeurs arborant des aiguilles bien spécifiques à la marque.
Oui mais voilà, malgré la renommée du designer et l’esthétique très réussie de ces produits, Ikepod n’a jamais vraiment décollé. Notamment à cause du prix de vente de ces montres, bien trop élevés ! Dans ce contexte, pas étonnant que la marque ait disparu des radars horlogers… Pas étonnant mais dommage tout de même.
Heureusement, l’horlogerie -comme la mode- est un éternel recommencement ! C’est ainsi, qu’en 2018, grâce au financement participatif, Ikepod est revenu sur le devant de la scène par le biais d’une campagne Kickstarter.
Une réussite grâce au design d’Emmanuel Gueit (à qui l’on doit notamment la fameuse Royal Oak Offshore) mais une petite déconvenue tout de même pour les puristes puisque cette première « mouture » était dotée de calibres quartz.
En ce début d’année 2021 et après la version avec Alexandre Peraldi au printemps dernier, Ikepod reprend ses partenariats avec des artistes. On se souvient des collaborations avec Jeff Koons ou Kaws. D’ailleurs, cette dernière a même réalisé une record pour une Ikepod durant la vente Phillips l’an dernier à Hong-Kong avec un montant de 37.000 francs suisses hors frais.
Dix ans plus tard, Ikepod reprend ce concept de collab’ avec des artistes. Et cette fois-ci c’est avec Tom Christopher : son travail parle d'"anthropologie de la rue" et de géométrie urbaine. Il est réputé pour ses scènes de New York, notamment celles de Times Square. Les titres de ses œuvres, toujours longs, décrivent paradoxalement, des instants, des moments de vies suspendus dans le temps.
L’idée derrière cette nouvelle collaboration est de promouvoir un peintre qui reste -toutes proportions gardées- abordable même si il est présent dans de grandes collections privées ou publiques. Ce cadran assez onirique a été créé spécialement pour Ikepod et se veut une « ode à la ville et à la culture » avec des skaters dans le ciel de la Grande Pomme au milieu d'oiseaux et de poissons.
Cette « deux aiguilles » est dotée d’un boitier en acier de 46mm sans corne -qui semble 43 mm au poignet- embarquant le Miyota et associé à un bracelet en caoutchouc qui rappelle ceux des Ikepod originales. En tout, cinquante exemplaires seront produits en 2021 pour 200 au total.
Dix ans plus tard, Ikepod reprend ce concept de collab’ avec des artistes. Et cette fois-ci c’est avec Tom Christopher : son travail parle d'"anthropologie de la rue" et de géométrie urbaine. Il est réputé pour ses scènes de New York, notamment celles de Times Square. Les titres de ses œuvres, toujours longs, décrivent paradoxalement, des instants, des moments de vies suspendus dans le temps.
L’idée derrière cette nouvelle collaboration est de promouvoir un peintre qui reste -toutes proportions gardées- abordable même si il est présent dans de grandes collections privées ou publiques. Ce cadran assez onirique a été créé spécialement pour Ikepod et se veut une « ode à la ville et à la culture » avec des skaters dans le ciel de la Grande Pomme au milieu d'oiseaux et de poissons.
Cette « deux aiguilles » est dotée d’un boitier en acier de 46mm sans corne -qui semble 43 mm au poignet- embarquant le Miyota et associé à un bracelet en caoutchouc qui rappelle ceux des Ikepod originales. En tout, cinquante exemplaires seront produits en 2021 pour 200 au total.