La MeisterSinger Neo renforce son côté rétro-vintage avec l’arrivée d’une version présentée sur bracelet en maille milanaise (aussi appelé bracelet mesh).
Rappelons que dans les sixties, ce type de bracelet fin en mailles métalliques très serrées, jouissaient d’un fort engouement auprès des amateurs d’horlogerie. Robustes malgré leur souplesse, ils sont en effet très agréables à porter en toute saison.
Côté cadran rien de changé. Chaque heure comporte 60 minutes, cependant le temps est relatif et MeisterSinger n’a de cesse de le décélérer.
Lorsque il y a dix ans, le designer de montres Manfred Brassler créé la société MeisteSinger en Allemagne son but est de concevoir des montres mécaniques épurées, dénuées de toute complication superflue et d’élément surchargeant les cadrans.
A ce stade de développement, il était pour lui primordial qu’aucune des aiguilles (de secondes, de minutes, de rattrapante ou encore de fuseau horaire) ne vienne perturber l’équilibre du design simple de la montre. Cette simplicité telle un contrepoids envers l’agitation de notre époque venait poser les fondements de ce qui allait contribuer au succès futur de la montre mono-aiguille.
« Aujourd’hui, la technologie, la recherche de l’ultime précision, la rationalisation des processus et l’accélération des communications, sont autant d’efforts pour gagner du temps », explique Manfred Brassler. « Tout en essayant d’étirer le temps un peu plus, nous courrons en permanence d’un rendez-vous à l’autre, au rythme des heures, minutes, et secondes qui défilent. Face à tout ce tumulte il devient peu probable qu’une montre puisse nous fournir le répit auquel nous aspirons. Pourtant un simple regard sur une montre MeisterSinger rend cet instant possible ».
Dans cet esprit, la collection Neo de MeisterSinger souhaite mettre notre vie trépidante en mode « pause » pour profiter de moments plus calmes et d’une vie plus sobre. Du grec « neos » (renouveau) cette collection s’annonce comme « un retour aux sources de l’horlogerie du milieu du siècle dernier particulièrement marqué par des codes architecturaux du design des années 50 : une boîte mince, un cadran classique, et une absence de lunette qui donne l’impression visuelle d’un plus grand diamètre ».
Cette montre est équipée d’un mouvement automatique suisse placé dans un boitier en acier satiné 316L protégé par un verre plexi (très vintage) durci. Quatre couleurs de cadrans sont disponibles : blanc, champagne, anthracite ou bleu avec date blanche sur disque rouge (notre préféré). A noter qu’il est également possible de s’offrir la Neo sur un bracelet à mailles milanaises…
Rappelons que dans les sixties, ce type de bracelet fin en mailles métalliques très serrées, jouissaient d’un fort engouement auprès des amateurs d’horlogerie. Robustes malgré leur souplesse, ils sont en effet très agréables à porter en toute saison.
Côté cadran rien de changé. Chaque heure comporte 60 minutes, cependant le temps est relatif et MeisterSinger n’a de cesse de le décélérer.
Lorsque il y a dix ans, le designer de montres Manfred Brassler créé la société MeisteSinger en Allemagne son but est de concevoir des montres mécaniques épurées, dénuées de toute complication superflue et d’élément surchargeant les cadrans.
A ce stade de développement, il était pour lui primordial qu’aucune des aiguilles (de secondes, de minutes, de rattrapante ou encore de fuseau horaire) ne vienne perturber l’équilibre du design simple de la montre. Cette simplicité telle un contrepoids envers l’agitation de notre époque venait poser les fondements de ce qui allait contribuer au succès futur de la montre mono-aiguille.
« Aujourd’hui, la technologie, la recherche de l’ultime précision, la rationalisation des processus et l’accélération des communications, sont autant d’efforts pour gagner du temps », explique Manfred Brassler. « Tout en essayant d’étirer le temps un peu plus, nous courrons en permanence d’un rendez-vous à l’autre, au rythme des heures, minutes, et secondes qui défilent. Face à tout ce tumulte il devient peu probable qu’une montre puisse nous fournir le répit auquel nous aspirons. Pourtant un simple regard sur une montre MeisterSinger rend cet instant possible ».
Dans cet esprit, la collection Neo de MeisterSinger souhaite mettre notre vie trépidante en mode « pause » pour profiter de moments plus calmes et d’une vie plus sobre. Du grec « neos » (renouveau) cette collection s’annonce comme « un retour aux sources de l’horlogerie du milieu du siècle dernier particulièrement marqué par des codes architecturaux du design des années 50 : une boîte mince, un cadran classique, et une absence de lunette qui donne l’impression visuelle d’un plus grand diamètre ».
Cette montre est équipée d’un mouvement automatique suisse placé dans un boitier en acier satiné 316L protégé par un verre plexi (très vintage) durci. Quatre couleurs de cadrans sont disponibles : blanc, champagne, anthracite ou bleu avec date blanche sur disque rouge (notre préféré). A noter qu’il est également possible de s’offrir la Neo sur un bracelet à mailles milanaises…
Spécificités techniques de la MeisterSinger Neo
Mouvement mécanique swiss-made à remontage automatique
Boîtier de 36 mm en acier satiné (316L)
Fond vissé avec le logo MeisterSinger gravé
Étanche aux projections d’eau (donc ne pas se baigner avec...)
Verre plexiglas durci
Lecture de l’heure par mono-aiguille (cadran avec 144 segments de 5 minutes)
Existe également en 2 aiguilles
Proposé avec deux couleurs de cadrans : champagne ou anthracite
Bracelet : maille milanaise
Prix de vente public conseillé : 1.015 euros TTC
Boîtier de 36 mm en acier satiné (316L)
Fond vissé avec le logo MeisterSinger gravé
Étanche aux projections d’eau (donc ne pas se baigner avec...)
Verre plexiglas durci
Lecture de l’heure par mono-aiguille (cadran avec 144 segments de 5 minutes)
Existe également en 2 aiguilles
Proposé avec deux couleurs de cadrans : champagne ou anthracite
Bracelet : maille milanaise
Prix de vente public conseillé : 1.015 euros TTC