On le sait, depuis sa création en 2001, la marque horlogère allemande avec calibres mécaniques suisses MeisterSinger n’a jamais dérogé à sa spécialité : à savoir l’affichage de l’heure par le biais d’une seule aiguille.
Des mono-aiguilles pour un temps de l’à peu près. Pour ceux qui souhaitent avoir l’heure au poignet, mais sans stress et sans contraintes. Un temps plus « relax » que celui qui s’affiche de manière traditionnelle à l’aide de deux aiguilles.
Au fil des années, l’horloger a développé de très nombreux modèles qui sont toujours restés très cohérents, tant en terme de design, que de fonction et de prix.
C’est le cas, encore une fois cette année, avec l’arrivée de cette Stratoscope (suite logique de la Lunascope, plus petite en 40 mm) qui s’inscrit ici dans un boitier élargi de 43 mm en acier.
Contrairement à la plupart des modèles équipés de cette complication, la phase de Lune (avec Lune très réaliste sur fond noir) de la Stratoscope s’affiche en grand format dans un large guichet situé dans la partie supérieure du cadran noir tandis que la date apparait à 6h de manière plus traditionnelle. Mise à part la Lune, seule l’aiguille blanche contraste fortement avec le reste du cadran (Lune, index et aiguille étant lumineux dans la pénombre et la nuit).
Des mono-aiguilles pour un temps de l’à peu près. Pour ceux qui souhaitent avoir l’heure au poignet, mais sans stress et sans contraintes. Un temps plus « relax » que celui qui s’affiche de manière traditionnelle à l’aide de deux aiguilles.
Au fil des années, l’horloger a développé de très nombreux modèles qui sont toujours restés très cohérents, tant en terme de design, que de fonction et de prix.
C’est le cas, encore une fois cette année, avec l’arrivée de cette Stratoscope (suite logique de la Lunascope, plus petite en 40 mm) qui s’inscrit ici dans un boitier élargi de 43 mm en acier.
Contrairement à la plupart des modèles équipés de cette complication, la phase de Lune (avec Lune très réaliste sur fond noir) de la Stratoscope s’affiche en grand format dans un large guichet situé dans la partie supérieure du cadran noir tandis que la date apparait à 6h de manière plus traditionnelle. Mise à part la Lune, seule l’aiguille blanche contraste fortement avec le reste du cadran (Lune, index et aiguille étant lumineux dans la pénombre et la nuit).
Il faut à la Lune 29 jours, 12 heures, 44 minutes et 2.9 secondes pour faire le tour de la Terre. Or, il faut savoir que la plupart des montres à phases de Lune d’entrée de gamme arrondissent la lunaison à 29,5 jours.
Résultat ? La course de la Lune dévie de 8h par an. Ces montres doivent donc être corrigées d’un jour complet tous les trois ans (2 ans, 7 mois et environ 20 jours pour être plus précis).
Le mouvement de cette Stratoscope (le même que la Lunascope) s’avère plus exact. A l’image des montres haut de gamme, il est équipé d’un système relativement complexe dénommé « Lune astronomique » qui réduit l’écart entre le mécanisme et le véritable cycle lunaire d’un seul jour en 122 ans !
Résultat ? La course de la Lune dévie de 8h par an. Ces montres doivent donc être corrigées d’un jour complet tous les trois ans (2 ans, 7 mois et environ 20 jours pour être plus précis).
Le mouvement de cette Stratoscope (le même que la Lunascope) s’avère plus exact. A l’image des montres haut de gamme, il est équipé d’un système relativement complexe dénommé « Lune astronomique » qui réduit l’écart entre le mécanisme et le véritable cycle lunaire d’un seul jour en 122 ans !
Autre spécificité de cette nouvelle pièce : bien évidemment son cadran qui passe d’un bleu dégradé dans la partie basse pour aller vers le noir profond vers midi…
Ce style de cadran a été imaginé pour la première par Rolex en 2014 pour sa Deepsea Deepblue. Depuis, quelques marques s’en sont inspirées… Ce cadran évoque ici les aurores boréales visibles dans le grand Nord.
Côté moteur, la Stratoscope bat au rythme d’un calibre mécanique automatique doté d’une réserve de marche standard de 38h. Ce dernier est visible à travers le fond transparent de son boitier. L’ensemble est complété par un bracelet en cuir brun foncé avec points d’arrêts beiges qui contraste légèrement, juste ce qu’il faut, avec le boitier noir mat.
A découvrir chez Emile Léon à Paris.
Ce style de cadran a été imaginé pour la première par Rolex en 2014 pour sa Deepsea Deepblue. Depuis, quelques marques s’en sont inspirées… Ce cadran évoque ici les aurores boréales visibles dans le grand Nord.
Côté moteur, la Stratoscope bat au rythme d’un calibre mécanique automatique doté d’une réserve de marche standard de 38h. Ce dernier est visible à travers le fond transparent de son boitier. L’ensemble est complété par un bracelet en cuir brun foncé avec points d’arrêts beiges qui contraste légèrement, juste ce qu’il faut, avec le boitier noir mat.
A découvrir chez Emile Léon à Paris.