Métiers horlogers : un record de nouveaux apprentis en 2011


En 2011, les métiers horlogers ont comptabilisé 425 nouvelles inscriptions dans les sept écoles horlogères de Suisse (9% de plus qu’en 2010). Quant aux diplômes décernés en fin de parcours pour la même année, on atteint également un record avec 330 nouveaux apprentis titularisés. Du jamais vu depuis que les statistiques de la Convention patronale de l’industrie horlogère suisse (CP) existent !


Chaque année une enquête de la CP auprès des écoles techniques dispensant des formations horlogères fait état de la situation des apprentis dans la branche. Au total, six formations initiales menant soit à un CFC (3 ou 4 ans), soit à une AFP (2 ans) sont passées au crible.

Il y a bien entendu l’horloger et ses trois variantes (praticien ; dans le domaine professionnel de l’industrie; dans le domaine professionnel du rhabillage), mais aussi l’opérateur en horlogerie, le micromécanicien, le dessinateur-constructeur en microtechnique, ainsi que deux métiers liés à la finition des pièces : le polisseur et le
termineur en habillage horloger.

Pour 2011, l’enquête confirme la popularité des métiers horlogers auprès des jeunes, signe de l’excellente image dont jouit la branche, renforcée à l’heure actuelle par sa bonne santé économique. A la rentrée d’août, 425 jeunes gens ont signé un contrat de formation dans l’une de ces professions. Un record.

Suivant une tendance observée déjà lors des dernières statistiques, la proportion de la formation dite duale (entreprise/école) continue à progresser. Signe que les entreprises de la branche participent activement à la formation de la relève afin de disposer en permanence de professionnels dûment formés.

Montres-de-luxe.com | Publié le 24 Janvier 2012 | Lu 731 fois

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