La Newport de Michel Herbelin a séduit des générations d’amateurs de montres. Pour de nombreux collectionneurs, ce modèle fut souvent, d’ailleurs, le « premier pas » effectué dans le monde du luxe avant de se tourner (ou pas) plus tard, vers des pièces plus chères.
A l’origine, cette collection fut créée en 1988. Elle s’inspirait alors des hublots des voiliers transatlantiques. Depuis sa remise sur le devant de la scène il y a quelques années, la marque horlogère de Charquemont a proposé différentes versions (quartz et automatiques) en trois aiguilles-date, en squelette, en chrono grande date, etc.
Michel Herbelin revient cette année avec cette nouveauté qui reste une Newport (on ne change pas une équipe qui gagne) mais dans une version sport-chic assumée, dotée d’un boitier de 42 mm en acier recouvert de PVD gris anthracite, poli et brossé, étanche à 100 mètres et embarquant un calibre « trois aiguilles jour et date » à remontage automatique.
Souvent chez Herbelin, la gestion de l’entreprise, mais également la création, est une histoire de famille. Et cette pièce ne déroge pas à la règle. Rebondissant sur le succès de la Newport, Mathieu Herbelin -petit-fils du fondateur et directeur de création associé de la marque horlogère- a donc repris le modèle d’origine en vue de le tailler pour l’époque.
A l’origine, cette collection fut créée en 1988. Elle s’inspirait alors des hublots des voiliers transatlantiques. Depuis sa remise sur le devant de la scène il y a quelques années, la marque horlogère de Charquemont a proposé différentes versions (quartz et automatiques) en trois aiguilles-date, en squelette, en chrono grande date, etc.
Michel Herbelin revient cette année avec cette nouveauté qui reste une Newport (on ne change pas une équipe qui gagne) mais dans une version sport-chic assumée, dotée d’un boitier de 42 mm en acier recouvert de PVD gris anthracite, poli et brossé, étanche à 100 mètres et embarquant un calibre « trois aiguilles jour et date » à remontage automatique.
Souvent chez Herbelin, la gestion de l’entreprise, mais également la création, est une histoire de famille. Et cette pièce ne déroge pas à la règle. Rebondissant sur le succès de la Newport, Mathieu Herbelin -petit-fils du fondateur et directeur de création associé de la marque horlogère- a donc repris le modèle d’origine en vue de le tailler pour l’époque.
On retrouve bien évidemment toutes les grandes lignes qui ont fait le succès de cette pièce : son fameux boitier aux attaches centrales, sa couronne gravée (ici conique) d’une roue marine, sa large lunette brossée gravée de la mention Newport à 6h avec cinq vis de style winch de voilier et ses index qui ne sont pas sans évoquer la coque d’un voilier.
La lunette en acier également en PVD gris anthracite, est ici couplée à un beau cadran bleu nuit soleillé fumé. Les douze index en acier facettés sont associés à deux aiguilles contemporaine (spécialement créées pour MH) recouvertes de matière luminescente et une trotteuse centrale.
A 3h, s’affichent le jour et la date en blanc sur fond noir ; une constante que l’on devrait retrouver régulièrement, dorénavant, dans les montres masculines Michel Herbelin. Le chemin de fer apparait quant à lui sur le réhaut noir et l’ensemble est protégé par un verre saphir.
Cette Newport est équipée d’un mouvement mécanique à remontage automatique de facture suisse (Sellita SW220-1). Avec ses 26 rubis et battant à 28.800 alt/h, il offre une réserve de marche standard de 38 heures. Sa masse oscillante est rhodiée et gravée Herbelin ; elle est visible à travers le fond de boite.
L’ensemble est complété par un bracelet noir en élastomère FKM hautement résistant (garanti dix ans) qui se ferme par une boucle déployante en acier. Et comme toujours chez Michel Herbelin, le prix de ce garde-temps sport-chic de très belle facture a su rester contenu avec ses 990 euros.
La lunette en acier également en PVD gris anthracite, est ici couplée à un beau cadran bleu nuit soleillé fumé. Les douze index en acier facettés sont associés à deux aiguilles contemporaine (spécialement créées pour MH) recouvertes de matière luminescente et une trotteuse centrale.
A 3h, s’affichent le jour et la date en blanc sur fond noir ; une constante que l’on devrait retrouver régulièrement, dorénavant, dans les montres masculines Michel Herbelin. Le chemin de fer apparait quant à lui sur le réhaut noir et l’ensemble est protégé par un verre saphir.
Cette Newport est équipée d’un mouvement mécanique à remontage automatique de facture suisse (Sellita SW220-1). Avec ses 26 rubis et battant à 28.800 alt/h, il offre une réserve de marche standard de 38 heures. Sa masse oscillante est rhodiée et gravée Herbelin ; elle est visible à travers le fond de boite.
L’ensemble est complété par un bracelet noir en élastomère FKM hautement résistant (garanti dix ans) qui se ferme par une boucle déployante en acier. Et comme toujours chez Michel Herbelin, le prix de ce garde-temps sport-chic de très belle facture a su rester contenu avec ses 990 euros.
Cette montre est disponible à Paris et en ligne chez Emile Léon. Emile Léon est un détaillant horloger atypique en ce sens qu’installé en plein cœur de Paris, et surtout, en plein cœur du luxe parisien, il propose une offre horlogère qui sort des sentiers battus… Jugez-vous-même : Corum et Eterna côtoient Garmin et Le Forban, mais également, Frédérique Constant, Junghans, Atelier de Monaco, Mido, Triton, Dodane, Meistersinger, Hamilton, Citizen, Longines, Tissot, Rado, Lip, Seiko et quelques autres.
