La mesure précise du temps, telle que nous la connaissons aujourd’hui, possède des origines maritimes car son développement a répondu aux exigences de la navigation en haute mer.
Avant l’apparition des satellites, les chronomètres de marine étaient l’unique instrument dont les marins disposaient pour calculer leur position –par la détermination de la latitude et de la longitude.
Pour Montblanc, ces données historiques ont constitué une excellente base de départ pour réfléchir à cette question et faire revivre cette tradition par des idées inédites… Le résultat de ces réflexions se présente aujourd’hui sous le nom de Régulateur Nautique de la Collection Villeret 1858 de Montblanc.
Plus concrètement, chaque set se compose d’un chronographe doté d’un cadran régulateur avec l’indication d’un second fuseau horaire ainsi que d’une horloge de marine qui, en plus de l’affichage de trois fuseaux horaires sur le cadran principal de type régulateur, offre également une fonction heure universelle.
Ce prestigieux ensemble sera commercialisé en une série limitée de 16 exemplaires : huit avec un chronographe en or rouge et huit avec un chronographe en or blanc.
Avant l’apparition des satellites, les chronomètres de marine étaient l’unique instrument dont les marins disposaient pour calculer leur position –par la détermination de la latitude et de la longitude.
Pour Montblanc, ces données historiques ont constitué une excellente base de départ pour réfléchir à cette question et faire revivre cette tradition par des idées inédites… Le résultat de ces réflexions se présente aujourd’hui sous le nom de Régulateur Nautique de la Collection Villeret 1858 de Montblanc.
Plus concrètement, chaque set se compose d’un chronographe doté d’un cadran régulateur avec l’indication d’un second fuseau horaire ainsi que d’une horloge de marine qui, en plus de l’affichage de trois fuseaux horaires sur le cadran principal de type régulateur, offre également une fonction heure universelle.
Ce prestigieux ensemble sera commercialisé en une série limitée de 16 exemplaires : huit avec un chronographe en or rouge et huit avec un chronographe en or blanc.
Le chronographe Régulateur Nautique de Montblanc
Le chronographe est, comme son nom l’indique, une montre dotée d’un cadran régulateur qui offre, par ses fonctions et son design, des aperçus fascinants sur l’histoire de la navigation hauturière.
En effet, pour déterminer sans risque d’erreur leur position en pleine mer, les marins étaient tenus de connaître l’heure locale du port de départ et celle de leur emplacement actuel, en d’autres termes, ils devaient disposer d’une indication simultanée de l’heure dans deux fuseaux horaires.
Le cadran régulateur, qui se caractérise par la présence de l’aiguille des minutes au centre, d’un cadran auxiliaire séparé pour les heures à 12 heures et d’une petite seconde, est un hommage rendu aux vénérables horloges de précision, de grandes dimensions, qui servaient au réglage des garde-temps jusqu’au XXe siècle.
Leur nom de régulateur provient d’ailleurs de l’exercice de cette fonction. Afin que l’indication des secondes ne soit jamais recouverte pendant une période relativement longue par l’aiguille des heures à la progression très lente, l’affichage des heures était disposé sur un cadran distinct, entièrement séparé du compteur des secondes.
Ces imposants régulateurs se dressaient également dans les capitaineries des principaux ports. Avant de prendre la mer, les capitaines venaient y annoncer leur départ et leur dernier acte avant l’appareillage consistait à régler leur chronomètre de marine portable selon les indications affichées par le régulateur de la capitainerie afin d’emporter l’heure exacte à bord lors de leur voyage au long cours.
Autrefois, une référence temporelle précise était indispensable pour conserver le bon cap en pleine mer. Le lien historique avec le nouveau chronographe Régulateur Nautique de Montblanc apparaît dès lors comme une simple évidence.
Ce nouveau chronographe n’offre cependant pas un cadran régulateur habituel, tels qu’ils sont devenus relativement fréquents sur ce type de garde-temps, mais « transforme l’affichage d’un total de huit indications différentes en une véritable expérience topographique » souligne la marque dans son communiqué.
En effet, le spectacle se déroule sur plus d’une demi-douzaine de niveaux différents pour permettre de consulter l’heure de résidence et l’heure locale, l’indication jour/nuit, les affichages du chronographe avec le compteur 30 minutes, la petite seconde ainsi qu’un affichage combiné de la réserve de marche et des zones de remontage.
Le cadran est partiellement ouvert jusqu’à la platine du mouvement perlée à la main, sur laquelle l’observateur peut reconnaître les roues de divers mécanismes. Certaines échelles sont disposées en applique alors que d’autres indications sont littéralement insérées dans le cadran, dans une transposition symbolique du concept de profondeur marine.
Rappelons que pour déterminer le cap à suivre en pleine mer au moyen d’un garde-temps de précision, il est indispensable de connaître l’heure de deux fuseaux horaires, en l’occurrence l’heure du port de départ et celle de l’emplacement actuel du navire.
A partir de ces informations, il est ensuite possible de calculer le zénith du soleil (à 12 heures locales) en fonction de l’heure du port de départ afin de déterminer la longitude géographique correcte. C’est pour cette raison que le chronographe Régulateur Nautique affiche, dans un petit cadran auxiliaire à 12 heures, l’heure locale avec l’aiguille supérieure squelettée et l’heure de référence (heure du port de départ) avec l’aiguille inférieure.
Si l’on se trouve dans le fuseau horaire de référence, les deux aiguilles se recouvrent parfaitement. Lors du passage dans un nouveau fuseau horaire, l’aiguille de l’heure locale est réglée, par sauts d’une heure, à l’aide du poussoir situé à 10 heures. Disposé à 1 heure, un petit cadran 24 heures avec une indication jour/nuit indique le moment de la journée dans le fuseau horaire de référence.
La montre-bracelet de l’ensemble Régulateur Nautique est également un instrument destiné à mesurer de brefs intervalles temporels dans la meilleure tradition des garde-temps de manufacture. Son mouvement de chronographe de calibre MB M16.30 possède un grand compteur des secondes au centre, un compteur 30 minutes à 3 heures et fonctionne de manière classique avec une roue à colonnes et un embrayage horizontal.
Les leviers du chronographe sont réalisés par un minutieux travail manuel et la « mise en fonction » est effectuée à la main en observant attentivement à la loupe les surfaces de contact des leviers du chronographe pendant l’actionnement de la fonction chronographe et en les polissant minutieusement pour leur donner leur forme définitive avec une précision d’un centième de millimètre.
Les composants en acier et le pont de chronographe qui adopte le profil en « V » caractéristique de Minerva (qui appartient à Montblanc) sont aussi anglés et polis à la main. Alors que les leviers sont polis sur une pierre au grain fin, les ponts sont ornés d’une décoration en côtes de Genève, également réalisée à la main. Le grand balancier massif à vis avec spiral Philips oscille à la classique fréquence de 18'000 alternances par heure (2,5 Hertz), qui permet d’effectuer des mesures avec une précision d’un cinquième de seconde. Le chronographe est actionné par le poussoir situé sur la couronne, qui commande successivement les fonctions de démarrage, d’arrêt et de remise à zéro.
Dans la partie inférieure du cadran, le grand affichage de la réserve de marche incarne une véritable innovation de mécanique horlogère. A l’aide de deux aiguilles, il apporte deux informations essentielles à l’autonomie de marche et se révèle en tout point indispensable pour un garde-temps de marine, car la sécurité de la navigation ne peut être garantie que si la montre est régulièrement remontée pendant la traversée pour éviter tout arrêt du mécanisme.
A cet effet, le coup d’œil jeté chaque jour sur l’indication combinée de la réserve de marche et des zones de remontage, qui ne donne pas uniquement une information sur la quantité d’énergie résiduelle emmagasinée dans le barillet, mais indique de manière visible à quel moment le remontage de la montre doit nécessairement intervenir.
Sur une montre mécanique, les horlogers distinguent en effet trois états principaux du ressort moteur : dans le secteur de la réserve de marche normale, le barillet possède suffisamment d’énergie pour assurer des bonnes amplitudes au balancier et, de ce fait, assure une bonne précision de marche. Dans la zone de remontage, le ressort dispose encore d’une force suffisante pour maintenir le mouvement en fonctionnement, mais ne peut plus garantir les amplitudes les plus favorables, de sorte que la marche de la montre pourrait être influencée de manière négative. Le troisième état correspond au ressort entièrement désarmé, qui provoque l’arrêt du mouvement.
L’indication combinée de la réserve de marche et des zones de remontage du chronographe Régulateur Nautique de Montblanc permet donc de distinguer les deux premiers états d’énergie. Si la réserve de marche se trouve dans la zone favorable, les deux aiguilles sont situées l’une au-dessus de l’autre et montrent la durée de marche résiduelle affichée en nombre d’heures. Dans la zone où la tension du ressort moteur s’affaiblit (indiquée par le mot BAS), l’aiguille supérieure reste immobile alors que l’aiguille inférieure rouge se déplace dans la zone de la même couleur, afin de signifier à l’utilisateur qu’il convient de procéder à un nouveau remontage manuel de la montre.
Pour cette information complexe et importante, Minerva Villeret a développé son propre dispositif breveté. Il se compose de 19 éléments qui ne laissent pas uniquement apparaître les aiguilles, mais dévoilent aussi au grand jour le râteau en acier bleui (dans la version en or blanc) dont la pointe en forme de flèche rappelle le traditionnel emblème de Minerva.
Ce mécanisme compliqué est inséré dans un boîtier en or de 43,5 mm, qui lui assure une noble protection. A noter des cornes aux lignes épurées, une couronne cannelée à la manipulation aisée avec un poussoir de chronographe intégré (monopoussoir) ainsi qu’un poussoir à 10 heures pour régler l’aiguille du deuxième fuseau horaire par sauts d’une heure. La lunette concave enserre un verre bombé en saphir, sous lequel se présente le complexe cadran en trois dimensions.
Le fond transparent vissé offre de superbes aperçus sur le verso du mouvement avec son grand balancier et le mécanisme de chronographe décoré à la main. La variante en or rouge s’accompagne d’un bracelet en alligator brun foncé, doté d’une boucle ardillon en or rouge alors que le modèle en or blanc se porte sur un bracelet alligator bleu marine muni d’une boucle ardillon en or blanc.
En effet, pour déterminer sans risque d’erreur leur position en pleine mer, les marins étaient tenus de connaître l’heure locale du port de départ et celle de leur emplacement actuel, en d’autres termes, ils devaient disposer d’une indication simultanée de l’heure dans deux fuseaux horaires.
Le cadran régulateur, qui se caractérise par la présence de l’aiguille des minutes au centre, d’un cadran auxiliaire séparé pour les heures à 12 heures et d’une petite seconde, est un hommage rendu aux vénérables horloges de précision, de grandes dimensions, qui servaient au réglage des garde-temps jusqu’au XXe siècle.
Leur nom de régulateur provient d’ailleurs de l’exercice de cette fonction. Afin que l’indication des secondes ne soit jamais recouverte pendant une période relativement longue par l’aiguille des heures à la progression très lente, l’affichage des heures était disposé sur un cadran distinct, entièrement séparé du compteur des secondes.
Ces imposants régulateurs se dressaient également dans les capitaineries des principaux ports. Avant de prendre la mer, les capitaines venaient y annoncer leur départ et leur dernier acte avant l’appareillage consistait à régler leur chronomètre de marine portable selon les indications affichées par le régulateur de la capitainerie afin d’emporter l’heure exacte à bord lors de leur voyage au long cours.
Autrefois, une référence temporelle précise était indispensable pour conserver le bon cap en pleine mer. Le lien historique avec le nouveau chronographe Régulateur Nautique de Montblanc apparaît dès lors comme une simple évidence.
Ce nouveau chronographe n’offre cependant pas un cadran régulateur habituel, tels qu’ils sont devenus relativement fréquents sur ce type de garde-temps, mais « transforme l’affichage d’un total de huit indications différentes en une véritable expérience topographique » souligne la marque dans son communiqué.
En effet, le spectacle se déroule sur plus d’une demi-douzaine de niveaux différents pour permettre de consulter l’heure de résidence et l’heure locale, l’indication jour/nuit, les affichages du chronographe avec le compteur 30 minutes, la petite seconde ainsi qu’un affichage combiné de la réserve de marche et des zones de remontage.
Le cadran est partiellement ouvert jusqu’à la platine du mouvement perlée à la main, sur laquelle l’observateur peut reconnaître les roues de divers mécanismes. Certaines échelles sont disposées en applique alors que d’autres indications sont littéralement insérées dans le cadran, dans une transposition symbolique du concept de profondeur marine.
Rappelons que pour déterminer le cap à suivre en pleine mer au moyen d’un garde-temps de précision, il est indispensable de connaître l’heure de deux fuseaux horaires, en l’occurrence l’heure du port de départ et celle de l’emplacement actuel du navire.
A partir de ces informations, il est ensuite possible de calculer le zénith du soleil (à 12 heures locales) en fonction de l’heure du port de départ afin de déterminer la longitude géographique correcte. C’est pour cette raison que le chronographe Régulateur Nautique affiche, dans un petit cadran auxiliaire à 12 heures, l’heure locale avec l’aiguille supérieure squelettée et l’heure de référence (heure du port de départ) avec l’aiguille inférieure.
Si l’on se trouve dans le fuseau horaire de référence, les deux aiguilles se recouvrent parfaitement. Lors du passage dans un nouveau fuseau horaire, l’aiguille de l’heure locale est réglée, par sauts d’une heure, à l’aide du poussoir situé à 10 heures. Disposé à 1 heure, un petit cadran 24 heures avec une indication jour/nuit indique le moment de la journée dans le fuseau horaire de référence.
La montre-bracelet de l’ensemble Régulateur Nautique est également un instrument destiné à mesurer de brefs intervalles temporels dans la meilleure tradition des garde-temps de manufacture. Son mouvement de chronographe de calibre MB M16.30 possède un grand compteur des secondes au centre, un compteur 30 minutes à 3 heures et fonctionne de manière classique avec une roue à colonnes et un embrayage horizontal.
Les leviers du chronographe sont réalisés par un minutieux travail manuel et la « mise en fonction » est effectuée à la main en observant attentivement à la loupe les surfaces de contact des leviers du chronographe pendant l’actionnement de la fonction chronographe et en les polissant minutieusement pour leur donner leur forme définitive avec une précision d’un centième de millimètre.
Les composants en acier et le pont de chronographe qui adopte le profil en « V » caractéristique de Minerva (qui appartient à Montblanc) sont aussi anglés et polis à la main. Alors que les leviers sont polis sur une pierre au grain fin, les ponts sont ornés d’une décoration en côtes de Genève, également réalisée à la main. Le grand balancier massif à vis avec spiral Philips oscille à la classique fréquence de 18'000 alternances par heure (2,5 Hertz), qui permet d’effectuer des mesures avec une précision d’un cinquième de seconde. Le chronographe est actionné par le poussoir situé sur la couronne, qui commande successivement les fonctions de démarrage, d’arrêt et de remise à zéro.
Dans la partie inférieure du cadran, le grand affichage de la réserve de marche incarne une véritable innovation de mécanique horlogère. A l’aide de deux aiguilles, il apporte deux informations essentielles à l’autonomie de marche et se révèle en tout point indispensable pour un garde-temps de marine, car la sécurité de la navigation ne peut être garantie que si la montre est régulièrement remontée pendant la traversée pour éviter tout arrêt du mécanisme.
A cet effet, le coup d’œil jeté chaque jour sur l’indication combinée de la réserve de marche et des zones de remontage, qui ne donne pas uniquement une information sur la quantité d’énergie résiduelle emmagasinée dans le barillet, mais indique de manière visible à quel moment le remontage de la montre doit nécessairement intervenir.
Sur une montre mécanique, les horlogers distinguent en effet trois états principaux du ressort moteur : dans le secteur de la réserve de marche normale, le barillet possède suffisamment d’énergie pour assurer des bonnes amplitudes au balancier et, de ce fait, assure une bonne précision de marche. Dans la zone de remontage, le ressort dispose encore d’une force suffisante pour maintenir le mouvement en fonctionnement, mais ne peut plus garantir les amplitudes les plus favorables, de sorte que la marche de la montre pourrait être influencée de manière négative. Le troisième état correspond au ressort entièrement désarmé, qui provoque l’arrêt du mouvement.
L’indication combinée de la réserve de marche et des zones de remontage du chronographe Régulateur Nautique de Montblanc permet donc de distinguer les deux premiers états d’énergie. Si la réserve de marche se trouve dans la zone favorable, les deux aiguilles sont situées l’une au-dessus de l’autre et montrent la durée de marche résiduelle affichée en nombre d’heures. Dans la zone où la tension du ressort moteur s’affaiblit (indiquée par le mot BAS), l’aiguille supérieure reste immobile alors que l’aiguille inférieure rouge se déplace dans la zone de la même couleur, afin de signifier à l’utilisateur qu’il convient de procéder à un nouveau remontage manuel de la montre.
Pour cette information complexe et importante, Minerva Villeret a développé son propre dispositif breveté. Il se compose de 19 éléments qui ne laissent pas uniquement apparaître les aiguilles, mais dévoilent aussi au grand jour le râteau en acier bleui (dans la version en or blanc) dont la pointe en forme de flèche rappelle le traditionnel emblème de Minerva.
Ce mécanisme compliqué est inséré dans un boîtier en or de 43,5 mm, qui lui assure une noble protection. A noter des cornes aux lignes épurées, une couronne cannelée à la manipulation aisée avec un poussoir de chronographe intégré (monopoussoir) ainsi qu’un poussoir à 10 heures pour régler l’aiguille du deuxième fuseau horaire par sauts d’une heure. La lunette concave enserre un verre bombé en saphir, sous lequel se présente le complexe cadran en trois dimensions.
Le fond transparent vissé offre de superbes aperçus sur le verso du mouvement avec son grand balancier et le mécanisme de chronographe décoré à la main. La variante en or rouge s’accompagne d’un bracelet en alligator brun foncé, doté d’une boucle ardillon en or rouge alors que le modèle en or blanc se porte sur un bracelet alligator bleu marine muni d’une boucle ardillon en or blanc.
L’horloge de navigation Montblanc Régulateur Nautique
Montblanc a choisi d’accompagner ce chronographe d’une horloge de marine -idéalement destinée à trouver sa place sur un yacht-, mais qui ne manquera pas d’attirer aussi tous les regards sur terre.
A eux seuls, les matériaux et les dimensions de cette horloge retiennent l’attention et feront battre un peu plus fort le cœur de tout propriétaire d’un navire de plaisance : un diamètre de 56 cm, une hauteur de 93 cm et un poids de 120 kg, un socle en granit, laiton et aluminium massif et fibres de carbone.
Selon toutes les règles de l’art, son imposant mouvement a été réalisé en acier, laiton et rubis. Quant à la question de savoir s’il s’agit plutôt d’un objet d’art réalisé de main de maître ou d’un artistique instrument de mesure du temps… Elle n’appelle qu’une seule réponse : l’un et l’autre.
Le lourd socle en granit aux bras en aluminium et en carbone légèrement courbés assure la stabilité de la pendule. Il n’importe guère à cet égard de savoir si cette pièce sera installée dans la bibliothèque de la demeure familiale ou sur un plan mobile dans le poste de commandement d’un navire. De fait cet instrument de mesure du temps s’adapte parfaitement à ces diverses exigences car sa fixation à cardan dans une cage en laiton nickelé lui permet de s’incliner dans tous les sens afin de conserver en tout temps sa position horizontale.
Ainsi, lorsque le bateau donne de la gîte, il indique le degré d’inclinaison du yacht par une pointe dirigée vers le bas sur une échelle de 0 à 27 degrés, dans une symbiose parfaite entre achèvement esthétique et fonction nautique.
Comme l’horloge de marine forme un ensemble avec le chronographe Régulateur Nautique de Montblanc, l’un des bras de l’horloge comprend une petite suspension à cardan supplémentaire destinée à recevoir la montre-bracelet dans les périodes où elle n’est pas portée au poignet. Dans cette disposition, elle sera toujours maintenue de manière parfaitement horizontale, même par forte houle, une position qui n’expose pas le balancier aux erreurs provoquées par la force de gravitation.
Cependant, penchons-nous sur la grande horloge de marine, qui compose le cœur du système de navigation dès que la dernière côte a disparu. Désormais seuls l’heure exacte d’un port à la situation géographique connue et l’angle formé par le soleil à son zénith sur l’horizon permettent de déterminer la position exacte du yacht...
Sous le verre fortement bombé, le cadran propose une interprétation à large échelle du chronographe Régulateur Nautique. Toutefois, sa vaste surface offre l’espace nécessaire à l’affichage de trois fuseaux horaires : l’heure du port de départ sur un cadran auxiliaire 24 heures à 9 heures, l’heure du port de destination sur un semblable affichage 24 heures à 3 heures et l’heure locale actuelle illustrée sur le cadran principal qui adopte la séparation inhérente aux régulateurs avec de grandes aiguilles des minutes au centre et un petit cadran des heures à 12 heures.
Comme pour la montre-bracelet, une indication combinée de la réserve de marche et des zones de remontage rappelle sur l’horloge de marine la nécessité de procéder au remontage du mécanisme, qui n’intervient cependant que toutes les deux semaines.
Ces affichages sont complétés par l’indication de l’heure universelle, dont l’échelle 24 heures et les noms de ports tournent au-dessous de la suspension à cardan et ne peuvent être consultées que depuis le côté. Un éclairage de LED bleues confère à l’ensemble une lumière à l’éclat attirant et mystérieux. La fonction de l’heure universelle peut revêtir un caractère particulièrement prestigieux et personnel, si le propriétaire ne se contente pas de l’échelle standard, mais choisit pour chaque fuseau horaire l’un de ses lieux de prédilection. Ainsi, Genève peut remplacer Paris si telle est sa ville de résidence, Hoboken (New Jersey) s’imposer face à New York, si tel est son lieu de naissance alors que Tokyo cédera la place à Osaka, où se trouve peut-être son restaurant favori. Dans cette exécution personnalisée, ce prestigieux ensemble cesse d’être une édition limitée… pour devenir une authentique pièce unique.
Pour réaliser cette exceptionnelle horloge de marine, Montblanc s’est attaché la collaboration de la célèbre manufacture de pendules Erwin Sattler, qui occupe une position de leader dans ce segment particulier. La construction, le mode de fonctionnement et la réalisation du mouvement présentent toutes les caractéristiques d’un art horloger élevé à son sommet et d’une fabrication de manufacture.
Les roues dentées à la brillance dorée sont confectionnées par des processus longs et minutieux qui requièrent le fraisage individuel de chaque dent. Aussi, la taille d’une seule roue s’étend sur plusieurs minutes, qui seront suivies par des opérations de finition qui exigent un temps précieux, comme l’anglage, le polissage de la surface des roues et des flancs des dents ainsi que le dorage complet, qui protège les roues de la corrosion et réduit la friction entre les surfaces au poli spéculaire.
La réserve de marche de 360 heures demande un barillet aux dimensions adaptées avec un ressort moteur d’une longueur respectable ainsi qu’une chaîne et une fusée afin de compenser un couple qui ne cesse de se réduire. Ce dispositif délivre la force par un filin en acier enroulé autour d’une fusée à la première roue du rouage, en modifiant continuellement le levier d’action en fonction du désarmage progressif du barillet afin de transmettre le même couple au rouage, malgré la réduction de la force.
Le transfert d’énergie est régulé par un échappement à ancre suisse et un balancier à vis avec un spiral bleui. Il apparaît distinctement dans l’ouverture du cadran à 13 heures qui oscille à la sereine et classique fréquence de 2,5 Hertz (18'000 alternances par heure).
Ces sets exclusifs seront disponibles dans certaines boutiques Montblanc et chez des joailliers spéciaux à partir de Juin 2012.
A eux seuls, les matériaux et les dimensions de cette horloge retiennent l’attention et feront battre un peu plus fort le cœur de tout propriétaire d’un navire de plaisance : un diamètre de 56 cm, une hauteur de 93 cm et un poids de 120 kg, un socle en granit, laiton et aluminium massif et fibres de carbone.
Selon toutes les règles de l’art, son imposant mouvement a été réalisé en acier, laiton et rubis. Quant à la question de savoir s’il s’agit plutôt d’un objet d’art réalisé de main de maître ou d’un artistique instrument de mesure du temps… Elle n’appelle qu’une seule réponse : l’un et l’autre.
Le lourd socle en granit aux bras en aluminium et en carbone légèrement courbés assure la stabilité de la pendule. Il n’importe guère à cet égard de savoir si cette pièce sera installée dans la bibliothèque de la demeure familiale ou sur un plan mobile dans le poste de commandement d’un navire. De fait cet instrument de mesure du temps s’adapte parfaitement à ces diverses exigences car sa fixation à cardan dans une cage en laiton nickelé lui permet de s’incliner dans tous les sens afin de conserver en tout temps sa position horizontale.
Ainsi, lorsque le bateau donne de la gîte, il indique le degré d’inclinaison du yacht par une pointe dirigée vers le bas sur une échelle de 0 à 27 degrés, dans une symbiose parfaite entre achèvement esthétique et fonction nautique.
Comme l’horloge de marine forme un ensemble avec le chronographe Régulateur Nautique de Montblanc, l’un des bras de l’horloge comprend une petite suspension à cardan supplémentaire destinée à recevoir la montre-bracelet dans les périodes où elle n’est pas portée au poignet. Dans cette disposition, elle sera toujours maintenue de manière parfaitement horizontale, même par forte houle, une position qui n’expose pas le balancier aux erreurs provoquées par la force de gravitation.
Cependant, penchons-nous sur la grande horloge de marine, qui compose le cœur du système de navigation dès que la dernière côte a disparu. Désormais seuls l’heure exacte d’un port à la situation géographique connue et l’angle formé par le soleil à son zénith sur l’horizon permettent de déterminer la position exacte du yacht...
Sous le verre fortement bombé, le cadran propose une interprétation à large échelle du chronographe Régulateur Nautique. Toutefois, sa vaste surface offre l’espace nécessaire à l’affichage de trois fuseaux horaires : l’heure du port de départ sur un cadran auxiliaire 24 heures à 9 heures, l’heure du port de destination sur un semblable affichage 24 heures à 3 heures et l’heure locale actuelle illustrée sur le cadran principal qui adopte la séparation inhérente aux régulateurs avec de grandes aiguilles des minutes au centre et un petit cadran des heures à 12 heures.
Comme pour la montre-bracelet, une indication combinée de la réserve de marche et des zones de remontage rappelle sur l’horloge de marine la nécessité de procéder au remontage du mécanisme, qui n’intervient cependant que toutes les deux semaines.
Ces affichages sont complétés par l’indication de l’heure universelle, dont l’échelle 24 heures et les noms de ports tournent au-dessous de la suspension à cardan et ne peuvent être consultées que depuis le côté. Un éclairage de LED bleues confère à l’ensemble une lumière à l’éclat attirant et mystérieux. La fonction de l’heure universelle peut revêtir un caractère particulièrement prestigieux et personnel, si le propriétaire ne se contente pas de l’échelle standard, mais choisit pour chaque fuseau horaire l’un de ses lieux de prédilection. Ainsi, Genève peut remplacer Paris si telle est sa ville de résidence, Hoboken (New Jersey) s’imposer face à New York, si tel est son lieu de naissance alors que Tokyo cédera la place à Osaka, où se trouve peut-être son restaurant favori. Dans cette exécution personnalisée, ce prestigieux ensemble cesse d’être une édition limitée… pour devenir une authentique pièce unique.
Pour réaliser cette exceptionnelle horloge de marine, Montblanc s’est attaché la collaboration de la célèbre manufacture de pendules Erwin Sattler, qui occupe une position de leader dans ce segment particulier. La construction, le mode de fonctionnement et la réalisation du mouvement présentent toutes les caractéristiques d’un art horloger élevé à son sommet et d’une fabrication de manufacture.
Les roues dentées à la brillance dorée sont confectionnées par des processus longs et minutieux qui requièrent le fraisage individuel de chaque dent. Aussi, la taille d’une seule roue s’étend sur plusieurs minutes, qui seront suivies par des opérations de finition qui exigent un temps précieux, comme l’anglage, le polissage de la surface des roues et des flancs des dents ainsi que le dorage complet, qui protège les roues de la corrosion et réduit la friction entre les surfaces au poli spéculaire.
La réserve de marche de 360 heures demande un barillet aux dimensions adaptées avec un ressort moteur d’une longueur respectable ainsi qu’une chaîne et une fusée afin de compenser un couple qui ne cesse de se réduire. Ce dispositif délivre la force par un filin en acier enroulé autour d’une fusée à la première roue du rouage, en modifiant continuellement le levier d’action en fonction du désarmage progressif du barillet afin de transmettre le même couple au rouage, malgré la réduction de la force.
Le transfert d’énergie est régulé par un échappement à ancre suisse et un balancier à vis avec un spiral bleui. Il apparaît distinctement dans l’ouverture du cadran à 13 heures qui oscille à la sereine et classique fréquence de 2,5 Hertz (18'000 alternances par heure).
Ces sets exclusifs seront disponibles dans certaines boutiques Montblanc et chez des joailliers spéciaux à partir de Juin 2012.
La navigation en haute mer à l’origine de la mesure précise du temps
Historiquement, la conquête des océans du globe et le développement de la mesure précise du temps sont alliés de manière indissociable. Sur les infinies étendues marines, le classique point de navigation permettait uniquement de déterminer la latitude entre 90° nord et 90° sud, mais non la longitude, soit l’emplacement du navire sur l’axe est-ouest.
L’impossibilité de connaître sa position exacte et, de ce fait, de suivre un cap sûr, entraîna des conséquences dramatiques. Au cours de l’histoire de la navigation, des centaines de voiliers se brisèrent sur des récifs, en provoquant la mort de milliers de marins. Au XVIIIe siècle, les Anglais, et en premier lieu John Harrison, développèrent des garde-temps de haute précision connus aujourd’hui sous le nom de chronomètre de marine, afin d’apporter enfin une solution à ce problème lancinant.
Le point avec un sextant et un chronomètre de marine
La surface des océans n’offre guère de points de repère qui permettraient au navigateur de s’orienter. Il voit le bateau, sur lequel il vogue, le panorama de l’horizon à 360 degrés et les corps célestes que sont le Soleil, la Lune, l’Etoile Polaire (dans l’hémisphère nord) ou la Croix du Sud (dans l’hémisphère austral). S’il est aisé de déterminer la latitude avec un sextant en mesurant depuis sa position l’angle entre l’horizon et le zénith du soleil, le calcul de la longitude se révèle incomparablement plus complexe.
Comme cette position est définie sur l’axe est-ouest, sur lequel le soleil se déplace tout au long de sa course autour de la Terre, cet astre ne peut servir de point de référence. En outre, le soleil atteint son zénith à un moment différent en chaque lieu de la planète, de sorte qu’il est nécessaire de connaitre le parcours de son zénith sur l’axe temporel.
Le soleil se déplace une fois en 24 heures de 360° autour de la Terre. Il recule donc chaque heure d’un angle de 15 degrés de longitude ou d’un degré toutes les 4 minutes. Si les marins emportent une montre de précision à bord, qui indique l’heure exacte du port de départ, par exemple Southampton sur la côte méridionale anglaise, il devient possible de déterminer la longitude sans difficulté.
Dès que le soleil est à son zénith, il est 12 heures en ce lieu. Il convient alors de consulter l’heure locale de Southampton sur le chronomètre de marine. Supposons que le garde-temps indique 16h24. Nous savons désormais que notre position est située à 264 minutes solaires (4 heures 24 minutes) à l'ouest de Southampton. Une simple division par 4 indique une longitude de 66°ouest. Il suffit dès lors de mesurer à l’aide du sextant la hauteur du soleil sur l’horizon et reporter la latitude sur la carte marine afin de connaître sa position exacte.
Brève remarque accessoire : la navigation par géolocalisation se fonde aussi sur la mesure précise du temps. Ainsi, chaque satellite du système européen Galileo dispose de quatre horloges atomiques construites en Suisse, dont les deux plus exactes présentent chacune une erreur d’une seconde en un million d’années. Le principe demeure, la précision et la facilité d’utilisation ont enregistré des progrès considérables.
L’impossibilité de connaître sa position exacte et, de ce fait, de suivre un cap sûr, entraîna des conséquences dramatiques. Au cours de l’histoire de la navigation, des centaines de voiliers se brisèrent sur des récifs, en provoquant la mort de milliers de marins. Au XVIIIe siècle, les Anglais, et en premier lieu John Harrison, développèrent des garde-temps de haute précision connus aujourd’hui sous le nom de chronomètre de marine, afin d’apporter enfin une solution à ce problème lancinant.
Le point avec un sextant et un chronomètre de marine
La surface des océans n’offre guère de points de repère qui permettraient au navigateur de s’orienter. Il voit le bateau, sur lequel il vogue, le panorama de l’horizon à 360 degrés et les corps célestes que sont le Soleil, la Lune, l’Etoile Polaire (dans l’hémisphère nord) ou la Croix du Sud (dans l’hémisphère austral). S’il est aisé de déterminer la latitude avec un sextant en mesurant depuis sa position l’angle entre l’horizon et le zénith du soleil, le calcul de la longitude se révèle incomparablement plus complexe.
Comme cette position est définie sur l’axe est-ouest, sur lequel le soleil se déplace tout au long de sa course autour de la Terre, cet astre ne peut servir de point de référence. En outre, le soleil atteint son zénith à un moment différent en chaque lieu de la planète, de sorte qu’il est nécessaire de connaitre le parcours de son zénith sur l’axe temporel.
Le soleil se déplace une fois en 24 heures de 360° autour de la Terre. Il recule donc chaque heure d’un angle de 15 degrés de longitude ou d’un degré toutes les 4 minutes. Si les marins emportent une montre de précision à bord, qui indique l’heure exacte du port de départ, par exemple Southampton sur la côte méridionale anglaise, il devient possible de déterminer la longitude sans difficulté.
Dès que le soleil est à son zénith, il est 12 heures en ce lieu. Il convient alors de consulter l’heure locale de Southampton sur le chronomètre de marine. Supposons que le garde-temps indique 16h24. Nous savons désormais que notre position est située à 264 minutes solaires (4 heures 24 minutes) à l'ouest de Southampton. Une simple division par 4 indique une longitude de 66°ouest. Il suffit dès lors de mesurer à l’aide du sextant la hauteur du soleil sur l’horizon et reporter la latitude sur la carte marine afin de connaître sa position exacte.
Brève remarque accessoire : la navigation par géolocalisation se fonde aussi sur la mesure précise du temps. Ainsi, chaque satellite du système européen Galileo dispose de quatre horloges atomiques construites en Suisse, dont les deux plus exactes présentent chacune une erreur d’une seconde en un million d’années. Le principe demeure, la précision et la facilité d’utilisation ont enregistré des progrès considérables.
Spécificités techniques du set Montblanc Collection Villeret 1858
Chronographe Régulateur Nautique Montblanc Villeret
Mouvement mécanique à remontage manuel
Fonctions : chronographe monopoussoir avec roue à colonnes, embrayage horizontal et compteur des minutes semi-instantané, 2e fuseau horaire, indication jour/nuit et affichage combiné de la réserve de marche et des zones de remontage
Dimensions : diamètre 38,4 mm, hauteur 7,90 mm
Nombre de composants : 304 (mouvement complet)
Nombre de rubis : 35 (semi-sphériques bombés et olivés)
Balancier à vis, diamètre 14,5 mm, 59 mgcm²
Fréquence 18’000 alternances par heure (2,5 Hz)
Spiral : avec courbe terminale Philips
Platine : maillechort rhodié, perlée des deux côtés, (bords) anglés à la main
Ponts : maillechort rhodié, décoration côtes de Genève, (bords) anglés à la main
Rouage : roues : dorées 2N, satiné circulaire, anglées, centre diamanté des deux côtés
Pignons : faces polies, flancs des dents polis, axes et pivots brunis
Réserve de marche : 50 heures
Indications (montre) : heures et 2e fuseau horaire (heure de résidence) à 12 heures, minutes au centre, petite seconde à 9 heures, indication jour/nuit pour l’heure de résidence à 2 heures et affichage combiné de la réserve de marche et des zones de remontage à 6 heures.
Indications (chronographe) : secondes au centre, compteur 30 minutes à 3 heures.
Boîtier : or rouge 5N ou or blanc 18 carats
Verre saphir bombé, fond transparent vissé avec verre saphir
Dimensions : diamètre : 43,5 mm / hauteur : 14,67 mm
Etanchéité 3 bar (30 mètres)
Couronne : avec poussoir intégré à 3 heures et emblème Montblanc en nacre
Poussoir : à 10 heures pour régler l’aiguille de l’heure locale par sauts des fuseaux horaires d’une heure
Cadran : en or massif, partiellement ouvert et doté d’échelles dans une disposition en trois dimensions
Aiguilles : en or 18 carats, aiguilles du chronographe en Pfinodal
Bracelet : alligator cousu main, boucle ardillon en or rouge ou blanc 18 carats
Edition limitée 8 exemplaires en or rouge 18 carats et 8 exemplaires en or blanc 18 carats exclusivement disponibles dans un ensemble avec l’horloge de Marine Montblanc Régulateur Nautique
Horloge de Marine Régulateur Nautique
Mouvement mécanique à remontage manuel
Echappement : à ancre suisse avec balancier à vis
Fréquence : 18’000 alternances par heure (2,5 Hz)
Rouage : roues fraisées et dorées
Transmission : compensation du couple par fusée
Roulement à billes : 26
Nombre de rubis : 13
Pignons : acier durci
Réserve de marche : 360 heures
Fonctions : heure locale, heure du port de départ et du port d’arrivée comme indication 24 heures, petite seconde, heure universelle, indication de la réserve de marche et des zones de remontage
Boîtier : laiton tourné, fraisé, poli main et nickelé (doré or pour le modèle qui accompagne la montre bracelet en or rouge)
Cabinet avec suspension à cardan, instrument de mesure de l’inclinaison avec échelle et aiguille
Eclairage bleu par LED
Dimensions :
Diamètre de l’horloge : 64 cm
Diamètre du socle de granit : 56 cm
Hauteur : 93 cm
Poids : env. 120 kg
Edition limitée 8 exemplaires chaque nickelé et doré or rouge, exclusivement disponibles dans un ensemble avec le chronographe Montblanc Régulateur Nautique en or rouge 18 carats ou en or blanc 18 carats.
Mouvement mécanique à remontage manuel
Fonctions : chronographe monopoussoir avec roue à colonnes, embrayage horizontal et compteur des minutes semi-instantané, 2e fuseau horaire, indication jour/nuit et affichage combiné de la réserve de marche et des zones de remontage
Dimensions : diamètre 38,4 mm, hauteur 7,90 mm
Nombre de composants : 304 (mouvement complet)
Nombre de rubis : 35 (semi-sphériques bombés et olivés)
Balancier à vis, diamètre 14,5 mm, 59 mgcm²
Fréquence 18’000 alternances par heure (2,5 Hz)
Spiral : avec courbe terminale Philips
Platine : maillechort rhodié, perlée des deux côtés, (bords) anglés à la main
Ponts : maillechort rhodié, décoration côtes de Genève, (bords) anglés à la main
Rouage : roues : dorées 2N, satiné circulaire, anglées, centre diamanté des deux côtés
Pignons : faces polies, flancs des dents polis, axes et pivots brunis
Réserve de marche : 50 heures
Indications (montre) : heures et 2e fuseau horaire (heure de résidence) à 12 heures, minutes au centre, petite seconde à 9 heures, indication jour/nuit pour l’heure de résidence à 2 heures et affichage combiné de la réserve de marche et des zones de remontage à 6 heures.
Indications (chronographe) : secondes au centre, compteur 30 minutes à 3 heures.
Boîtier : or rouge 5N ou or blanc 18 carats
Verre saphir bombé, fond transparent vissé avec verre saphir
Dimensions : diamètre : 43,5 mm / hauteur : 14,67 mm
Etanchéité 3 bar (30 mètres)
Couronne : avec poussoir intégré à 3 heures et emblème Montblanc en nacre
Poussoir : à 10 heures pour régler l’aiguille de l’heure locale par sauts des fuseaux horaires d’une heure
Cadran : en or massif, partiellement ouvert et doté d’échelles dans une disposition en trois dimensions
Aiguilles : en or 18 carats, aiguilles du chronographe en Pfinodal
Bracelet : alligator cousu main, boucle ardillon en or rouge ou blanc 18 carats
Edition limitée 8 exemplaires en or rouge 18 carats et 8 exemplaires en or blanc 18 carats exclusivement disponibles dans un ensemble avec l’horloge de Marine Montblanc Régulateur Nautique
Horloge de Marine Régulateur Nautique
Mouvement mécanique à remontage manuel
Echappement : à ancre suisse avec balancier à vis
Fréquence : 18’000 alternances par heure (2,5 Hz)
Rouage : roues fraisées et dorées
Transmission : compensation du couple par fusée
Roulement à billes : 26
Nombre de rubis : 13
Pignons : acier durci
Réserve de marche : 360 heures
Fonctions : heure locale, heure du port de départ et du port d’arrivée comme indication 24 heures, petite seconde, heure universelle, indication de la réserve de marche et des zones de remontage
Boîtier : laiton tourné, fraisé, poli main et nickelé (doré or pour le modèle qui accompagne la montre bracelet en or rouge)
Cabinet avec suspension à cardan, instrument de mesure de l’inclinaison avec échelle et aiguille
Eclairage bleu par LED
Dimensions :
Diamètre de l’horloge : 64 cm
Diamètre du socle de granit : 56 cm
Hauteur : 93 cm
Poids : env. 120 kg
Edition limitée 8 exemplaires chaque nickelé et doré or rouge, exclusivement disponibles dans un ensemble avec le chronographe Montblanc Régulateur Nautique en or rouge 18 carats ou en or blanc 18 carats.