En ces temps incertains, pas facile de lancer une nouvelle marque horlogère… Le marché européen est saturé et les clients prudents… Pourtant, certains entrepreneurs tentent de braver ces obstacles et se lancent dans l’aventure. Contre vents et marées…
Tel le petit gaulois bien connu, il est donc des hommes qui résistent et qui s’obstinent. C’est le cas, incontestablement d’Olivier Jonquet qui prend le pari de créer sa propre marque baptisée OJ, en référence, tout simplement, à ses initiales.
Dans ce cas précis, la prise de risque reste cependant limitée… En effet, comme certains de ses concurrents (Burel par exemple), Olivier Jonquet a choisi un mode de commercialisation un peu particulier… Ainsi, ce modèle en acier de forme coussin baptisé « Elie » ne sera produit qu’une fois les 50 précommandes (exclusivement en ligne au prix de 1 .890 euros) dument reçues.
« L’horlogerie française a encore de l’avenir, nous y croyons et sommes fiers de vous proposer une montre « made in France » conçue et commercialisée par une petite entreprise familiale en Provence » explique Olivier Jonquet. Et de poursuivre : « de nombreux artisans français, détenteurs d’un savoir-faire traditionnel ont contribué à la création de ce modèle qui est assemblé dans un atelier du Haut-Doubs, berceau de l’horlogerie française ».
Les aiguilles en acier bleui de type « Breguet » et le boitier de forme coussin sont fabriqués dans la même région. Le mouvement mécanique (heures, minutes et petite seconde) est français ; il date des années 70 (il s’agit de calibres « neuf de stock » remis en service). Le cadran blanc arbore des chiffres arabes et une petite seconde à 6 heures. Aucune marque n’est indiquée. A noter que les bracelets (cuir vintage ou caïman) sont fabriqués artisanalement par l’Atelier Thibot.
Ce modèle est garanti deux ans et vous est proposé dans deux finitions au choix : boitier satiné ou brillant.
Tel le petit gaulois bien connu, il est donc des hommes qui résistent et qui s’obstinent. C’est le cas, incontestablement d’Olivier Jonquet qui prend le pari de créer sa propre marque baptisée OJ, en référence, tout simplement, à ses initiales.
Dans ce cas précis, la prise de risque reste cependant limitée… En effet, comme certains de ses concurrents (Burel par exemple), Olivier Jonquet a choisi un mode de commercialisation un peu particulier… Ainsi, ce modèle en acier de forme coussin baptisé « Elie » ne sera produit qu’une fois les 50 précommandes (exclusivement en ligne au prix de 1 .890 euros) dument reçues.
« L’horlogerie française a encore de l’avenir, nous y croyons et sommes fiers de vous proposer une montre « made in France » conçue et commercialisée par une petite entreprise familiale en Provence » explique Olivier Jonquet. Et de poursuivre : « de nombreux artisans français, détenteurs d’un savoir-faire traditionnel ont contribué à la création de ce modèle qui est assemblé dans un atelier du Haut-Doubs, berceau de l’horlogerie française ».
Les aiguilles en acier bleui de type « Breguet » et le boitier de forme coussin sont fabriqués dans la même région. Le mouvement mécanique (heures, minutes et petite seconde) est français ; il date des années 70 (il s’agit de calibres « neuf de stock » remis en service). Le cadran blanc arbore des chiffres arabes et une petite seconde à 6 heures. Aucune marque n’est indiquée. A noter que les bracelets (cuir vintage ou caïman) sont fabriqués artisanalement par l’Atelier Thibot.
Ce modèle est garanti deux ans et vous est proposé dans deux finitions au choix : boitier satiné ou brillant.