Ainsi, face au marché grandissant des smartwatches, le studio Hysek Design fondé en 1982 par Jorg Hysek lui-même envisage de concevoir des garde-temps connectés selon les plus hauts standards suisses. « Une combinaison idéale pour formuler un produit de luxe, alternatif à ceux proposés par l’industrie des nouvelles technologies » affirme son communiqué.
Ces derniers temps, les e-technologies sont l'un des sujets les plus évoqués dans le monde horloger. En effet, le secteur des objets connectés est en plein boom, et avec lui, celui des montres intelligentes dites « smartwatches ». De nos jours, les progrès (exponentiels) ont rendu les technologies « portatives ». Des plus utiles aux plus superflues, chacun est tenté de les emporter partout, en particulier lorsque celles-ci sont accessibles à même le poignet.
Selon la société de recherche et de consulting britannique Analysys Mason, 13.6 millions de montres intelligentes seront vendues à travers le monde en 2015 contre un peu moins d’un million l’année passée. Des études américaines estiment ce nouveau marché à 30 milliards de dollars pour 2015, soit l’équivalent des exportations horlogères suisses (Journal Le Monde) !
Ces derniers temps, les e-technologies sont l'un des sujets les plus évoqués dans le monde horloger. En effet, le secteur des objets connectés est en plein boom, et avec lui, celui des montres intelligentes dites « smartwatches ». De nos jours, les progrès (exponentiels) ont rendu les technologies « portatives ». Des plus utiles aux plus superflues, chacun est tenté de les emporter partout, en particulier lorsque celles-ci sont accessibles à même le poignet.
Selon la société de recherche et de consulting britannique Analysys Mason, 13.6 millions de montres intelligentes seront vendues à travers le monde en 2015 contre un peu moins d’un million l’année passée. Des études américaines estiment ce nouveau marché à 30 milliards de dollars pour 2015, soit l’équivalent des exportations horlogères suisses (Journal Le Monde) !
« C’est la première fois depuis au moins une décennie que le marché regarde l’horlogerie suisse comme la victime collatérale potentielle des nouvelles technologies » souligne un journaliste de l’Agefi. Certes, le marché horloger n’est pas encore officiellement impacté et les habitudes de consommations ne changeront pas complètement, mais devant le phénomène, la confiance des investisseurs chancèle et la pression se reporte sur les grands groupes. Allons-nous revivre l’effet quartz des années 70 ? A Las Vegas, où vient de se dérouler le CES (Consumer Electronics Show), les dernières smartwatches ont eu la part belle. Et les innovations viennent de géants de la technologie et des télécommunications comme Garmin, Alcaltel, Apple et Sony.
Alors que le marché des montres intelligentes conquiert un public toujours plus grand, le bureau Hysek Design, animé par Jorg Hysek et Valérie Ursenbacher, constate un paradoxe : ces nouveaux garde-temps n’ont aucun lien avec la véritable horlogerie mais sont en bonne voie pour rivaliser avec leurs consœurs mécaniques « swiss made ». Ce sont les acteurs d’une autre industrie qui maitrisent le marché. Le centre névralgique de l’industrie et des compétences horlogères à l’échelle globale qu’est la Suisse restera-t-il immobile alors que le train passe ?
Pour l’instant, les smartwatches se frottent au secteur horloger limité aux segments « entrée » et « moyen de gamme ». Un élément qui laisse entrevoir au bureau de Hysek Design que l’horlogerie de luxe a sa carte à jouer pour façonner à son image le segment haut de gamme des montres intelligentes. Chez Hyseck Design, on anticipe et on influence les tendances de l’horlogerie de luxe depuis de nombreuses années.
Alors que le marché des montres intelligentes conquiert un public toujours plus grand, le bureau Hysek Design, animé par Jorg Hysek et Valérie Ursenbacher, constate un paradoxe : ces nouveaux garde-temps n’ont aucun lien avec la véritable horlogerie mais sont en bonne voie pour rivaliser avec leurs consœurs mécaniques « swiss made ». Ce sont les acteurs d’une autre industrie qui maitrisent le marché. Le centre névralgique de l’industrie et des compétences horlogères à l’échelle globale qu’est la Suisse restera-t-il immobile alors que le train passe ?
Pour l’instant, les smartwatches se frottent au secteur horloger limité aux segments « entrée » et « moyen de gamme ». Un élément qui laisse entrevoir au bureau de Hysek Design que l’horlogerie de luxe a sa carte à jouer pour façonner à son image le segment haut de gamme des montres intelligentes. Chez Hyseck Design, on anticipe et on influence les tendances de l’horlogerie de luxe depuis de nombreuses années.
Mené par un designer fondateur à la réputation bien établie, le bureau a tout d’abord gagné la confiance des plus belles maisons du luxe horloger traditionnel. Dans les années 80 et 90, il conçoit et produit les pièces et collections d’Ebel, de Tiffany & Co ou encore de TAG Heuer, Dunhill ou Breguet… Il se voit récompensé pour ses créations pour Vacheron Constantin par le Grand Prix de l’Horlogerie de Genève. Par la suite, en 2000, Hysek Design prouve ses compétences avec l’élaboration d’une ligne d’horlogerie et d’instruments d’écriture de haute qualité. Polyvalent et touche à tout, le bureau a récemment révélé son talent créatif autour de garde-temps à grandes complications pour la marque HD3 et collaboré avec les équipes les plus innovantes de Suisse pour créer la première montre tactile à mouvement mécanique virtuel (Slyde).
Selon Hysek Design, la technologie a sa place dans l’univers du design horloger haut de gamme. Il suffit de regarder du côté de l’automobile qui influence depuis toujours la sensibilité esthétique du consommateur. A l’instar de Tesla : qui aurait pensé qu’une voiture de sport de luxe puisse être électrique ? Qui plus est, en offrant une image des plus avantageuses pour son conducteur : design et fonctionnalités d’avant-garde, affranchis des codes traditionnels du luxe académique.
« Le monde évolue vite. Il est temps que la Suisse se réveille ! ». Dans une interview (journal Le Temps), Peter Stas, PDG et fondateur de la marque Frédéric Constant encourage les horlogers suisses à ne pas minimiser les innovations, telles que l’apparition des montres connectées. Si certains se risquent déjà à intégrer certaines technologies à leur garde-temps, c’est encore timidement, à travers des accessoires connectés (Montblanc et son bracelet connecté) ou des fonctionnalités limitées. Pourquoi se limiter à cela ?
Selon Hysek Design, la technologie a sa place dans l’univers du design horloger haut de gamme. Il suffit de regarder du côté de l’automobile qui influence depuis toujours la sensibilité esthétique du consommateur. A l’instar de Tesla : qui aurait pensé qu’une voiture de sport de luxe puisse être électrique ? Qui plus est, en offrant une image des plus avantageuses pour son conducteur : design et fonctionnalités d’avant-garde, affranchis des codes traditionnels du luxe académique.
« Le monde évolue vite. Il est temps que la Suisse se réveille ! ». Dans une interview (journal Le Temps), Peter Stas, PDG et fondateur de la marque Frédéric Constant encourage les horlogers suisses à ne pas minimiser les innovations, telles que l’apparition des montres connectées. Si certains se risquent déjà à intégrer certaines technologies à leur garde-temps, c’est encore timidement, à travers des accessoires connectés (Montblanc et son bracelet connecté) ou des fonctionnalités limitées. Pourquoi se limiter à cela ?
Pour Hysek Design, l’horlogerie de luxe a une vraie carte à jouer en apportant son expertise à l’édifice de la montre intelligente. L’intégration des nouvelles fonctionnalités numériques dans des designs véritablement conçues et travaillées dans le pur savoir-faire suisse est la clé pour apporter une plus-value à cet univers. Des objets de design abritant l’électronique intuitive pour des fonctions pertinentes : sécurité ou domotique, santé, monitoring des activités outdoor ou télécommunications, et pourvus de boîtes manufacturées avec rigueur et soin selon les plus hauts standards de l’horlogerie traditionnelle. Ainsi, les créateurs de Hysek Design revendiquent l’identité forte du haut de gamme et pensent des garde-temps intelligents destinées aux aficionados du luxe.
Avec cet appel ouvert, le bureau Hysek Design prend position et souhaite montrer qu’objet de luxe et technologie sont compatibles en proposant une série de concepts de garde-temps intelligents. Aujourd’hui, quelques jours avant l’ouverture du bal de Bâle, les designers de chez Hysek Design appellent l’horlogerie classique à se joindre à ce mouvement précurseur et à créer une nouvelle offre.
Reste tout de même un problème… Les montres suisses séduisent les amateurs d’horlogerie principalement pour leurs calibres mécaniques. Or, cet aspect disparait totalement de ces propositions pour laisser place, uniquement, aux savoir-faire en matière de fabrication de boites et de design… Mais quid du moteur ? Un amateur de Rolex, d’Omega, de Patek Philippe, d’Audemars Piguet, de FP Journe ou de Girard-Perregaux n’abandonnera jamais son garde-temps mécanique au profit d’une montre (aussi belle soit-elle) connectée, mais sans âme. Peut-être à terme, porteront-nous les deux… L’avenir nous le dira.
Article publié avec Hysek Design
Avec cet appel ouvert, le bureau Hysek Design prend position et souhaite montrer qu’objet de luxe et technologie sont compatibles en proposant une série de concepts de garde-temps intelligents. Aujourd’hui, quelques jours avant l’ouverture du bal de Bâle, les designers de chez Hysek Design appellent l’horlogerie classique à se joindre à ce mouvement précurseur et à créer une nouvelle offre.
Reste tout de même un problème… Les montres suisses séduisent les amateurs d’horlogerie principalement pour leurs calibres mécaniques. Or, cet aspect disparait totalement de ces propositions pour laisser place, uniquement, aux savoir-faire en matière de fabrication de boites et de design… Mais quid du moteur ? Un amateur de Rolex, d’Omega, de Patek Philippe, d’Audemars Piguet, de FP Journe ou de Girard-Perregaux n’abandonnera jamais son garde-temps mécanique au profit d’une montre (aussi belle soit-elle) connectée, mais sans âme. Peut-être à terme, porteront-nous les deux… L’avenir nous le dira.
Article publié avec Hysek Design