Montres de chronométrie : exposition Omega du 15 septembre au 24 octobre 2014


Après la Moonwatch cet été, Omega vous invite donc à découvrir en cette rentrée 2014, quatorze modèles emblématiques de montres de chronométrie allant de 1930 à nos jours, issues du musée de Bienne, retraçant cette saga. « L’heure exacte pour la vie »…


Les chronomètres Omega ont été édités en version de poche puis en montre bracelet en 1941. Ensuite, l’évolution technique et les concours de précision (les Observatoires de Genève et de Neuchâtel - les plus réputés en Suisse) ont permis à la manufacture de se hisser rapidement au rang des meilleurs.
 
La désignation du chronomètre : se dit d’une montre officiellement certifiée de haute précision par le COSC : Contrôle officiel Suisse des Chronomètres. Les écarts de marche ne peuvent excéder -4 et +6 secondes par jour. Omega s’y engage depuis 1894. En 1929, on pouvait lire sur les publicités de l’époque, le slogan : « Omega, l’heure exacte pour la vie »
 
En 1936, en Angleterre, à Kew-Teddinghton, l’horloger biennois s’illustre avec un résultat de 97,8  points sur 100, un résultat inégalé, le calibre 47,7 devient ainsi l’ambassadeur de la précision helvétique et sera présenté pendant l’exposition universelle de New York en 1939. En 1974, la marque, qui s’est diversifiée dans les calibres à quartz,  réalise la seule et unique montre-bracelet qui obtient le titre suprême de chronomètre de marine, assurant un écart de marche inférieur à une seconde par mois. (OMEGA Megaquartz 2400)
 
En 1980, Henri Schneider développera pour la Marine nationale française un autre chronomètre de plus gros volume dont la précision sera inégalée. La technologie traditionnelle avec les montres mécaniques  retrouvent un véritable regain dans le milieu des années 1980, et l’arrivée du révolutionnaire calibre Co-Axial marque un nouveau tournant dans l’histoire de l’horlogerie.
 
Crée en  1999, l’Omega De Ville Co-Axial est le premier chronomètre-bracelet à être équipé du révolutionnaire calibre automatique 2500 à échappement Co-Axial, brevet mis au point par l’anglais George Daniels. Ce système est une des inventions horlogères majeures du 20ème siècle dans le domaine des montres mécaniques. Il réduit pratiquement à néant le frottement de la roue d’ancre, palliant ainsi un problème majeur des horlogers, celui de la lubrification de l’échappement.
 
Par ailleurs, toujours selon la marque, le Co-Axial prolonge la durée de vie et surtout assure précision et stabilité à long terme. Le Calibre 2500 ouvre donc un nouveau chapitre sur la production en série des chronomètres-bracelet Omega. L'échappement Co-Axial est le premier échappement innovant et fonctionnel inventé en 250 ans ; il est venu contester la suprématie de l'échappement à ancre suisse qui a longtemps constitué le pilier de l'industrie.
 
En 2007, la marque lance son propre calibre manufacture Co-Axial 8500 exclusif. En 2008, la maison commercialise le spiral antimagnétique en silicium dans ses calibres Co-Axial exclusifs. La même année, la saga continue avec le lancement du calibre manufacture Co-Axial 8520/8521 spécialement conçu pour des montres de petit diamètre. Ce calibre fut introduit dans la nouvelle collection Aqua Terra pour dame.
 
Depuis, l’offre en calibres Co-Axial s’est constamment enrichie : le premier calibre chronographe Co-Axial d’Omega est le 9300/9301 , il dispose d’une réserve de marche qui atteint 60 heures, enfin le 9605/9615 rassemble les fonctions chronographe, GMT et date. De plus, Omega a lancé en 2013 sa technologie antimagnétique exclusive avec la montre-bracelet Seamaster Aqua Terra >15’000 Gauss qui résiste aux radiations les plus élevées. Ce dernier, baptisé Co-Axial 8508 représente le premier mouvement mécanique au monde véritablement antimagnétique.
 
Exposition Omega « Montres de chronométrie »

Du 15 Septembre au 24 Octobre
Boutique OMEGA
12 rue de Sèvres Paris 75007


Montres-de-luxe.com | Publié le Vendredi 12 Septembre 2014 | Lu 1703 fois

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