Le marché de l’occasion -pre-owned ou second hand- en anglais a le vent en poupe depuis quelques années. Ce qui ne plait pas toujours aux grandes marques qui ne comprennent pas -ou plutôt, ne veulent pas comprendre- que parfois, pour acheter une montre neuve, il faut se séparer d’une ancienne. Surtout vu les prix pratiqués par ces mêmes grandes marques de nos jours !
Bref, le marché du « pre-owned » est désormais intimement lié au marché du neuf. L’un ne va pas sans l’autre. Et l’un n’ira pas sans l’autre, qu’on se le dise. Certaines marques, très peu, l’ont bien compris. Par exemple, dans le très haut de gamme, seuls Vacheron Constantin et François-Paul Journe assument pleinement cette position.
VC revend en effet au sein de certaines de ses boutiques exclusives, quelques pièces vintage entièrement restaurées. Et F.P. Journe rachète certaines de ses montres, des modèles rares devenus introuvables, à ses clients pour les restaurer et les revendre de « seconde main » mais en parfait état de fonctionnement et avec la garantie de la "maison".
Il convient de féliciter ces deux marques qui depuis quelques années déjà, assument et respectent pleinement leur histoire horlogère et leurs montres et qui ne considèrent pas le marché du « pre-owned » comme un marché de « sous clients » qui ne méritent pas qu’on s’y intéresse.
Aujourd’hui, c’est au tour de Moser d’assumer ce rôle. Avec une production annuelle de 1.500 pièces, cette manufacture reste très exclusive. Alors qu’elle poursuit son développement avec régulièrement, l’arrivée de nouveaux modèles, elle a décidé d’offrir à ses clients la possibilité d’acheter en ligne une sélection de créations ayant déjà eu une vie.
Sur cette vitrine, les visiteurs peuvent découvrir des modèles de seconde main, certifiés, testés et remis à l’état de neuf par la marque, livrés avec un certificat d’authenticité et une garantie de deux ans. « Par le biais de cette plateforme, les passionnés et amis de la marque peuvent entrer en contact aisément avec la manufacture afin d’acquérir la montre de leurs rêves, introuvable et épuisée sur le marché, parmi une sélection de pièces exclusives ayant déjà été portées ».
L’assortiment proposé pour le lancement de la plateforme compte plusieurs Endeavour Perpetual Calendar, notamment un modèle Concept, devenu la véritable signature de la marque, muni du cadran Funky Blue, sans logo ni index et sans la traditionnelle réserve de marche.
On peut également y trouver une Swiss Alp Watch, le modèle original lancé en 2016 qui avait marqué le début de la communication décalée de Moser & Cie. Autre exclusivité : une Venturer Small Seconds XL The Horophile Edition, avec un cadran Purple fumé.
Rappelons que la véritable valeur d’une montre, c’est probablement son prix sur le marché de l’occasion et surtout, le fait qu’elle soit revendable. Ou pas. On ne citera pas de noms.
Bref, le marché du « pre-owned » est désormais intimement lié au marché du neuf. L’un ne va pas sans l’autre. Et l’un n’ira pas sans l’autre, qu’on se le dise. Certaines marques, très peu, l’ont bien compris. Par exemple, dans le très haut de gamme, seuls Vacheron Constantin et François-Paul Journe assument pleinement cette position.
VC revend en effet au sein de certaines de ses boutiques exclusives, quelques pièces vintage entièrement restaurées. Et F.P. Journe rachète certaines de ses montres, des modèles rares devenus introuvables, à ses clients pour les restaurer et les revendre de « seconde main » mais en parfait état de fonctionnement et avec la garantie de la "maison".
Il convient de féliciter ces deux marques qui depuis quelques années déjà, assument et respectent pleinement leur histoire horlogère et leurs montres et qui ne considèrent pas le marché du « pre-owned » comme un marché de « sous clients » qui ne méritent pas qu’on s’y intéresse.
Aujourd’hui, c’est au tour de Moser d’assumer ce rôle. Avec une production annuelle de 1.500 pièces, cette manufacture reste très exclusive. Alors qu’elle poursuit son développement avec régulièrement, l’arrivée de nouveaux modèles, elle a décidé d’offrir à ses clients la possibilité d’acheter en ligne une sélection de créations ayant déjà eu une vie.
Sur cette vitrine, les visiteurs peuvent découvrir des modèles de seconde main, certifiés, testés et remis à l’état de neuf par la marque, livrés avec un certificat d’authenticité et une garantie de deux ans. « Par le biais de cette plateforme, les passionnés et amis de la marque peuvent entrer en contact aisément avec la manufacture afin d’acquérir la montre de leurs rêves, introuvable et épuisée sur le marché, parmi une sélection de pièces exclusives ayant déjà été portées ».
L’assortiment proposé pour le lancement de la plateforme compte plusieurs Endeavour Perpetual Calendar, notamment un modèle Concept, devenu la véritable signature de la marque, muni du cadran Funky Blue, sans logo ni index et sans la traditionnelle réserve de marche.
On peut également y trouver une Swiss Alp Watch, le modèle original lancé en 2016 qui avait marqué le début de la communication décalée de Moser & Cie. Autre exclusivité : une Venturer Small Seconds XL The Horophile Edition, avec un cadran Purple fumé.
Rappelons que la véritable valeur d’une montre, c’est probablement son prix sur le marché de l’occasion et surtout, le fait qu’elle soit revendable. Ou pas. On ne citera pas de noms.