Cette marque Movas a été créée par Sean Wai, architecte de formation installé à Singapour dans une petite maison du quartier de Katong, où il créé et assemble lui-même tous ses modèles. Son salon, balayé en permanence par une légère brise, rend la chaleur étouffante singapourienne plus supportable. En sourdine, en permanence, un disque de jazz tourne sur sa platine pendant que le jeune homme s’affaire à la gestion de sa petite entreprise.
Il lui a fallu deux ans de recherche et développement pour créer son modèle Oceaner, l’un des plus intéressants de la marque. Une montre de plongée étanche 300 mètres dotée d’un imposant boitier anguleux et massif en acier 316L qui abrite un calibre automatique chinois de chez Seagull (modifié pour Movas). Sean ne s’en cache pas. Il s’équipe en Chine mais assemble tout chez lui à Singapour où il dispose de tout le matériel nécessaire pour fabriquer ses montres.
Ce garde-temps affiche un design où la symétrie est de mise grâce à ses deux couronnes vissées. Celle de droite sert aux différents réglages de la montre (heure/minute, jour et date) et celle de gauche au réglage du réhaut intérieur pour le calcul des temps de plongée. Le cadran « sandwich » est très sobre et ultra-lisible. Les heures sont marquées par des index en matière luminescente et midi est symbolisé par un zéro. « A minuit, je préfère penser qu’une nouvelle journée va commencer plutôt qu’une vient de se terminer. C’est pour ça que j’ai opté pour un zéro à la place du douze ».
Il lui a fallu deux ans de recherche et développement pour créer son modèle Oceaner, l’un des plus intéressants de la marque. Une montre de plongée étanche 300 mètres dotée d’un imposant boitier anguleux et massif en acier 316L qui abrite un calibre automatique chinois de chez Seagull (modifié pour Movas). Sean ne s’en cache pas. Il s’équipe en Chine mais assemble tout chez lui à Singapour où il dispose de tout le matériel nécessaire pour fabriquer ses montres.
Ce garde-temps affiche un design où la symétrie est de mise grâce à ses deux couronnes vissées. Celle de droite sert aux différents réglages de la montre (heure/minute, jour et date) et celle de gauche au réglage du réhaut intérieur pour le calcul des temps de plongée. Le cadran « sandwich » est très sobre et ultra-lisible. Les heures sont marquées par des index en matière luminescente et midi est symbolisé par un zéro. « A minuit, je préfère penser qu’une nouvelle journée va commencer plutôt qu’une vient de se terminer. C’est pour ça que j’ai opté pour un zéro à la place du douze ».
Les trois aiguilles s’accordent bien avec le style de la montre, notamment la trotteuse à bout rectangulaire qui renforce son côté vintage seventies. La date apparait dans un guichet à six heures pendant que le jour (en anglais ou en chinois sur le même disque, à vous de choisir) s’affiche à trois heures. Le bracelet en acier massif s’intègre parfaitement au boitier et offre bien sûr, un réglage plongée grâce à un astucieux système intégré à la boucle déployante. A noter que cette montre peut également se mettre sur un bracelet en caoutchouc.
Au final, pas grand-chose à reprocher à cette plongeuse au design fort et bien placée en prix (édition limitée de 50 exemplaires). Seule la lunette de réglage du réhaut interne à gauche n’est pas des plus pratiques pour une utilisation en plongée, mais bon… Bref, cette Oceaner 1, garantie deux ans, s’avère être un cadeau horloger idéal à ramener de Singapour. Et si vous allez sur place, vous pourrez de plus rencontrer Sean qui vous expliquera et vous montrera toutes ses nouvelles idées de développement. Ce n’est quand même pas tous les jours que l’on peut discuter avec le créateur de la montre que l’on porte !
Prix de vente sur place : 1.330 SD, environ 820 euros.
Au final, pas grand-chose à reprocher à cette plongeuse au design fort et bien placée en prix (édition limitée de 50 exemplaires). Seule la lunette de réglage du réhaut interne à gauche n’est pas des plus pratiques pour une utilisation en plongée, mais bon… Bref, cette Oceaner 1, garantie deux ans, s’avère être un cadeau horloger idéal à ramener de Singapour. Et si vous allez sur place, vous pourrez de plus rencontrer Sean qui vous expliquera et vous montrera toutes ses nouvelles idées de développement. Ce n’est quand même pas tous les jours que l’on peut discuter avec le créateur de la montre que l’on porte !
Prix de vente sur place : 1.330 SD, environ 820 euros.
