En 1976, à Genève, se produit une petite révolution : le lancement d’une montre de luxe en acier. Le monde horloger est perplexe et sceptique. Car en ces années-là, le temps bat encore au rythme tranquille du 20e siècle.
Et les montres de luxe se doivent d’être en or, si possible avec des bracelets métalliques ; en versions encore plus précieuses, elles sont ornées de diamants en guise d’index des heures ou de lunettes serties.
Lire aussi : Nautilus : pour les 30 ans de son classique Patek donne un nouvel élan à la collection Nautilus
Dans le même temps, les marques horlogères rivalisent d’ingéniosité pour développer des montres-bracelets toujours plus plates. C’est alors qu’apparaît cette montre en acier, qui non seulement s’avère plus chère que beaucoup de garde-temps en or de l’époque, mais également bouleverse toutes les conventions par sa taille imposante et sa forme extravagante.
Autre surprise : c’est la vénérable manufacture Patek Philippe qui ose ce pari un peu fou dans le segment du luxe. Pourtant, comme le confirme aujourd’hui Philippe Stern, président de Patek Philippe, la démarche avait été mûrement réfléchie. Les responsables de l’époque avaient compris que nos sociétés allaient au-devant de grands changements. On voyait apparaître un nouveau type de clientèle aisée tout aussi active dans son travail que dans ses loisirs. Des « battants » qui tenaient le gouvernail sur leurs voiliers, faisaient du « skeleton » sur les canaux gelés ou joggaient le matin à six heures dans Central Park pour garder la forme.
Et les montres de luxe se doivent d’être en or, si possible avec des bracelets métalliques ; en versions encore plus précieuses, elles sont ornées de diamants en guise d’index des heures ou de lunettes serties.
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Dans le même temps, les marques horlogères rivalisent d’ingéniosité pour développer des montres-bracelets toujours plus plates. C’est alors qu’apparaît cette montre en acier, qui non seulement s’avère plus chère que beaucoup de garde-temps en or de l’époque, mais également bouleverse toutes les conventions par sa taille imposante et sa forme extravagante.
Autre surprise : c’est la vénérable manufacture Patek Philippe qui ose ce pari un peu fou dans le segment du luxe. Pourtant, comme le confirme aujourd’hui Philippe Stern, président de Patek Philippe, la démarche avait été mûrement réfléchie. Les responsables de l’époque avaient compris que nos sociétés allaient au-devant de grands changements. On voyait apparaître un nouveau type de clientèle aisée tout aussi active dans son travail que dans ses loisirs. Des « battants » qui tenaient le gouvernail sur leurs voiliers, faisaient du « skeleton » sur les canaux gelés ou joggaient le matin à six heures dans Central Park pour garder la forme.
Cette nouvelle génération avait le goût du défi et elle prisait un style de vie dynamique. Les montres de luxe des années 1970, avec leurs boîtiers en or facilement rayables, leur profil le plus plat possible et leurs mouvements délicats, n’étaient pas les garde-temps idéaux pour ces exigences. Elles étaient plutôt des objets précieux à porter le soir, dans des réunions élégantes.
Il fallait inventer des montres qui puissent accompagner les managers dynamiques dans toutes leurs activités – la journée au bureau, à midi au tennis et le week-end au golf. Patek Philippe anticipa cette évolution bien avant la plupart des autres marques en lançant la Nautilus Réf. 3700 en 1976.
Cette montre d’avant-garde devait séduire une nouvelle clientèle ; elle devait également raviver la passion pour la marque en convainquant les possesseurs d’une Patek Philippe d’ajouter à leur garde-temps en or une montre plus robuste et sportive en acier. Ce double objectif fut couronné de succès. Le lancement s’accompagna d’une campagne de publicité qui reflétait à merveille le style iconoclaste de la Nautilus. « L’une des montres les plus chères du monde est en acier » proclamait une annonce qui ne passa pas inaperçue. « Elle se marie aussi bien avec une combinaison de plongée qu’avec un smoking » disait un autre titre très révélateur.
Il fallait inventer des montres qui puissent accompagner les managers dynamiques dans toutes leurs activités – la journée au bureau, à midi au tennis et le week-end au golf. Patek Philippe anticipa cette évolution bien avant la plupart des autres marques en lançant la Nautilus Réf. 3700 en 1976.
Cette montre d’avant-garde devait séduire une nouvelle clientèle ; elle devait également raviver la passion pour la marque en convainquant les possesseurs d’une Patek Philippe d’ajouter à leur garde-temps en or une montre plus robuste et sportive en acier. Ce double objectif fut couronné de succès. Le lancement s’accompagna d’une campagne de publicité qui reflétait à merveille le style iconoclaste de la Nautilus. « L’une des montres les plus chères du monde est en acier » proclamait une annonce qui ne passa pas inaperçue. « Elle se marie aussi bien avec une combinaison de plongée qu’avec un smoking » disait un autre titre très révélateur.
Une nouvelle forme, une nouvelle conception
Le lancement de la Nautilus provoqua donc des remous. Comment une montre en acier pouvait-elle prétendre incarner le luxe? Mais plus encore, la Nautilus bousculait les codes établis par son design inédit et la construction originale de son boîtier.
Elle réinventait alors la géométrie grâce à sa lunette ni ronde ni carrée, mais octogonale, avec des angles adoucis. Elle frappait le regard par ses deux charnières à gauche et à droite du boîtier, que certains décrivaient comme des « oreilles ». Sans oublier sa taille imposante – 42 mm de largeur (charnières incluses), 7,60 mm d’épaisseur – qui dépassait largement les dimensions jugées modernes et élégantes à l’époque.
Pourtant, derrière ce design surprenant, derrière chacun de ses détails, se cachait une réflexion très aboutie au niveau fonctionnel. Le boîtier ne comportait pas trois parties (fond, carrure, lunette), comme c’est encore le cas sur la plupart des montres aujourd’hui. Il était construit en deux pièces.
La partie fond-carrure monocoque en acier, taillée dans la masse, ne comportait qu’un seul perçage pour la tige de remontoir ; la lunette était fixée et comprimée sur les deux charnières du boîtier grâce à quatre vis de serrage –une construction qui rappelle les hublots des anciens transatlantiques, avec leur système de charnière et de verrouillage à vis serrant hermétiquement les joints sur le cadre d’acier.
Résultat : la Nautilus était étanche jusqu’à 120 mètres de profondeur, ce qui représentait alors un véritable exploit pour une montre de sport produite en série. Le possesseur d’une Nautilus avait ainsi la certitude que sa montre serait une complice parfaitement fiable même dans des conditions extrêmes.
Elle réinventait alors la géométrie grâce à sa lunette ni ronde ni carrée, mais octogonale, avec des angles adoucis. Elle frappait le regard par ses deux charnières à gauche et à droite du boîtier, que certains décrivaient comme des « oreilles ». Sans oublier sa taille imposante – 42 mm de largeur (charnières incluses), 7,60 mm d’épaisseur – qui dépassait largement les dimensions jugées modernes et élégantes à l’époque.
Pourtant, derrière ce design surprenant, derrière chacun de ses détails, se cachait une réflexion très aboutie au niveau fonctionnel. Le boîtier ne comportait pas trois parties (fond, carrure, lunette), comme c’est encore le cas sur la plupart des montres aujourd’hui. Il était construit en deux pièces.
La partie fond-carrure monocoque en acier, taillée dans la masse, ne comportait qu’un seul perçage pour la tige de remontoir ; la lunette était fixée et comprimée sur les deux charnières du boîtier grâce à quatre vis de serrage –une construction qui rappelle les hublots des anciens transatlantiques, avec leur système de charnière et de verrouillage à vis serrant hermétiquement les joints sur le cadre d’acier.
Résultat : la Nautilus était étanche jusqu’à 120 mètres de profondeur, ce qui représentait alors un véritable exploit pour une montre de sport produite en série. Le possesseur d’une Nautilus avait ainsi la certitude que sa montre serait une complice parfaitement fiable même dans des conditions extrêmes.
De l’enfant terrible à l’objet culte
Les réactions face à l’esthétique de la Nautilus furent partagées ; certains la trouvaient « choquante », d’autres étaient enthousiasmés. Il apparut très vite que cette montre n’était pas destinée à tout un chacun, mais à une clientèle très spécifique. Or –heureux revirement– durant les années 1980, le nombre de ces clients potentiels s’accrut considérablement.
La taille de la montre, critiquée lors du lancement, devint l’un de ses principaux arguments de vente et le modèle d’origine, celui de 1976, fut affectueusement surnommé par ses partisans « Jumbo ».
Avec les années, on vit croître la demande du côté féminin, ce qui poussa la manufacture à lancer la Réf. 4700 (1980). Pour les poignets plus fins fut développé en 1981 la Réf. 3800 (37,5 mm de largeur) ; après l’arrêt de la production du grand modèle Nautilus en 1990, cette montre resta pendant quelque temps le seul modèle sportif Patek Philippe.
Les Nautilus étaient disponibles en acier, acier/or ou or, ainsi que dans quelques versions en platine. Mais la montre conserva toujours cette forme caractéristique, ce design unique qui l’identifiait du premier coup d’oeil comme un objet de prestige.
En 1998, Patek Philippe proposa à nouveau le boîtier original grande taille en créant spécialement pour la Nautilus une nouvelle complication : l’indication de la zone de remontage, Réf. 3710/1A. En 2005, la manufacture présenta la première Nautilus dotée de trois complications : affichage de la réserve de marche, phases de lune et calendrier à aiguille, Réf. 3712/1A.
Les listes d’attente chez les concessionnaires Patek Philippe s’allongèrent ; on vit apparaître les premières Nautilus dans les catalogues des grandes maisons de ventes aux enchères, où les prix des modèles d’origine surpassaient souvent ceux des montres neuves sortant de la manufacture. L’« enfant terrible » était devenu un objet culte.
La taille de la montre, critiquée lors du lancement, devint l’un de ses principaux arguments de vente et le modèle d’origine, celui de 1976, fut affectueusement surnommé par ses partisans « Jumbo ».
Avec les années, on vit croître la demande du côté féminin, ce qui poussa la manufacture à lancer la Réf. 4700 (1980). Pour les poignets plus fins fut développé en 1981 la Réf. 3800 (37,5 mm de largeur) ; après l’arrêt de la production du grand modèle Nautilus en 1990, cette montre resta pendant quelque temps le seul modèle sportif Patek Philippe.
Les Nautilus étaient disponibles en acier, acier/or ou or, ainsi que dans quelques versions en platine. Mais la montre conserva toujours cette forme caractéristique, ce design unique qui l’identifiait du premier coup d’oeil comme un objet de prestige.
En 1998, Patek Philippe proposa à nouveau le boîtier original grande taille en créant spécialement pour la Nautilus une nouvelle complication : l’indication de la zone de remontage, Réf. 3710/1A. En 2005, la manufacture présenta la première Nautilus dotée de trois complications : affichage de la réserve de marche, phases de lune et calendrier à aiguille, Réf. 3712/1A.
Les listes d’attente chez les concessionnaires Patek Philippe s’allongèrent ; on vit apparaître les premières Nautilus dans les catalogues des grandes maisons de ventes aux enchères, où les prix des modèles d’origine surpassaient souvent ceux des montres neuves sortant de la manufacture. L’« enfant terrible » était devenu un objet culte.
Nouvelle Nautilus : un visage différent et pourtant familier
Trente ans ne constituent pas un très grand âge pour une montre ou une collection Patek
Philippe. Que l’on songe à la Calatrava, qui approche des trois quarts de siècle, ou à l’Ellipse d’Or, qui soufflera bientôt ses quarante bougies.
2006 ne marque donc qu’une simple étapedans l’histoire de la Nautilus. Pour fêter ce 30ème anniversaire, Patek Philippe a en effet entièrement retravaillé la collection, en revisitant notamment la construction de base du boîtier sur cinq des six nouveaux modèles.
La nouvelle construction du boîtier en trois pièces ne réduit en rien la robustesse légendaire des Nautilus. Les méthodes de fabrication modernes ainsi que l’emploi de nouvelles technologies et nouveaux matériaux permettent de réaliser des boîtiers de conception classique fond-carrure-lunette qui ne cèdent en rien aux boîtiers monocoques originaux en matière de résistance et d’étanchéité.
Patek Philippe a conservé le mécanisme de « hublot » pour le serrage de la lunette. Mais les deux charnières, autrefois rectilignes, affichent désormais une légère courbure prolongeant le profil de la lunette.
Le sixième modèle, en taille medium, présente les mêmes retouches au niveau du design, mais il conserve la construction classique en deux pièces avec fond/carrure monocoque et lunette –un bel hommage à l’original de 1976.
Tous les nouveaux modèles intègrent un fond saphir permettant d’admirer le mouvement automatique honoré du Poinçon de Genève
Philippe. Que l’on songe à la Calatrava, qui approche des trois quarts de siècle, ou à l’Ellipse d’Or, qui soufflera bientôt ses quarante bougies.
2006 ne marque donc qu’une simple étapedans l’histoire de la Nautilus. Pour fêter ce 30ème anniversaire, Patek Philippe a en effet entièrement retravaillé la collection, en revisitant notamment la construction de base du boîtier sur cinq des six nouveaux modèles.
La nouvelle construction du boîtier en trois pièces ne réduit en rien la robustesse légendaire des Nautilus. Les méthodes de fabrication modernes ainsi que l’emploi de nouvelles technologies et nouveaux matériaux permettent de réaliser des boîtiers de conception classique fond-carrure-lunette qui ne cèdent en rien aux boîtiers monocoques originaux en matière de résistance et d’étanchéité.
Patek Philippe a conservé le mécanisme de « hublot » pour le serrage de la lunette. Mais les deux charnières, autrefois rectilignes, affichent désormais une légère courbure prolongeant le profil de la lunette.
Le sixième modèle, en taille medium, présente les mêmes retouches au niveau du design, mais il conserve la construction classique en deux pièces avec fond/carrure monocoque et lunette –un bel hommage à l’original de 1976.
Tous les nouveaux modèles intègrent un fond saphir permettant d’admirer le mouvement automatique honoré du Poinçon de Genève
Or rose : un nouvel éclat
La Nautilus était proposée jusqu’à maintenant, selon les modèles, en acier, or jaune ou or gris, sans oublier quelques versions en platine. La nouvelle Nautilus grande taille est également disponible désormais en or rose.
Cette nuance chaude et raffinée forme un beau contraste avec les lignes robustes du boîtier. Pour mettre en valeur les divers matériaux, Patek Philippe a décliné les teintes des cadrans en fonction des boîtiers. Les modèles en acier sont dotés, comme par le passé, du cadran original Nautilus bleu-noir; le modèle en or rose s’orne d’un nouveau cadran brun-anthracite plus lumineux; quant aux modèles en or gris, ils possèdent désormais un cadran gris anthracite qui renforce la note technique.
Les cadrans bleu-noir et brun-anthracite sont dotés d’un laquage leur donnant un subtil effet de dégradé de l’extérieur vers le centre – un des signes distinctifs de la Nautilus. Le cadran anthracite ne présente pas d’effet de dégradé (Réf. 5712 en or gris). Tous les cadrans conservent le relief horizontal frappé également typique du design Nautilus.
Mais Patek Philippe a innové en introduisant des aiguilles et des index appliques luminescents légèrement agrandis. La forme des index a été redessinée, pour chaque position, en fonction du tracé de la lunette octogonale. Autant de petites modifications qui donnent à la nouvelle Nautilus un visage à la fois inédit et familier.
Cette nuance chaude et raffinée forme un beau contraste avec les lignes robustes du boîtier. Pour mettre en valeur les divers matériaux, Patek Philippe a décliné les teintes des cadrans en fonction des boîtiers. Les modèles en acier sont dotés, comme par le passé, du cadran original Nautilus bleu-noir; le modèle en or rose s’orne d’un nouveau cadran brun-anthracite plus lumineux; quant aux modèles en or gris, ils possèdent désormais un cadran gris anthracite qui renforce la note technique.
Les cadrans bleu-noir et brun-anthracite sont dotés d’un laquage leur donnant un subtil effet de dégradé de l’extérieur vers le centre – un des signes distinctifs de la Nautilus. Le cadran anthracite ne présente pas d’effet de dégradé (Réf. 5712 en or gris). Tous les cadrans conservent le relief horizontal frappé également typique du design Nautilus.
Mais Patek Philippe a innové en introduisant des aiguilles et des index appliques luminescents légèrement agrandis. La forme des index a été redessinée, pour chaque position, en fonction du tracé de la lunette octogonale. Autant de petites modifications qui donnent à la nouvelle Nautilus un visage à la fois inédit et familier.
Bracelets en acier et bracelets cuir : le souci des détails
Les précédents modèles Nautilus étaient équipés de bracelets métalliques particulièrement souples et confortables, malgré leurs robustes maillons massifs.
En revisitant la collection, Patek Philippe a redessiné les proportions du bracelet en fonction des nouveaux formats de boîtier.
Le design intégré du bracelet prolonge la découpe de la boîte ; les maillons toujours plus étroits se terminent par une boucle déployante garantissant un maximum de confort et de sécurité. Les finitions ont également été retravaillées pour accroître la douceur du « toucher ». Comme sur l’original, les maillons extérieurs sont satinés, les maillons centraux polis miroir.
Les modèles grande taille en or gris et or rose sont équipés de bracelets en cuir d’alligator grandes écailles – noir safari pour l’or gris, brun pour l’or rose. La boucle déployante en or assorti au boîtier présente une nouvelle construction à trois lames double sécurité ; le système d’adaptation de la longueur par vis offre une fiabilité optimale au porter.
En revisitant la collection, Patek Philippe a redessiné les proportions du bracelet en fonction des nouveaux formats de boîtier.
Le design intégré du bracelet prolonge la découpe de la boîte ; les maillons toujours plus étroits se terminent par une boucle déployante garantissant un maximum de confort et de sécurité. Les finitions ont également été retravaillées pour accroître la douceur du « toucher ». Comme sur l’original, les maillons extérieurs sont satinés, les maillons centraux polis miroir.
Les modèles grande taille en or gris et or rose sont équipés de bracelets en cuir d’alligator grandes écailles – noir safari pour l’or gris, brun pour l’or rose. La boucle déployante en or assorti au boîtier présente une nouvelle construction à trois lames double sécurité ; le système d’adaptation de la longueur par vis offre une fiabilité optimale au porter.
Nautilus Réf. 5711/1 A : le nouveau modèle phare
Avec sa largeur de 43 mm, le boîtier de la nouvelle Nautilus Réf. 5711/1 A dépasse d’un millimètre le modèle original de 1976. Mais cette évolution n’est pas influencée par la mode actuelle des montres grand format, elle s’explique plutôt par le nouveau design arrondi des charnières latérales, un peu plus larges.
Le nouveau boîtier en trois pièces possède un fond vissé doté d’un verre saphir ainsi qu’une couronne vissée ; il est étanche jusqu’à 120 mètres de profondeur. Il abrite un mouvement Patek Philippe très prisé par les connaisseurs et collectionneurs : le Calibre 315 SC à remontage automatique, avec rotor central en or massif 21 carats. La montre affiche l’heure, la minute, la seconde au moyen d’une grande aiguille centrale ainsi que la date dans un guichet à 3h.
La nouvelle Nautilus Réf. 5711/1 A est proposée avec boîtier et bracelet intégré en acier. Les maillons extérieurs du bracelet sont satinés, les maillons centraux polis.
Le nouveau boîtier en trois pièces possède un fond vissé doté d’un verre saphir ainsi qu’une couronne vissée ; il est étanche jusqu’à 120 mètres de profondeur. Il abrite un mouvement Patek Philippe très prisé par les connaisseurs et collectionneurs : le Calibre 315 SC à remontage automatique, avec rotor central en or massif 21 carats. La montre affiche l’heure, la minute, la seconde au moyen d’une grande aiguille centrale ainsi que la date dans un guichet à 3h.
La nouvelle Nautilus Réf. 5711/1 A est proposée avec boîtier et bracelet intégré en acier. Les maillons extérieurs du bracelet sont satinés, les maillons centraux polis.
Nautilus Réf. 5800/1 A : pour les poignets plus fins
La nouvelle Nautilus Réf. 58001/ A présente une taille plus modeste: 38,4 mm. Mais elle a gagné elle aussi près d’un millimètre par rapport à sa devancière, la Réf. 3800/1A (37,5 mm).
Elle constitue le choix idéal pour les poignets masculins plus fins ; elle devrait séduire également toutes les femmes qui veulent changer leurs habitudes en portant une montre un peu plus imposante que la normale. Ce modèle est la seule nouvelle Nautilus conservant une construction de boîtier en deux pièces, mais avec fond saphir ; ce système obligeant à monter le mouvement du côté du cadran, la mise à l’heure et le remontage sont assurés par une « tige brisée » étanche.
Le fond saphir permet d’admirer le Calibre 330 SC Patek Philippe à remontage automatique, avec affichage des heures et des minutes, grande seconde centrale et date dans un guichet à 3h.
La nouvelle Nautilus taille medium est proposée exclusivement avec boîtier et bracelet intégré en acier. Les maillons extérieurs du bracelet sont satinés, les maillons centraux polis.
Elle constitue le choix idéal pour les poignets masculins plus fins ; elle devrait séduire également toutes les femmes qui veulent changer leurs habitudes en portant une montre un peu plus imposante que la normale. Ce modèle est la seule nouvelle Nautilus conservant une construction de boîtier en deux pièces, mais avec fond saphir ; ce système obligeant à monter le mouvement du côté du cadran, la mise à l’heure et le remontage sont assurés par une « tige brisée » étanche.
Le fond saphir permet d’admirer le Calibre 330 SC Patek Philippe à remontage automatique, avec affichage des heures et des minutes, grande seconde centrale et date dans un guichet à 3h.
La nouvelle Nautilus taille medium est proposée exclusivement avec boîtier et bracelet intégré en acier. Les maillons extérieurs du bracelet sont satinés, les maillons centraux polis.
Nautilus Réf. 5712/1 : tout se complique
Ce nouveau modèle Nautilus possède lui aussi un illustre prédécesseur qui, en à peine un an, est déjà devenu un objet culte.
Outre l’affichage des heures et des minutes, il présente une petite seconde à 4h, une indication de la réserve de marche entre 10h et 11h, un calendrier à aiguille à 7h ainsi qu’un affichage des phases de lune dans un guichet cintré au centre de l’échelle circulaire du quantième.
Ce nombre exceptionnel de complications pour une montre de sport ainsi que leur disposition inédite sur le cadran donnent à la Réf. 5712/1 une touche d’exclusivité supplémentaire dans son segment.
La montre possède un boîtier en trois pièces avec fond saphir, une couronne vissée et un poussoir logé dans le flanc du boîtier pour la correction des phases de lune.
La présence de ce poussoir limite l’étanchéité à 60 m. Au cœur de cette Nautilus compliquée bat le célèbre Calibre 240 PS IRM C LU Patek Philippe à remontage automatique. Le système de mini-rotor en or 22 carats intégré à la platine permet de limiter l’épaisseur du mouvement à 3,98 mm, un profil étonnamment plat pour un calibre aussi sophistiqué.
La nouvelle Nautilus à complications est disponible avec boîtier et bracelet intégré en acier (Réf. 5712/1 A). Les maillons extérieurs du bracelet sont satinés, les maillons centraux polis. La montre est également déclinée en or rose 18 carats – Réf. 5712 R – ou or gris 18 carats –Réf. 5712 G. Ces deux modèles sont dotés de bracelets en cuir d’alligator grandes écailles cousus main de couleur brune (or rose) ou noir safari (or gris), avec une nouvelle boucle déployante à fermoir sécurisé en or 18 carats rose ou gris.
Outre l’affichage des heures et des minutes, il présente une petite seconde à 4h, une indication de la réserve de marche entre 10h et 11h, un calendrier à aiguille à 7h ainsi qu’un affichage des phases de lune dans un guichet cintré au centre de l’échelle circulaire du quantième.
Ce nombre exceptionnel de complications pour une montre de sport ainsi que leur disposition inédite sur le cadran donnent à la Réf. 5712/1 une touche d’exclusivité supplémentaire dans son segment.
La montre possède un boîtier en trois pièces avec fond saphir, une couronne vissée et un poussoir logé dans le flanc du boîtier pour la correction des phases de lune.
La présence de ce poussoir limite l’étanchéité à 60 m. Au cœur de cette Nautilus compliquée bat le célèbre Calibre 240 PS IRM C LU Patek Philippe à remontage automatique. Le système de mini-rotor en or 22 carats intégré à la platine permet de limiter l’épaisseur du mouvement à 3,98 mm, un profil étonnamment plat pour un calibre aussi sophistiqué.
La nouvelle Nautilus à complications est disponible avec boîtier et bracelet intégré en acier (Réf. 5712/1 A). Les maillons extérieurs du bracelet sont satinés, les maillons centraux polis. La montre est également déclinée en or rose 18 carats – Réf. 5712 R – ou or gris 18 carats –Réf. 5712 G. Ces deux modèles sont dotés de bracelets en cuir d’alligator grandes écailles cousus main de couleur brune (or rose) ou noir safari (or gris), avec une nouvelle boucle déployante à fermoir sécurisé en or 18 carats rose ou gris.
Chronographe Nautilus Réf. 5980/1 A : le couronnement des festivités
Les collectionneurs et admirateurs de Patek Philippe attendaient depuis longtemps que la manufacture présente son premier mouvement de chronographe entièrement conçu et fabriqué au sein de ses ateliers.
En 2005, Patek Philippe a comblé leurs voeux en révélant le chronographe à rattrapante le plus plat du monde, la Réf. 5959P ; janvier 2006 a vu le lancement du premier Chronographe automatique à quantième annuel Réf. 5960P ; aujourd’hui, la manufacture dévoile le chronographe Nautilus Réf. 5980/1 A.
Quelle autre fonction que la mesure des temps courts pouvait mieux convenir à cette montre élégante et résolument sportive ? Le nouveau mouvement de chronographe automatique Patek Philippe Calibre 28-250 C avec mécanisme à roue à colonnes a trouvé un écrin de choix dans le boîtier Nautilus agrandi à 44 mm.
Son architecture se base sur le mouvement de la Réf. 5960, mais il possède à 3h un guichet pour la date avec changement instantané en une fraction de seconde. La montre affiche l’heure et la minute. Quant à la fonction chronographe, elle présente quelques particularités techniques et esthétiques intéressantes.
La grande trotteuse centrale de chronographe avec fonction flyback tient également lieu d’aiguille des secondes ; le mouvement est en effet doté d’un mécanisme de chronographe inédit qui supprime le système traditionnel de trois roues dentées et pilote l’enclenchement ou l’arrêt du chronographe par un embrayage à disques vertical.
En 2005, Patek Philippe a comblé leurs voeux en révélant le chronographe à rattrapante le plus plat du monde, la Réf. 5959P ; janvier 2006 a vu le lancement du premier Chronographe automatique à quantième annuel Réf. 5960P ; aujourd’hui, la manufacture dévoile le chronographe Nautilus Réf. 5980/1 A.
Quelle autre fonction que la mesure des temps courts pouvait mieux convenir à cette montre élégante et résolument sportive ? Le nouveau mouvement de chronographe automatique Patek Philippe Calibre 28-250 C avec mécanisme à roue à colonnes a trouvé un écrin de choix dans le boîtier Nautilus agrandi à 44 mm.
Son architecture se base sur le mouvement de la Réf. 5960, mais il possède à 3h un guichet pour la date avec changement instantané en une fraction de seconde. La montre affiche l’heure et la minute. Quant à la fonction chronographe, elle présente quelques particularités techniques et esthétiques intéressantes.
La grande trotteuse centrale de chronographe avec fonction flyback tient également lieu d’aiguille des secondes ; le mouvement est en effet doté d’un mécanisme de chronographe inédit qui supprime le système traditionnel de trois roues dentées et pilote l’enclenchement ou l’arrêt du chronographe par un embrayage à disques vertical.
Ce mécanisme fonctionnant presque sans frottement, donc avec un minimum d’usure, la trotteuse du chronographe peut également être utilisée en continu pour l’affichage des secondes.
Tout aussi exceptionnel, le grand « monocompteur » dominant la moitié inférieure du cadran permet de décompter sur trois échelles concentriques les minutes et les heures du temps chronométré.
Ce mouvement fascinant est abrité dans le nouveau boîtier Nautilus légèrement redessiné ; avec 44 mm de largeur, le chronographe représente à l’heure actuelle la plus grande Nautilus de la collection.
Les deux poussoirs de chronographe s’intègrent si élégamment sur le flanc du boîtier que sa forme originale semble avoir été conçue dès 1976 pour accueillir un chronographe.
Comme dans la plupart des modèles de la nouvelle Nautilus, le boîtier est construit en trois parties. Le fond transparent en verre saphir laisse admirer le mouvement avec son décor raffiné, son rotor en or et l’estampille dorée du Poinçon de Genève.
La nouvelle Nautilus Réf. 5980/1 A est disponible exclusivement avec boîtier et bracelet intégré en acier. Les maillons extérieurs du bracelet sont satinés, les maillons centraux polis.
Tout aussi exceptionnel, le grand « monocompteur » dominant la moitié inférieure du cadran permet de décompter sur trois échelles concentriques les minutes et les heures du temps chronométré.
Ce mouvement fascinant est abrité dans le nouveau boîtier Nautilus légèrement redessiné ; avec 44 mm de largeur, le chronographe représente à l’heure actuelle la plus grande Nautilus de la collection.
Les deux poussoirs de chronographe s’intègrent si élégamment sur le flanc du boîtier que sa forme originale semble avoir été conçue dès 1976 pour accueillir un chronographe.
Comme dans la plupart des modèles de la nouvelle Nautilus, le boîtier est construit en trois parties. Le fond transparent en verre saphir laisse admirer le mouvement avec son décor raffiné, son rotor en or et l’estampille dorée du Poinçon de Genève.
La nouvelle Nautilus Réf. 5980/1 A est disponible exclusivement avec boîtier et bracelet intégré en acier. Les maillons extérieurs du bracelet sont satinés, les maillons centraux polis.