On le sait, depuis quelques années, la maison horlogère suisse Oris est très engagée dans l’écologie. A tel point que c’est devenu son « cheval de bataille » et que ce positionnement se retrouve dans la plupart de ses créations.
Dernière en date ? La Oris New York Harbor Limited Edition, une Aqui avec calibre automatique (l’un des best-sellers de la marque) dotée d’un boitier de 41,5 mm en acier avec couronne vissée, étanche à 300 mètres, associée dans cette version, à un cadran en nacre verte protégé par un verre saphir bombé. Le tout, se portant sur un bracelet en caoutchouc.
Naturellement, ce cadran en nacre verte s’inspire de la couleur de l’eau du célèbre port américain mais également de la coquille de l’huître. Cette plongeuse est livrée avec deux bracelets, un en caoutchouc vert et un en acier inoxydable, plus un outil pour changer le bracelet.
Dernière en date ? La Oris New York Harbor Limited Edition, une Aqui avec calibre automatique (l’un des best-sellers de la marque) dotée d’un boitier de 41,5 mm en acier avec couronne vissée, étanche à 300 mètres, associée dans cette version, à un cadran en nacre verte protégé par un verre saphir bombé. Le tout, se portant sur un bracelet en caoutchouc.
Naturellement, ce cadran en nacre verte s’inspire de la couleur de l’eau du célèbre port américain mais également de la coquille de l’huître. Cette plongeuse est livrée avec deux bracelets, un en caoutchouc vert et un en acier inoxydable, plus un outil pour changer le bracelet.
« Cet été, notre mission se poursuit grâce à une collaboration avec Billion Oyster Project, un organisme à but non-lucratif qui restaure le port de New York, autrefois l’une des voies navigables les plus polluées au monde » indique Oris.
Depuis 2014, Billion Oyster Project a travaillé avec plus de 11.000 bénévoles, 8.000 étudiants, 100 écoles de New York et 50 restaurants partenaires... Le projet est ambitieux : réintroduire un milliard d’huîtres dans les voies navigables emblématiques de la ville d’ici 2035.
Pourquoi ? Il y a plusieurs siècles, le port de New York abritait 890 km2 de récifs d’huîtres. Une huître adulte peut filtrer jusqu’à 227 litres d’eau par jour, tandis que les colonies d’huîtres créent des écosystèmes pour d’autres formes de vie marine et créent des barrières naturelles contre les tempêtes.
Les récifs d’huîtres sont à l’océan ce que les arbres sont à la forêt. À mesure que la ville de New York prenait de l’importance en tant que centre mondial du commerce et de la navigation, sa population a développé un intérêt pour les huîtres. Mais au même moment, le port est devenu une décharge d’eaux usées, de déchets industriels et d’autres polluants.
Depuis 2014, Billion Oyster Project a travaillé avec plus de 11.000 bénévoles, 8.000 étudiants, 100 écoles de New York et 50 restaurants partenaires... Le projet est ambitieux : réintroduire un milliard d’huîtres dans les voies navigables emblématiques de la ville d’ici 2035.
Pourquoi ? Il y a plusieurs siècles, le port de New York abritait 890 km2 de récifs d’huîtres. Une huître adulte peut filtrer jusqu’à 227 litres d’eau par jour, tandis que les colonies d’huîtres créent des écosystèmes pour d’autres formes de vie marine et créent des barrières naturelles contre les tempêtes.
Les récifs d’huîtres sont à l’océan ce que les arbres sont à la forêt. À mesure que la ville de New York prenait de l’importance en tant que centre mondial du commerce et de la navigation, sa population a développé un intérêt pour les huîtres. Mais au même moment, le port est devenu une décharge d’eaux usées, de déchets industriels et d’autres polluants.
Au début du 20e siècle, les eaux du port étaient tellement sales et polluées que la vie marine a pratiquement disparu. Ce n’est qu’en 1972 que la loi New York’s Clean Water Act a été adoptée, interdisant le déversement de déchets et d’eaux usées dans le port.
Avec le temps, la qualité de l’eau s’est améliorée, si bien qu’au début du millénaire, la vie marine a commencé à revenir et en 2010, des baleines ont été aperçues dans le port.
Fondé par Murray Fisher et Pete Malinowski, le Billion Oyster Project a vu le jour en 2014. Il a été reconnu que sans l’éducation des générations actuelles et futures, les efforts pour protéger la nature seraient vains. Plus de 50 restaurants sont partenaires pour réintroduire des huîtres, construire des récifs et poursuivre l’histoire.
Le Billion Oyster Project a introduit 75 millions de jeunes huîtres dans 18 sites de restauration couvrant 5,9 hectares du port de New York, et la population d’huîtres est désormais autonome. A découvrir chez Emile Leon à Paris.
Avec le temps, la qualité de l’eau s’est améliorée, si bien qu’au début du millénaire, la vie marine a commencé à revenir et en 2010, des baleines ont été aperçues dans le port.
Fondé par Murray Fisher et Pete Malinowski, le Billion Oyster Project a vu le jour en 2014. Il a été reconnu que sans l’éducation des générations actuelles et futures, les efforts pour protéger la nature seraient vains. Plus de 50 restaurants sont partenaires pour réintroduire des huîtres, construire des récifs et poursuivre l’histoire.
Le Billion Oyster Project a introduit 75 millions de jeunes huîtres dans 18 sites de restauration couvrant 5,9 hectares du port de New York, et la population d’huîtres est désormais autonome. A découvrir chez Emile Leon à Paris.