Cette Lambda est loin d’être anodine dans le développement de la manufacture allemande Nomos. En effet, il s’agit là d’un tout nouveau modèle : un nouveau boitier, mais aussi une nouvelle taille et de nouveaux cadrans. Bref, un nouvel instrument de mesure du temps à la mode saxonne.
De fait, cette Lambda éditée à 175 exemplaires (dans chaque couleur de cadrans, donc 3 x 175) vient célébrer 175 ans de créations horlogères dans ce petit village de Glashütte situé à quelques kilomètres de Dresde et qui, fort de nombreuses marques, produit chaque année des milliers de garde-temps mécaniques.
Les cadrans brillants et bombés sont proposés en trois versions : blanc et noir très classiques, mais également un très beau bleu. Comme toujours chez Nomos, ils s’avèrent très purs, d’une grande clarté et d’une belle lisibilité.
De fait, cette Lambda éditée à 175 exemplaires (dans chaque couleur de cadrans, donc 3 x 175) vient célébrer 175 ans de créations horlogères dans ce petit village de Glashütte situé à quelques kilomètres de Dresde et qui, fort de nombreuses marques, produit chaque année des milliers de garde-temps mécaniques.
Les cadrans brillants et bombés sont proposés en trois versions : blanc et noir très classiques, mais également un très beau bleu. Comme toujours chez Nomos, ils s’avèrent très purs, d’une grande clarté et d’une belle lisibilité.
De fines aiguilles en acier bleui ou plaquées rhodium selon les versions marquent les heures et les minutes ; elles sont associées à une petite seconde à 6h (classique) et à une très grande et très longue réserve de marche à midi (84 heures soit trois jours et demi) indiquée dans un arc-de-cercle (très original) ouvert à 297°. L’ensemble étant protégé par un verre saphir bombé.
Le boîtier tripartite de 40,5 mm (étanche à 30 mètres ; épaisseur 8,9 mm) est proposé en acier. Sa fine lunette laisse le champ libre à l’expression de l’heure sur le cadran qui prend toute son ampleur.
Côté calibre, le mouvement est le DUW 1001 à remontage manuel et chronomètre. Rappelons que « DUW » est une désignation pour « Deutsche Uhrenwerke NOMOS Glashütte » (« mouvements allemands NOMOS Glashütte »). Le DUW 1001 a été le premier mouvement de Nomos Glashütte à porter ce nom.
Le boîtier tripartite de 40,5 mm (étanche à 30 mètres ; épaisseur 8,9 mm) est proposé en acier. Sa fine lunette laisse le champ libre à l’expression de l’heure sur le cadran qui prend toute son ampleur.
Côté calibre, le mouvement est le DUW 1001 à remontage manuel et chronomètre. Rappelons que « DUW » est une désignation pour « Deutsche Uhrenwerke NOMOS Glashütte » (« mouvements allemands NOMOS Glashütte »). Le DUW 1001 a été le premier mouvement de Nomos Glashütte à porter ce nom.
Plus concrètement, il s’agit d’un large calibre de 14 ¼ lignes (32,1 mm) plat muni platine trois-quarts (qui caractérise les « moteurs » de Glashütte) arborant un beau soleillage de Glashütte (une première), disposant d'un double barillet et de 29 rubis dont six sont montés dans des chatons en or vissés et minutieusement polis à la main.
Toutes les arêtes sont également polies à la main ; quant aux pièces en acier, elles ont reçu un poli noir. A noter l’inscription sur le col de cygne, gravée à la main, de la mention « Mit Liebe in Glashütte gefertigt », ce que l’on pourrait traduire en français par : « Fabriquée avec amour à Glashütte »). Cette belle mécanique allemande est visible à travers le fond saphir.
L’ensemble se porte, comme souvent chez Nomos, sur un très beau bracelet en cuir de Cordovan rembordé de la maison Horween.
Toutes les arêtes sont également polies à la main ; quant aux pièces en acier, elles ont reçu un poli noir. A noter l’inscription sur le col de cygne, gravée à la main, de la mention « Mit Liebe in Glashütte gefertigt », ce que l’on pourrait traduire en français par : « Fabriquée avec amour à Glashütte »). Cette belle mécanique allemande est visible à travers le fond saphir.
L’ensemble se porte, comme souvent chez Nomos, sur un très beau bracelet en cuir de Cordovan rembordé de la maison Horween.