La sauvegarde et le nettoyage des océans est une thématique qui, de nos jours, revient régulièrement chez Omega. Le fait est que la marque horlogère possède une longue histoire avec la mer et avec ses mythiques plongeuses ; qu’il s’agisse de la fameuse Ploprof ou de son incontournable Seamaster.
Bien consciente de l’importance de protéger les océans aujourd’hui pour nos générations, mais aussi et surtout pour les prochaines à venir, Omega a introduit l’été dernier son modèle Seamaster Diver 300M Edition Nekton réalisée en collaboration avec cette fondation anglaise de recherche éponyme (qui travaille avec l’université d’Oxford).
A noter d’ailleurs que, forte du soutien d’Omega, First Descent, la série de missions d’exploration et de préservation de l’Océan Indien, entreprise en 2019, reprendra du service l’année prochaine.
Bien consciente de l’importance de protéger les océans aujourd’hui pour nos générations, mais aussi et surtout pour les prochaines à venir, Omega a introduit l’été dernier son modèle Seamaster Diver 300M Edition Nekton réalisée en collaboration avec cette fondation anglaise de recherche éponyme (qui travaille avec l’université d’Oxford).
A noter d’ailleurs que, forte du soutien d’Omega, First Descent, la série de missions d’exploration et de préservation de l’Océan Indien, entreprise en 2019, reprendra du service l’année prochaine.
« Nos amis de Nekton protègent l’océan et souhaitent atteindre un objectif de 30% de préservation d’ici 2030. L’histoire de notre marque témoigne de notre aspiration à repousser les limites du possible. Nous admirons particulièrement cette vision audacieuse et assurée et nous sommes ravis de les aider concrétiser cet objectif » indique Omega dans son communiqué.
Pour information, l’équipe de Nekton a baptisé son sous-marin de recherche « Seamaster II » en l’honneur du bateau skippé par le regretté Sir Peter Blake. Navigateur de légende ayant sillonné les mers du monde, il était aussi un ardent défenseur de la préservation des océans et un ami proche de la maison Omega.
Pour rappel, la Seamaster Professional 300M, qui était à l’origine disponible en version quartz ou automatique, a effectué sa première plongée en 1993 avant de devenir célèbre dans le monde entier au poignet de Pierce Brosnan dans Goldeneye en 1995.
Pour information, l’équipe de Nekton a baptisé son sous-marin de recherche « Seamaster II » en l’honneur du bateau skippé par le regretté Sir Peter Blake. Navigateur de légende ayant sillonné les mers du monde, il était aussi un ardent défenseur de la préservation des océans et un ami proche de la maison Omega.
Pour rappel, la Seamaster Professional 300M, qui était à l’origine disponible en version quartz ou automatique, a effectué sa première plongée en 1993 avant de devenir célèbre dans le monde entier au poignet de Pierce Brosnan dans Goldeneye en 1995.
L’Édition Nekton (disponible en ligne) présente un cadran en céramique [ZrO2] noir gravé au laser (les connaisseurs remarqueront l’absence de date à 6h, ce qui la rend assez unique) et rehaussé d'une finition matte ainsi que d'un motif vagues en relief poli –très cohérent- et une lunette tournante unidirectionnelle conçue en titane de grade 5 avec fond grainé et une échelle de plongée en relief gravée au laser.
On retrouve bien évidemment, les fameuses aiguilles semi-squelettées (pointe « ronde » pour les heures et « triangle » pour les minutes) propres à la Seamaster 300 associées à de larges index qui rendent l’ensemble extrêmement lisible.
Deux touches de rouge affirment le côté résolument sportif de ce modèle : la mention Seamaster en dessous du nom de la marque et la trotteuse. A ce sujet rappelons que l’aiguille des secondes est indispensable sur une plongeuse digne de ce nom, puisqu’en plus de la mesure du temps, elle sert également comme indicateur de marche !
On retrouve bien évidemment, les fameuses aiguilles semi-squelettées (pointe « ronde » pour les heures et « triangle » pour les minutes) propres à la Seamaster 300 associées à de larges index qui rendent l’ensemble extrêmement lisible.
Deux touches de rouge affirment le côté résolument sportif de ce modèle : la mention Seamaster en dessous du nom de la marque et la trotteuse. A ce sujet rappelons que l’aiguille des secondes est indispensable sur une plongeuse digne de ce nom, puisqu’en plus de la mesure du temps, elle sert également comme indicateur de marche !
Le fond du boîtier en acier sablé de 42 mm (épaisseur de 13,5mm) arbore un médaillon du sous-marin estampillé Nekton (on distingue même les traces de sables) ainsi que les gravures de la mention « NAIADLOCK DIVER 300M » et de son étanchéité (300 mètres rappelons-le).
Précisons que la Naiadlock permet de présenter toujours le fond dans la bonne position ce qui est particulièrement important lorsqu’il affiche une gravure, comme c’est le cas ici. Naturellement, cette « plongeuse » est équipée de sa fameuse valve à hélium à 10h.
Précisons que la Naiadlock permet de présenter toujours le fond dans la bonne position ce qui est particulièrement important lorsqu’il affiche une gravure, comme c’est le cas ici. Naturellement, cette « plongeuse » est équipée de sa fameuse valve à hélium à 10h.
L’Édition Nekton est animée par le calibre Master Chronometer 8806 sublimé d'une finition luxueuse unique et arbore un motif Côtes de Genève en arabesque ainsi qu'un rotor et des ponts rhodiés. Sa réserve de marche s’élève à 55 heures.
Certifiée par METAS et résistante à des champs magnétiques de 15 000 gauss (toujours bien pratique pour les grands voyageurs qui doivent passer sous les portiques à métaux des aéroports plusieurs fois par an). « Last but not least », ce garde-temps est garanti 5 ans.
Deux modèles disponibles. L’un est pourvu d'un bracelet en caoutchouc noir intégré fermé par une boucle polie et satinée qui rehausse le cadran en céramique noire. L’autre est monté sur un bracelet en acier.
Ce modèle est disponible en ligne sur le site Omega
Certifiée par METAS et résistante à des champs magnétiques de 15 000 gauss (toujours bien pratique pour les grands voyageurs qui doivent passer sous les portiques à métaux des aéroports plusieurs fois par an). « Last but not least », ce garde-temps est garanti 5 ans.
Deux modèles disponibles. L’un est pourvu d'un bracelet en caoutchouc noir intégré fermé par une boucle polie et satinée qui rehausse le cadran en céramique noire. L’autre est monté sur un bracelet en acier.
Ce modèle est disponible en ligne sur le site Omega