À l'occasion de cet anniversaire spécial, l’horloger biennois se souvient de cette mission incroyable et de l'aventure que la « Moonwatch » a vécue pour atteindre la surface de la Lune.
C'est en 1964 que la NASA s’est officiellement lancée à la recherche d’une montre fiable, adaptée aux exigences de ses missions habitées. Le directeur des opérations de l’équipage, Deke Slayton, lança un appel d’offres international invitant différentes manufactures horlogères à lui envoyer leurs meilleurs chronographes-bracelets.
Plusieurs marques, dont Rolex, Omega ou Breitling soumirent leurs montres aux tests exigeants de l’agence spatiale : températures extrêmes, chocs, vibrations, environnements sous vide, entre autres.
C'est en 1964 que la NASA s’est officiellement lancée à la recherche d’une montre fiable, adaptée aux exigences de ses missions habitées. Le directeur des opérations de l’équipage, Deke Slayton, lança un appel d’offres international invitant différentes manufactures horlogères à lui envoyer leurs meilleurs chronographes-bracelets.
Plusieurs marques, dont Rolex, Omega ou Breitling soumirent leurs montres aux tests exigeants de l’agence spatiale : températures extrêmes, chocs, vibrations, environnements sous vide, entre autres.
Le 1er mars 1965, l’Omega Speedmaster, seule montre ayant réussi ces tests, fut déclarée « Première montre approuvée pour toutes les missions spatiales habitées ».
Dès lors, la marque devint le seul et unique fournisseur officiel de montres du programme spatial habité de la NASA. Les astronautes lui firent confiance tout au long des programmes Mercury, Gemini et, bien sûr, Apollo, qui allait les emmener sur la Lune.
Le monde entier aurait le regard tourné vers Apollo 11 en 1969, et chaque équipement devait fonctionner à la perfection. La NASA n’avait pas le droit à l’erreur. C’est donc un honneur pour Omega de réaliser, a posteriori, que ses montres avaient gagné la confiance de toutes les personnes engagées dans cette aventure.
Dès lors, la marque devint le seul et unique fournisseur officiel de montres du programme spatial habité de la NASA. Les astronautes lui firent confiance tout au long des programmes Mercury, Gemini et, bien sûr, Apollo, qui allait les emmener sur la Lune.
Le monde entier aurait le regard tourné vers Apollo 11 en 1969, et chaque équipement devait fonctionner à la perfection. La NASA n’avait pas le droit à l’erreur. C’est donc un honneur pour Omega de réaliser, a posteriori, que ses montres avaient gagné la confiance de toutes les personnes engagées dans cette aventure.
Le 21 juillet 1969, dès 2 h 56 UTC, Neil Armstrong et Buzz Aldrin devinrent les premiers hommes à marcher sur la Lune. Ces premiers pas qui ne durèrent que deux heures et demie laissèrent une empreinte indélébile dans l’histoire de l’exploration spatiale.
Cinquante-cinq ans plus tard, la marque reste bien évidemment « extrêmement fière d'avoir chronométré la plus grande heure de l'humanité et d'avoir joué un rôle central dans cette histoire pionnière ».
Rappelons tout de même que la Speedmaster n’est pas la seule montre à avoir foulé le sol lunaire ; la Bulova de Dave Scott alunira deux ans plus tard, en 1971.
Quant à la première montre dans l’espace, c’était en 1962 et c’était une Breitling au poignet de l’astronaute Scott Carpenter qui effectua alors, trois fois le tour de la Terre avec la Navitimer Cosmonaute pendant sa mission Mercury-Atlas 7.
Cinquante-cinq ans plus tard, la marque reste bien évidemment « extrêmement fière d'avoir chronométré la plus grande heure de l'humanité et d'avoir joué un rôle central dans cette histoire pionnière ».
Rappelons tout de même que la Speedmaster n’est pas la seule montre à avoir foulé le sol lunaire ; la Bulova de Dave Scott alunira deux ans plus tard, en 1971.
Quant à la première montre dans l’espace, c’était en 1962 et c’était une Breitling au poignet de l’astronaute Scott Carpenter qui effectua alors, trois fois le tour de la Terre avec la Navitimer Cosmonaute pendant sa mission Mercury-Atlas 7.