La marque horlogère japonaise Orient (née en 1951 et groupe Seiko depuis quelques années) reste encore largement méconnue en France, sauf par quelques amateurs conscients des propriétés de ces montres mécaniques d’un excellent rapport qualité-prix. On a d’ailleurs, toujours un petit faible pour leur modèle Bambino, une montre de ville aux accents vintage très réussie à moins de 200 euros.
Aujourd’hui, la marque revient en 2021 avec sa M-Force Raikou (« éclair » en japonais), une plongeuse virile en édition spéciale qui est réservée au marché européen (une première pour la marque japonaise) ; qui ne sera produite qu’à mille exemplaires.
Elle embarque un imposant boitier en acier noir de 45 mm étanche à 200 mètres. Une large lunette unidirectionnelle avec chiffres jaunes (très dans l’esprit « plongée) est associée à deux imposants protège-couronne (vissée) qui lui donne un aspect « chrono ».
Trois touches de jaunes sont présentes sur le cadran et répondent à la lunette : la mention « Diver’s 200 mètres », le bout de l’aiguille des minutes et celui de la trotteuse. De la matière luminescente est présente sur les aiguilles heures et minutes, sur la trotteuse et sur les imposants index. On retrouve un guichet date à 3h.
Cette « plongeuse » massive et virile embarque dans les profondeurs, un calibre mécanique à remontage automatique « made in Japan », le F6727 de 40h de réserve de marche. L’ensemble se porte sur un bracelet métallique noir intégré à la boite.
Aujourd’hui, la marque revient en 2021 avec sa M-Force Raikou (« éclair » en japonais), une plongeuse virile en édition spéciale qui est réservée au marché européen (une première pour la marque japonaise) ; qui ne sera produite qu’à mille exemplaires.
Elle embarque un imposant boitier en acier noir de 45 mm étanche à 200 mètres. Une large lunette unidirectionnelle avec chiffres jaunes (très dans l’esprit « plongée) est associée à deux imposants protège-couronne (vissée) qui lui donne un aspect « chrono ».
Trois touches de jaunes sont présentes sur le cadran et répondent à la lunette : la mention « Diver’s 200 mètres », le bout de l’aiguille des minutes et celui de la trotteuse. De la matière luminescente est présente sur les aiguilles heures et minutes, sur la trotteuse et sur les imposants index. On retrouve un guichet date à 3h.
Cette « plongeuse » massive et virile embarque dans les profondeurs, un calibre mécanique à remontage automatique « made in Japan », le F6727 de 40h de réserve de marche. L’ensemble se porte sur un bracelet métallique noir intégré à la boite.