La sauvegarde et le nettoyage des océans est une thématique qui revient régulièrement dans le marketing des grandes marques horlogères (notamment quand elles sont très impliquées dans l’univers de la plongée). D’Alpina à Breguet en passant par Blancpain, Breitling, Ulysse Nardin, Baltic, etc. Toutes s’inscrivent dans la protection des mers. Chacune à leur manière.
Et Oris ne fait exception en la matière, bien au contraire. Sa première collaboration pour sauvegarder la Grande barrière de corail en Australie remonte déjà à 2010 … Et depuis 2017, l’horloger est partenaire de la Coral Restoration Foundation, afin de « changer les choses pour le mieux ».
Et Oris ne fait exception en la matière, bien au contraire. Sa première collaboration pour sauvegarder la Grande barrière de corail en Australie remonte déjà à 2010 … Et depuis 2017, l’horloger est partenaire de la Coral Restoration Foundation, afin de « changer les choses pour le mieux ».
De fait, l'Oris Carysfort Reef Limited Edition est la 3ème montre produite par Oris en soutien à la fondation. Ce modèle porte le nom du récif corallien de Carysfort : un vaste écosystème situé en Floride près de l’île de Key Largo, au cœur du sanctuaire marin national des Florida Keys.
Il s’agit de la troisième plus grande barrière de corail au monde et de la seule située aux États-Unis. Rappelons également que les récifs coralliens sont les écosystèmes les plus menacés de la planète… mais qu’il y a encore de l’espoir pour les sauver.
Plus concrètement, il s’agit d’une montre de 43,5 mm, étanche à 300 mètres. Le boitier est équipé d’un lunette tournante bidirectionnelle en céramique bleu et noire (jour/nuit) avec échelle GMT. Le cadran bleu dégradé évoqué bien évidemment l’univers marin. Aiguilles et index avec Superluminova. Il est protégé par un verre saphir bombé avec traitement antireflet.
Il s’agit de la troisième plus grande barrière de corail au monde et de la seule située aux États-Unis. Rappelons également que les récifs coralliens sont les écosystèmes les plus menacés de la planète… mais qu’il y a encore de l’espoir pour les sauver.
Plus concrètement, il s’agit d’une montre de 43,5 mm, étanche à 300 mètres. Le boitier est équipé d’un lunette tournante bidirectionnelle en céramique bleu et noire (jour/nuit) avec échelle GMT. Le cadran bleu dégradé évoqué bien évidemment l’univers marin. Aiguilles et index avec Superluminova. Il est protégé par un verre saphir bombé avec traitement antireflet.
Sa couronne est vissé tout comme le fond de la carrure qui affiche en plus une gravure spécifiquement dédiée à cette opération. Côté moteur, il s’agit d’un calibre mécanique automatique GMT avec date d’une réserve de marche de 42h.
Cette montre se porte sur un bracelet en acier ou caoutchouc orange, tous deux avec boucle déployante de sécurité en acier avec extension « plongée ». Cette édition limitée de 2000 exemplaires est présentée dans un coffret spéciale réalisé à partir d’algues.
A noter qu’il existe également une version en or à 50 exemplaires (17.200 euros). Autant le modèle en acier est bien placé en prix autant, celui en or est cher…
Cette montre se porte sur un bracelet en acier ou caoutchouc orange, tous deux avec boucle déployante de sécurité en acier avec extension « plongée ». Cette édition limitée de 2000 exemplaires est présentée dans un coffret spéciale réalisé à partir d’algues.
A noter qu’il existe également une version en or à 50 exemplaires (17.200 euros). Autant le modèle en acier est bien placé en prix autant, celui en or est cher…