La sauvegarde et le nettoyage des océans est une thématique qui revient régulièrement dans le marketing des grandes marques horlogères (notamment quand elles sont très impliquées dans l’univers de la plongée). D’Alpina à Breguet en passant par Blancpain, Breitling, Ulysse Nardin, Baltic, etc. Toutes s’inscrivent dans la protection des mers. Chacune à leur manière.
Et Oris ne fait exception en la matière, bien au contraire. Sa première collaboration pour sauvegarder la Grande barrière de corail en Australie remonte déjà à 2010 … Et depuis 2017, l’horloger est partenaire de la Coral Restoration Foundation, afin de « changer les choses pour le mieux ».
Selon le Smithsonian Ocean Portal, au moins 2.270 espèces seraient actuellement répertoriées comme étant en voie de disparition ou menacées en vertu de la loi américaine sur les espèces en danger. L’une d’elles est le requin-baleine, le plus gros poisson de l’océan, qui a inspiré l’Oris Whale Shark Limited Edition.
Contrairement à la baleine, le requin-baleine est défini comme poisson par les scientifiques et non comme mammifère. Il s’agit selon eux du plus gros poisson de l’océan. Pour autant, ce sont les gentils géants de l’océan. Leurs proportions, pouvant atteindre plus de 12 mètres de long pour un poids de plus de 20 tonnes, sont similaires à celles d’un car de ramassage scolaire. Ils sont dociles et se laissent approcher par les nageurs, comme les dauphins.
Et Oris ne fait exception en la matière, bien au contraire. Sa première collaboration pour sauvegarder la Grande barrière de corail en Australie remonte déjà à 2010 … Et depuis 2017, l’horloger est partenaire de la Coral Restoration Foundation, afin de « changer les choses pour le mieux ».
Selon le Smithsonian Ocean Portal, au moins 2.270 espèces seraient actuellement répertoriées comme étant en voie de disparition ou menacées en vertu de la loi américaine sur les espèces en danger. L’une d’elles est le requin-baleine, le plus gros poisson de l’océan, qui a inspiré l’Oris Whale Shark Limited Edition.
Contrairement à la baleine, le requin-baleine est défini comme poisson par les scientifiques et non comme mammifère. Il s’agit selon eux du plus gros poisson de l’océan. Pour autant, ce sont les gentils géants de l’océan. Leurs proportions, pouvant atteindre plus de 12 mètres de long pour un poids de plus de 20 tonnes, sont similaires à celles d’un car de ramassage scolaire. Ils sont dociles et se laissent approcher par les nageurs, comme les dauphins.
Vivant principalement dans les eaux tropicales, ils migrent chaque printemps vers le plateau continental au large de la côte ouest centrale de l’Australie. Ils se nourrissent en ouvrant leurs énormes mâchoires et en filtrant passivement la moindre particule de plancton et de petits poissons sur leur passage, faisant ainsi partie des trois uniques espèces à utiliser cette technique. S’ils mènent une vie saine, ils peuvent atteindre 70 ans.
Mais selon l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), l’espèce est menacée et la population diminue. En 2016, l’UICN a brutalement annoncé la diminution de moitié de sa population mondiale ces 75 dernières années.
Les causes de cette forte baisse ? Selon l’UICN, la pêche légale et illégale, le piégeage dans les engins de pêche et les collisions avec des bateaux sont responsables du plus grand nombre de morts. En d’autres termes, l’activité humaine est largement à blâmer.
« Nous devons créer des aires marines protégées, explique Gerardo, informer les gens de l’importance des requins-baleines, réduire la pollution des océans et lutter contre les changements climatiques. Autant d’actions essentielles à la conservation de l’espèce. »
En tant que grands prédateurs, les requins jouent un rôle majeur dans l’écosystème en maintenant les espèces en dessous d’eux dans la chaîne alimentaire et comme indicateurs de la santé des océans. Ils
contribuent à éliminer les individus faibles et malades et à maintenir l’équilibre entre concurrents, garantissant ainsi la diversité des espèces. La disparition des requins baleines entraînerait l’effondrement des écosystèmes.
Mais selon l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), l’espèce est menacée et la population diminue. En 2016, l’UICN a brutalement annoncé la diminution de moitié de sa population mondiale ces 75 dernières années.
Les causes de cette forte baisse ? Selon l’UICN, la pêche légale et illégale, le piégeage dans les engins de pêche et les collisions avec des bateaux sont responsables du plus grand nombre de morts. En d’autres termes, l’activité humaine est largement à blâmer.
« Nous devons créer des aires marines protégées, explique Gerardo, informer les gens de l’importance des requins-baleines, réduire la pollution des océans et lutter contre les changements climatiques. Autant d’actions essentielles à la conservation de l’espèce. »
En tant que grands prédateurs, les requins jouent un rôle majeur dans l’écosystème en maintenant les espèces en dessous d’eux dans la chaîne alimentaire et comme indicateurs de la santé des océans. Ils
contribuent à éliminer les individus faibles et malades et à maintenir l’équilibre entre concurrents, garantissant ainsi la diversité des espèces. La disparition des requins baleines entraînerait l’effondrement des écosystèmes.
Plus concrètement, il s’agit d’une montre de 43,5 mm, étanche à 300 mètres. Le boitier est équipé d’un lunette tournante bidirectionnelle en céramique bleu et noire (jour/nuit) avec échelle GMT. On remarque que le cadran bleu évoque la peau du requin-baleine avec sa texture si particulière. Les aiguilles et index sont recouverts de Superluminova. L’ensemble est protégé par un verre saphir bombé avec traitement antireflet.
Cette montre est limitée à 2 016 pièces pour marquer l’année de l’annonce de la protection du requin-baleine par l’UICN.
Sa couronne est vissé tout comme le fond de la carrure qui affiche en plus une gravure de requin-baleine spécifiquement dédiée à cette édition. Côté moteur, il s’agit d’un calibre mécanique automatique GMT avec date d’une réserve de marche de 42h.
Cette montre se porte sur un bracelet en acier avec boucle déployante de sécurité en acier avec extension « plongée ». Cette édition limitée est présentée dans un coffret spéciale réalisé à partir d’algues.
Cette montre est limitée à 2 016 pièces pour marquer l’année de l’annonce de la protection du requin-baleine par l’UICN.
Sa couronne est vissé tout comme le fond de la carrure qui affiche en plus une gravure de requin-baleine spécifiquement dédiée à cette édition. Côté moteur, il s’agit d’un calibre mécanique automatique GMT avec date d’une réserve de marche de 42h.
Cette montre se porte sur un bracelet en acier avec boucle déployante de sécurité en acier avec extension « plongée ». Cette édition limitée est présentée dans un coffret spéciale réalisé à partir d’algues.
Cette montre est disponible à Paris et en ligne chez Emile Léon. Emile Léon est un détaillant horloger atypique en ce sens qu’installé en plein cœur de Paris, et surtout, en plein cœur du luxe parisien, il propose une offre horlogère qui sort des sentiers battus… Jugez-vous-même : Corum et Eterna côtoient Garmin et Le Forban, mais également, Frédérique Constant, Junghans, Atelier de Monaco, Mido, Triton, Dodane, Meistersinger, Hamilton, Citizen, Longines, Tissot, Rado, Lip, Seiko et quelques autres.
Joaillerie Emile Léon
8 rue Royale
75008 PARIS
Lundi : 10:00 à 19:00
Mardi : 10:00 à 19:00
Mercredi : 10:00 à 19:00
Jeudi : 10:00 à 19:00
Vendredi : 10:00 à 19:00
Samedi : 10:00 à 19:00
Dimanche : Fermé
Téléphone 01 40 20 40 03
Joaillerie Emile Léon
8 rue Royale
75008 PARIS
Lundi : 10:00 à 19:00
Mardi : 10:00 à 19:00
Mercredi : 10:00 à 19:00
Jeudi : 10:00 à 19:00
Vendredi : 10:00 à 19:00
Samedi : 10:00 à 19:00
Dimanche : Fermé
Téléphone 01 40 20 40 03