Panerai Luminor 1950 Flyback Regatta Rattrapante, en hommage à la mer et aux régates


Officine Panerai, dont le lien avec la voile classique repose sur un partage profond de valeurs identiques et sur la collaboration avec les organisateurs et les armateurs, lancera, cette année encore, un nouveau modèle de montre à l’occasion du circuit Panerai Classic Yachts Challenge 2007 : la Luminor 1950 Flyback Regatta Rattrapante 2007.


L’histoire de Panerai et, plus généralement, celle du Temps et des instruments de poignet qui permettent aux hommes de le transporter avec eux, évoquent étrangement une autre grande aventure humaine : celle de la mer et des embarcations que l’homme a créées pour l’habiter et la traverser.

« La mer est en effet, comme le Temps, une donnée infinie que les hommes ont tenté d’apprivoiser grâce à des inventions extraordinaires, dont la forme la plus pure et la plus raffinée est le voilier », souligne la marque.

Les montres Panerai viennent de la mer et c’est à la mer qu’elles doivent beaucoup de leur fascination. De cette relation intime est né le Panerai Classic Yachts Challenge (voir ci-dessous et le reportage photo, un circuit de régates de voiles d’époques organisé en collaboration avec la F.I.V. et le C.I.M. qui arrive cette année à sa troisième édition.

Pour rappeler les émotions des régates 2007, la Luminor 1950 Regatta sera produite avec la fonction particulière « rattrapante ». Cette édition spéciale sera tirée à 500 exemplaires.


Le boîtier de la montre reprend celui de la ligne Luminor « 1950 », avec des bords arrondis et, surtout, une lunette polie, conférant une touche de classicisme à un objet au caractère résolument sportif. Également particulier, le verre saphir se distingue par des bords très bombés, obtenus en creusant le saphir synthétique de l’intérieur.

L’ergonomie de la montre est mise en valeur par l’intégration des poussoirs du chronographe dans le dispositif protège-couronne, tandis que le poussoir de rattrapante, placé à 8 heures, est pratiquement dissimulé par la structure courbée de la carrure.

Ce boîtier, de 44 millimètres de diamètre, abrite le calibre Panerai OP XVIII, un mécanisme à remontage automatique réalisé en exclusivité pour Panerai et caractérisé par son système de tri des fonctions chronographes au moyen d’une roue à colonnes.

Pour souligner le lien entre la Luminor 1950 Regatta Rattrappante et le monde de la mer et des régates, le cadran a été personnalisé par une aiguille des secondes du chronographe de couleur bleue et la mise en relief, toujours en bleu, des graduations des 5 premières minutes (les plus importantes dans une régate) sur le minuteur situé à 3 heures.

Outre l’indication habituelle du millésime, la mention « Classic Yachts Challenge 2007 » est également gravée au dos.

Spécificités techniques de la Panerai Luminor 1950 Regatta Rattrapante (PAM00286)

Boîtier :
44 mm de diamètre, en acier satiné AISI 316L. Poussoirs du chronographe en acier satiné à 2, 4 et 8 heures (fonction rattrapante). Dispositif protège-couronne (marque déposée) en acier satiné

Verre :
Saphir, en corindon, 2 mm d’épaisseur. Antireflet

Fond :
Transparent en verre saphir. Gravure « Classic Yachts Challenge 2007 » sur la partie externe

Étanchéité :
100 mètres

Mouvement :
Mécanique à remontage automatique, calibre exclusif Panerai OP XVIII, 13 ¼ lignes, 31 rubis, balancier monométallique en Glucydur®, 28 800 alternances/heure. Dispositif antichoc Incabloc®. Double roue à colonnes, réserve de marche de 42 heures. Décor côtes de Genève sur les ponts et la masse oscillante. Certificat chronométrique (C.O.S.C).

Fonctions :
Heures, minutes, petites secondes. Chronographe rattrapante à deux compteurs, échelle tachymétrique.

Cadran :
Noir avec décor clou de Paris. Index et chiffres arabes luminescents. Minuteur à 3 heures, petites secondes à 9 heures, aiguilles centrales des secondes du chronographe et du chronographe rattrapante, échelle tachymétrique sur le bord externe.

Lunette :
En acier poli

Bracelet :
Bracelet en caoutchouc et boucle déployante en acier satiné personnalisés PANERAI. Tournevis en acier et bracelet de rechange.

Référence PAM00286

Le grand retour du circuit Panerai Classic Yachts Challenge 2007

Après l’événement de la Coupe de l’America à Valence, le charme unique des voiles d’époque revient sur scène pour la grande saison de voile 2007, avec la troisième édition du circuit méditerranéen exclusif Panerai Classic Yachts Challenge.

Le monde de la voile traditionnelle –de superbes embarcations en bois, des noms et des projets intemporels, la passion de grandes figures du yachting : armateurs, ingénieurs, constructeurs navals et champions– confirme son lien étroit avec les valeurs, l’histoire et la technologie de la haute horlogerie représentées par Officine Panerai.

Le monde des bateaux historiques et des voiles d’époque se prépare à vivre une nouvelle saison marquée par un succès extraordinaire, par la participation et l’implication des armateurs et des passionnés. Ce secteur est donc bien l’un des plus dynamiques et des plus intéressants de tout le nautisme, à même d’attirer chaque année un public de plus en plus nombreux où se mêlent skippers, passionnés et curieux. En effet, il incarne par excellence des valeurs intimement liées à la mer. C’est également pour cette raison que les rendez-vous consacrés aux voiles d’époque se transforment en grands spectacles, dont le clou est le défilé de ces superbes « dames de la mer » le long des quais où se masse le public.

Le circuit Panerai Classic Yachts Challenge 2007 est organisé par l’AIVE (Association italienne de voiliers d’époque) et le CIM (Comité international de la Méditerranée), en association avec Officine Panerai qui en est le sponsor attitré. Cinq régates et trois courses de liaison en haute mer d’une étape à l’autre sont prévues, soit un total de 8 événements pour lesquels les participants se verront attribuer des points comptant pour le classement final. Si l’édition 2006 avait attiré 239 embarcations, les organisateurs en attendent 300 cette année.

Le calendrier des rassemblements s’échelonne comme suit : ouverture à Antibes (FRA) pour les Voiles d’Antibes, du 30 mai au 3 juin, puis étape classique à Porto Santo Stefano, Argentario Sailing Week, du 13 au 17 juin, Ve Copa del Rey de Barcos de Epoca à Port Mahon, aux Baléares (Espagne), du 28 au 31 août, retour attendu à Porto Rotondo en Sardaigne du 6 au 9 septembre, enfin clôture à Cannes (FRA), avec les Régates Royales, du 24 au 30 septembre.
Les courses de liaison débuteront avec la régate au large La Spezia-Porto Santo Stefano (8-10 juin), pour se poursuivre avec la course Mahon-Porto Rotondo (1er septembre) avant de se terminer avec la Porto Rotondo-Cannes (17 septembre).

Comme chaque année, de nombreuses nouveautés sont prévues cette saison, à commencer par l’attention dûment portée à l’histoire de la Coupe de l’America, marquée par la confirmation de la présence en régate du grand Dennis Conner, l’un des mythes de l’America’s Cup, et par le Mondial des 12 mètres Jauge internationale, qui réunira sur la ligne de départ de nombreuses ex-reines de l’histoire du trophée.

À ne pas manquer non plus, la confrontation, à quai et pendant la régate, entre les grands vaisseaux amiraux de la flotte, les Big Boats, auxquels le circuit Panerai décernera cette année un trophée spécial : Lulworth, le cutter aurique de 46,30 mètres, projet de Herbert White, Southampton 1920, de l’armateur néerlandais Johan van den Bruele, Altair (32 mètres de 1931), Cambria (34 mètres de 1928), Mariette (32 mètres de 1915), Mariquita (31 mètres de 1923), qui donneront vie à l’immortelle réédition du duel historique entre William Fife et Nay Herreshoff, architectes légendaires à l’origine des plus beaux voiliers du siècle.

C’est confirmé, le prestigieux Dennis Conner sera présent. Le grand héros de la Coupe de l’America des années 1980 poursuivra avec son 16 mètres Cotton Blossom II son défi sans fin avec Bona Fide de Giuseppe Giordano (vainqueur du Panerai Challenge 2006 pour la catégorie Époque). Nouveauté attendue, Armorita de l’armateur Claudio Mealli, bateau jumeau de Cholita, sloop de 14 mètres de 1937 de la classe Californie 32, qui s’est montré particulièrement combatif sur le circuit méditerranéen (1e en 2005, 3e en 2006).

De retour également parmi les protagonistes de 2006, Oriole de Francis Van de Velde, le Tirrenia II du président de l’AIVE Gianni Loffredo (dans la catégorie Époque), et le vainqueur du Panerai Challenge 2006 dans la catégorie Classique, Émeraude de Vittorio Cavazzana, le Strale d’Antonio Bandini, le Madifra de Matteo Rossi, le Windigo d’Andrea Boroli, l’anglais Outlaw (vainqueur du circuit en 2005), le ketch Alba de l’Espagnol Damien Ribas, président du CIM. Parmi les embarcations de petite taille, signalons le retour de Lona, le cutter anglais de 1905 lancé à Chiavari début 2006 par l’armateur Maurizio Manzoli, frère du navigateur solitaire Franco Manzoli, vainqueur de l’Ostar en 2005.

Officine Panerai confirme aussi son positionnement outre-Atlantique en tant que sponsor de la vingtième édition de l’Antigua Classic Week (19-24 avril), organisée par l’Antigua Yacht Club et considérée comme l’une des grandes étapes de la voile traditionnelle. D’autres rendez-vous prestigieux auront lieu aux États-Unis, à Newport Rhode Island (6-8 juillet) et à Nantucket, Massachusetts (11-19 août). Sur le continent américain aussi, aux côtés du yachting classique, Panerai s’appuie sur ses valeurs de toujours - recherche, innovation et tradition – pour tisser un lien profond et durable avec les localités et les événements.

Panerai Classic Yachts Challenge 2007

Le yachting classique : embarcations, règles, associations

Le yachting classique

À partir de la deuxième moitié des années 1970, l’intérêt pour les embarcations anciennes, construites avec des matériaux classiques et selon des critères traditionnels, s’est répandu parmi les passionnés de voile et au sein du grand public. Le « yachting classique » s’est développé parallèlement à la culture de la navigation de plaisance, à la diffusion et à la pratique des sports de voile et des événements qui y sont liés : aujourd’hui, le monde des voiles d’époque est un secteur majeur du nautisme, dont l’importance grandit chaque année, tout comme le nombre de personnes impliquées à différents titres (ouvriers, chantiers navals, entreprises, armateurs, organisateurs, sponsors, skippers, médias, public).

Ces dernières années, des événements consacrés au yachting classique ont vu le jour, des chantiers spécialisés dans la restauration minutieuse de coques anciennes se sont développés et le nombre d’armateurs intéressés par des projets de récupération et de rénovation de yachts d’époque et classiques a constamment augmenté. Le succès rencontré par de grands rassemblements et régates s’est accompagné de la naissance d’associations, à commencer par l’AIVE, l’Association italienne de voiliers d’époque.

Tout plaisancier ou amoureux de la mer nourrit une affection particulière pour les bateaux classiques ou d’époque. Pour tous, la vision d’un yacht aux lignes classiques évoque l’histoire, la tradition et les exploits des marins d’autrefois, des valeurs qui prennent des significations encore plus profondes à l’époque moderne. Aujourd’hui, chaque bateau d’époque est une sorte de musée flottant, un symbole même de l’art de la navigation transmis au fil du temps.

Le CIM – Comité international de la Méditerranée

Fondé à Cannes en 1926 par un groupe de yachtmen français, italiens et espagnols sous le nom de « Comité international des courses croisières de la Méditerranée », le CIM fut très actif jusqu’en 1939, puis cessa bien entendu ses activités pendant la deuxième guerre mondiale. Les courses au large reprirent en 1948 entre bateaux italiens, français et espagnols. L’augmentation du nombre d’armateurs donna un nouvel essor au Comité à partir de 1950. Dès 1948, les représentants du Yacht Club de France, du Yacht Club italien et du Real Club Nautico de Barcelone, réunis à Paris sur l’invitation de Fernand Rouff, président de la Société des régates de Cannes et l’un des fondateurs du CIM, avaient déjà réfléchi à la réorganisation et au développement des courses au large.

Le 20 décembre 1997, à Monaco, il est décidé de créer une division distincte pour les yachts d’époque, dont le siège est établi au Yacht Club de Monaco, qui en assure également le secrétariat. Un an plus tard est fixé le premier Règlement harmonisé pour la jauge des yachts d’époque et classiques, appliqué avec succès à toutes les régates en Méditerranée.

En 2001, le Règlement pour la jauge et pour les courses des yachts d’époques et classiques 2001-2004 prend sa forme définitive. Valable pour toute la Méditerranée, il permet aux associations nationales de délivrer des certificats de jauge valables pour toutes les manifestations reconnues par le Comité. Le Règlement franchit même le détroit de Gibraltar et est appliqué jusqu’en Argentine, ainsi qu’à Cowes, en 2001, à l’occasion du jubilé de la Coupe de l’America. Les organisateurs d’événements pour voiliers d’époque sont désormais fédérés et le calendrier, placé sous l’égide du CIM, est harmonisé et officialisé.

Le président actuel du Comité est l’architecte espagnol Damian Ribas, qui restera en fonction jusqu’en 2007. Le CIM a défini de nouveaux statuts et une nouvelle organisation avec le secrétariat permanent, transféré à Barcelone. La Suisse fait également partie de ses adhérents (Société nautique de Genève).

L’AIVE – Association italienne de voiliers d’époque

Les premiers rassemblements de bateaux d’époque et classiques apparaissent en Méditerranée dans les années 1980, l’Italie jouant un rôle important en la matière avec la constitution d’une magnifique flotte de voiliers d’époque. Tout commence en 1982, avec le premier rassemblement de ce type, à Porto Cervo, remporté par l’Agneta d’Agnelli, et la naissance de l’AIVE (Association italienne de voiliers d’époque), d’abord présidée par Beppe Croce, puis par Gianni Loffredo, son président actuel.

La fièvre des bateaux d’époques touche de nombreux armateurs, qui recherchent, rachètent et restaurent des embarcations anciennes de toutes dimensions et les font participer à des régates : on revoit naviguer de vieux 12 mètres JI de la Coupe de l’America, des yachts de différentes classes métriques de prestige (5, 6, 8 mètres Jauge internationale), des bateaux de croisière et de régate.

L’Association se développe dès le début et rassemble la majeure partie de la flotte méditerranéenne ; elle organise des rassemblements et instaure son propre règlement de jauge. L’exemple italien est bientôt suivi en France, en Espagne et à Monaco : la Méditerranée devient le centre de gravité du yachting classique, un lieu de prédilection où les skippers et les armateurs naviguent, se rencontrent et s’affrontent. L’attrait du yachting classique constitue une véritable tendance culturelle. À Imperia a lieu pour la première fois un rassemblement biennal qui est aujourd’hui encore le plus grand des rendez-vous réservés aux bateaux d’époque.

Aujourd’hui, l’AIVE regroupe 220 adhérents et 200 yachts. Elle est présidée par Gianni Loffredo et son siège se trouve au Yacht Club italien, à Gènes.

L’association a pour but la valorisation au sens large des bateaux et des gréements conçus et construits selon les critères d’avant 1980 ; l’étude et la conservation des traditions nautiques et de leur histoire, en lien avec la construction d’embarcations de plaisance et de régate ; la création d’une bibliothèque de plans de construction et de voilure de toutes les embarcations recensées, de notices historiques et de publications spécialisées, en accordant une place particulière aux ingénieurs et aux chantiers.

Grâce à cette implication et à l’organisation de rassemblements et de régates, l’AIVE est aujourd’hui une référence pratique pour tous les passionnés qui, en Italie et dans d’autres pays, maintiennent équipées des embarcations pour les régates, la navigation de plaisance ou l’enseignement de la voile et de la navigation sur mer, et construites avant 1980.

Règlements

Les bateaux sont regroupés en deux catégories principales : Yachts d’Époque et Yachts Classiques.

Les Yachts d’Époque sont des yachts construits en bois ou en métal, lancés avant le 31 décembre 1949 et demeurés conformes à leurs plans d’origine.

Les yachts dont les projets sont postérieurs au 1er janvier 1946 et antérieurs au 31 décembre 1949 et mis à l’eau avant le 31 décembre 1952, sont assimilés aux yachts d’époque si un certificat d’homologation délivré par l’Association nationale les juge tels.

La catégorie des Répliques de Yachts d’Époque regroupe les yachts qui, indépendamment de leur date de lancement, ont été construits suivant un projet antérieur au 31 décembre 1949 et dans le respect de la technique et des matériaux de l’époque.

Les Yachts Classiques sont les yachts construits en bois ou en métal lancés avant le 31 décembre 1975. Les yachts construits en série ne sont pas admissibles.

Indépendamment du nombre d’unités produites, sont considérés comme yachts de série ceux construits dans un seul chantier ou sous licence exclusive, dont les composants sont produits avec des moules ou modèles spécifiques et donc interchangeables d’un exemplaire à l’autre.

Les Répliques de Yachts Classiques sont des yachts qui, indépendamment de leur date de lancement, ont été construits suivant un projet antérieur au 31 décembre 1975.

Pour les deux catégories, le Règlement attribue également un coefficient d’authenticité, déterminé selon les critères établis pour les répliques, et un paramètre d’ancienneté, lié à l’année de lancement.

La catégorie Esprit de Tradition comprend les yachts d’époque ou classiques qui, suite aux modifications qu’ils ont subies, ne sont pas susceptibles d’être jaugés suivant le Règlement pour la jauge et pour les courses des yachts d’époque et classiques – CIM, construits à partir de 1970 en utilisant des techniques et des matériaux modernes mais ayant un aspect et un style fidèles à un projet traditionnel d’époque ou classique. Cependant, leurs œuvres vives et leurs appendices, ainsi que les technologies utilisées pour leur gréement, peuvent être modernes. Leur admission devra de toute manière être soumise au Comité technique du C.I.M. (soit directement, soit par l’intermédiaire d’une Association nationale). Après approbation, ils seront admis à participer aux régates de yachts d’époque et classiques, mais dans une catégorie distincte et avec un classement spécifique.

En outre, le Règlement (disponible sur demande pour les journalistes éventuellement intéressés et téléchargeable sur internet) prévoit une série de règles générales sur les jauges, le maintien des yachts dans les conditions prescrites, les capacités des équipages (y compris l’indication du nombre minimum de personnes pour chaque classe de yachts), les parcours et la durée des régates, les rapports avec les règles de régate ISAF et les éventuelles contestations, etc.

Journée de clôture et remise des prix de Voiles d’Antibes 2007

Le soleil et une légère brise ont accompagné la journée de clôture du rendez-vous des voiliers de tradition « Voiles d’Antibes 2007 », sur lequel s’est ouvert le circuit Panerai Classic Yachts Challenge.

Les participants ont bataillé ferme (tout comme les arbitres restés à terre) pour arracher la victoire dans les différentes catégories, au grand plaisir d’un public dominical massé autour du Port Vauban.

Dans la catégorie Big Boats, le vainqueur en 4 courses est Orion (goélette 47 mètres, Camper & Nicholson 1910), devant Mariquita et Lulworth.
Dans la catégorie Époque, les meilleurs du groupe sont (par tonnage) : Bona Fide (cotre aurique grée à corne 1900), devant Jap et Lulu ; Sirius (sloop 14 mètres, Sparkman & Stephens 1936) devant Sonda et Stormy Weather ; le débutant Amorita (jumeau de Cholita, Nicholas Potter 1932)a eu le dessus sur Kipawa et Cotton Blossom II (de Dennis Conner).
Dans la catégorie Classique, Sagittarus a surclassé tout le monde (12 mètres, Sparkman & Stephens, années 1970), s’imposant devant Stormvogel et Emeraude. Enfin, Methylene’s Blue a remporté la catégorie Esprit de Tradition (réplique).

Montres-de-luxe.com | Publié le 21 Juin 2007 | Lu 17962 fois

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