Cette année, sans que cela soit prévu, Panerai rejoint donc le « club » des quelques marques horlogères à avoir voyagé dans l’espace.
Si le premier chrono en apesanteur fut une Breitling Navitimer en 1962 au poignet de Scott Carpenter, on sait que seules deux montres sont allées sur la Lune : l’incontournable Speedmaster Omega, montre officielle de la Nasa, mais également le chrono Bulova de Dave Scott.
D’autres ont en revanche voyagé dans l’espace comme la Seiko Spring Drive Spacewalk, celle de Sally Ride en 1983 -Seiko Astronaut A829-6029-, la Yema Spacegraph de Jean-Loup Chrétien en 1982 ou encore la Zenith Stratos au poignet de Felix Baumgartner à la frontière de l’espace en 2017 (liste non exhaustive).
La Panerai Radiomir PAM210 a été visible à plusieurs reprises durant la vidéo de sept heures diffusées en streaming par NASA TV lors de cette EVA.
Le fait qu'elle ait été portée pendant l’EVA témoigne de la résistance des montres Panerai face aux conditions extérieures les plus hostiles. Les températures rencontrées lors d'une EVA oscillent entre 121 degrés, lorsque l'astronaute est exposé à la lumière du soleil, et -157 degrés lorsqu'il se trouve à l'ombre.
Si le premier chrono en apesanteur fut une Breitling Navitimer en 1962 au poignet de Scott Carpenter, on sait que seules deux montres sont allées sur la Lune : l’incontournable Speedmaster Omega, montre officielle de la Nasa, mais également le chrono Bulova de Dave Scott.
D’autres ont en revanche voyagé dans l’espace comme la Seiko Spring Drive Spacewalk, celle de Sally Ride en 1983 -Seiko Astronaut A829-6029-, la Yema Spacegraph de Jean-Loup Chrétien en 1982 ou encore la Zenith Stratos au poignet de Felix Baumgartner à la frontière de l’espace en 2017 (liste non exhaustive).
La Panerai Radiomir PAM210 a été visible à plusieurs reprises durant la vidéo de sept heures diffusées en streaming par NASA TV lors de cette EVA.
Le fait qu'elle ait été portée pendant l’EVA témoigne de la résistance des montres Panerai face aux conditions extérieures les plus hostiles. Les températures rencontrées lors d'une EVA oscillent entre 121 degrés, lorsque l'astronaute est exposé à la lumière du soleil, et -157 degrés lorsqu'il se trouve à l'ombre.
Précisons que Panerai ne savait pas que le cosmonaute Shkaplerov porterait la montre lors de sa mission (la preuve, ce modèle n'est plus produit par la marque...). Mais après avoir visionné les séquences filmées par la NASA, des observateurs attentifs ont contacté Panerai.
Les dirigeants de Panerai sont tombés des nues. « Lorsque des journalistes m'ont appris la nouvelle, j'ai pensé qu'il s’agissait d’une plaisanterie », se souvient Jean-Marc Pontroué, PDG de Panerai. « Il a fallu quatre ou cinq jours pour démontrer la véracité de cette information ».
Et de préciser : « nous avons la chance d'avoir un design très reconnaissable. Grâce au boîtier de forme coussin et au cadran iconique de nos montres, les gens ont pu identifier la montre de Shkaplerov comme étant une Panerai. C'est comme lorsque l’on découvre par inadvertance qu’une montre Panerai est portée par un acteur célèbre dans un film. Nous l’apprenons en même temps que le reste du public. ».
La référence Panerai Radiomir PAM210 a subi une seule modification notable par rapport à son aspect d’origine. « À l’instar des militaires italiens par le passé, le cosmonaute portait la montre par-dessus sa combinaison », explique J. M. Pontroué. « Il avait besoin d'un bracelet adapté à celle-ci. Il a donc utilisé un autre bracelet extra-large. »
« (…) Pour autant que nous le sachions, il n'y avait encore jamais eu de montre Panerai dans l’espace, et nous n'avons jamais eu de stratégie visant à développer des montres spécialement conçues pour aller dans l'espace. Nous avons l'habitude de travailler dans les profondeurs plutôt qu'à haute altitude, mais cela ne nous empêche pas de fabriquer des montres qui figurent parmi les plus robustes au monde ».
À l’issue de cette mission, le 28 mars, M. Pontroué attendra avec impatience le bilan détaillé des performances de la montre. « Lorsque la mission sera terminée, nous aimerions inviter M. Shkaplerov pour que nous puissions voir sa montre, la réparer et la restaurer. Mais pour cela, nous devons savoir comment le contacter ! ».
Les dirigeants de Panerai sont tombés des nues. « Lorsque des journalistes m'ont appris la nouvelle, j'ai pensé qu'il s’agissait d’une plaisanterie », se souvient Jean-Marc Pontroué, PDG de Panerai. « Il a fallu quatre ou cinq jours pour démontrer la véracité de cette information ».
Et de préciser : « nous avons la chance d'avoir un design très reconnaissable. Grâce au boîtier de forme coussin et au cadran iconique de nos montres, les gens ont pu identifier la montre de Shkaplerov comme étant une Panerai. C'est comme lorsque l’on découvre par inadvertance qu’une montre Panerai est portée par un acteur célèbre dans un film. Nous l’apprenons en même temps que le reste du public. ».
La référence Panerai Radiomir PAM210 a subi une seule modification notable par rapport à son aspect d’origine. « À l’instar des militaires italiens par le passé, le cosmonaute portait la montre par-dessus sa combinaison », explique J. M. Pontroué. « Il avait besoin d'un bracelet adapté à celle-ci. Il a donc utilisé un autre bracelet extra-large. »
« (…) Pour autant que nous le sachions, il n'y avait encore jamais eu de montre Panerai dans l’espace, et nous n'avons jamais eu de stratégie visant à développer des montres spécialement conçues pour aller dans l'espace. Nous avons l'habitude de travailler dans les profondeurs plutôt qu'à haute altitude, mais cela ne nous empêche pas de fabriquer des montres qui figurent parmi les plus robustes au monde ».
À l’issue de cette mission, le 28 mars, M. Pontroué attendra avec impatience le bilan détaillé des performances de la montre. « Lorsque la mission sera terminée, nous aimerions inviter M. Shkaplerov pour que nous puissions voir sa montre, la réparer et la restaurer. Mais pour cela, nous devons savoir comment le contacter ! ».