Comme le rappelle Antoine Walter dans un récent article du site Internet de la Ville de Paris, le premier cadran public fut installé à la Conciergerie en 1350 : « C’est la première fois que l’on donne la possibilité de lire l’heure. L’heure publique devient alors une référence ».
Pour autant ce n’est qu’en 1921, il y a cent ans, que les édiles de la ville de Paris décideront, d’une part d’électrifier les horloges et d’autre part, de mettre en place un atelier d’horlogerie qui aura la charge de l’entretien et du réglage de l’affichage de l’heure dans la capitale.
« Certaines [ndlr : horloges] avaient besoin d’une intervention quotidienne, d’autres tous les deux jours, d’autres tous les 8 jours. Il ne fallait pas dévier d’une minute, sinon l’amende était de 5 francs », précise Antoine Walter.
Et d’ajouter qu’une horloge « est sensible au froid, au chaud, à l’humidité. La matière se déforme, ce qui influe sur le balancier pendulaire : s’il grandit, il devient plus lent, s’il rapetisse, il devient plus rapide. Ces petites variations sont à prendre en compte ».
L’atelier d’horlogerie de la Ville de Paris, comprend six personnes en tout : Antoine Walter, le maître horloger mais également cinq autre employés horlogers ou électrotechniciens. La ville comprend 120 horloges mécaniques au sein de ses 20 arrondissements. Sans compter les horloges et dispositifs de sonnerie qui se trouvent dans les 650 établissements scolaires, équipements sportifs et culturels.
Pour autant ce n’est qu’en 1921, il y a cent ans, que les édiles de la ville de Paris décideront, d’une part d’électrifier les horloges et d’autre part, de mettre en place un atelier d’horlogerie qui aura la charge de l’entretien et du réglage de l’affichage de l’heure dans la capitale.
« Certaines [ndlr : horloges] avaient besoin d’une intervention quotidienne, d’autres tous les deux jours, d’autres tous les 8 jours. Il ne fallait pas dévier d’une minute, sinon l’amende était de 5 francs », précise Antoine Walter.
Et d’ajouter qu’une horloge « est sensible au froid, au chaud, à l’humidité. La matière se déforme, ce qui influe sur le balancier pendulaire : s’il grandit, il devient plus lent, s’il rapetisse, il devient plus rapide. Ces petites variations sont à prendre en compte ».
L’atelier d’horlogerie de la Ville de Paris, comprend six personnes en tout : Antoine Walter, le maître horloger mais également cinq autre employés horlogers ou électrotechniciens. La ville comprend 120 horloges mécaniques au sein de ses 20 arrondissements. Sans compter les horloges et dispositifs de sonnerie qui se trouvent dans les 650 établissements scolaires, équipements sportifs et culturels.
