Peu après sa présentation au salon de l’automobile de Paris en 1935 par Ettore Bugatti, cet exemplaire unique se volatilise de la surface de la terre ne laissant derrière lui qu’une photo, quelques esquisses, et l’évocation d’une singulière carrosserie couleur crème de menthe.
On ne peut oublier en revanche, le matériau utilisé dans son élaboration qui avait créé la sensation cette année-là : un alliage de magnésium connu sous le nom d’Elektron, surnom donné parfois à cette voiture avant-gardiste incroyablement légère et pourtant d’une résistance telle qu’elle ne pouvait être cabossée.
La voiture Aerolithe se distingue par le rivet qui la traverse de la pointe à l’arrière. C’est lui qui lie la carrosserie et contourne l’impossibilité de souder le magnésium ; c’est lui qui donne à la voiture son caractère unique, son aspect « streamline » fluide et futuriste. C’est donc cette épine dorsale qui a été reprise sur la montre et que l’on a choisi de répercuter plus précisément sur les quatre cornes de la pièce. Le profil de ces cornes est inchangé, conformément aux codes de la marque, mais c’est leur surface qui est rivetée, symbolisant ainsi l’ingéniosité de Jean Bugatti et la prouesse technique qui a donné vie à la voiture il y a 80 ans.
La complication du « fly-back » est une spécialité de l’aéronautique permettant à son porteur d’arrêter, remettre à zéro et faire repartir son chronomètre en une seule pression. En accord avec la voiture de course qu’il représente, le garde-temps Bugatti Aerolithe est équipé du module fly-back qui a la particularité d’être reporté sur 180° pour une meilleure facilité d’usage (c’est indéniable !). Les poussoirs sont plus préhensibles, accessibles du pouce et non de l’index car ils sont situés à 8 et 10h au lieu de se trouver à 2 et 4h comme le veut la norme. Plus fin que les autres chronographes de la marque, le boîtier de la Bugatti Aerolithe a été réétudié dans son profil, plus élancé, plus aérien, reprenant les courbes envoûtantes de la voiture.
Chaque fois que Parmigiani Fleurier se lance dans la conception d’une nouvelle montre Bugatti, la manufacture chaux-de-fonnière Les Artisans Boîtiers se prépare à être mise au défi… Les Artisans Boîtiers ont donc imaginé la solution ingénieuse consistant à manufacturer le boîtier avec un interstice au niveau de sa base (donnant ainsi l’amplitude pour effectuer toutes les finitions qualitatives nécessaires), puis de cacher cet interstice au moyen d’une bague « de décor » qui assure l’hermétisme de la pièce. Cette bague en titane a permis de varier les textures et les couleurs de la pièce en même temps qu’elle a rendu possible un travail de finition parfait. Le parallèle n’est pas innocent avec le rivet de la voiture qui permettait initialement de contourner la difficulté de soudure et a fini par constituer l’intérêt esthétique premier de l’Aerolithe.
Sur le cadran, le Bleu Abyss est le domaine d’excellence de Quadrance et Habillage, la manufacture du pôle horloger spécialisée en cadrannerie. Cette teinte s’obtient en plongeant le cadran dans un bain galvanique dont les conditions sont extrêmement sensibles. Aux profondeurs infinies du cadran se superposent des aiguilles rouge vif qui font écho au logo rouge et noir de Bugatti à six heures. Ce contraste se répercute dans le bracelet Hermès qui est en veau bleu saphir grené et dont la tranche reprend le rouge vif astiqué du cadran. La boucle enfin, est entièrement reconçue pour symboliser une calandre de voiture, afin que l’ADN de la marque Bugatti entoure le poignet sous tous les angles.
On ne peut oublier en revanche, le matériau utilisé dans son élaboration qui avait créé la sensation cette année-là : un alliage de magnésium connu sous le nom d’Elektron, surnom donné parfois à cette voiture avant-gardiste incroyablement légère et pourtant d’une résistance telle qu’elle ne pouvait être cabossée.
La voiture Aerolithe se distingue par le rivet qui la traverse de la pointe à l’arrière. C’est lui qui lie la carrosserie et contourne l’impossibilité de souder le magnésium ; c’est lui qui donne à la voiture son caractère unique, son aspect « streamline » fluide et futuriste. C’est donc cette épine dorsale qui a été reprise sur la montre et que l’on a choisi de répercuter plus précisément sur les quatre cornes de la pièce. Le profil de ces cornes est inchangé, conformément aux codes de la marque, mais c’est leur surface qui est rivetée, symbolisant ainsi l’ingéniosité de Jean Bugatti et la prouesse technique qui a donné vie à la voiture il y a 80 ans.
La complication du « fly-back » est une spécialité de l’aéronautique permettant à son porteur d’arrêter, remettre à zéro et faire repartir son chronomètre en une seule pression. En accord avec la voiture de course qu’il représente, le garde-temps Bugatti Aerolithe est équipé du module fly-back qui a la particularité d’être reporté sur 180° pour une meilleure facilité d’usage (c’est indéniable !). Les poussoirs sont plus préhensibles, accessibles du pouce et non de l’index car ils sont situés à 8 et 10h au lieu de se trouver à 2 et 4h comme le veut la norme. Plus fin que les autres chronographes de la marque, le boîtier de la Bugatti Aerolithe a été réétudié dans son profil, plus élancé, plus aérien, reprenant les courbes envoûtantes de la voiture.
Chaque fois que Parmigiani Fleurier se lance dans la conception d’une nouvelle montre Bugatti, la manufacture chaux-de-fonnière Les Artisans Boîtiers se prépare à être mise au défi… Les Artisans Boîtiers ont donc imaginé la solution ingénieuse consistant à manufacturer le boîtier avec un interstice au niveau de sa base (donnant ainsi l’amplitude pour effectuer toutes les finitions qualitatives nécessaires), puis de cacher cet interstice au moyen d’une bague « de décor » qui assure l’hermétisme de la pièce. Cette bague en titane a permis de varier les textures et les couleurs de la pièce en même temps qu’elle a rendu possible un travail de finition parfait. Le parallèle n’est pas innocent avec le rivet de la voiture qui permettait initialement de contourner la difficulté de soudure et a fini par constituer l’intérêt esthétique premier de l’Aerolithe.
Sur le cadran, le Bleu Abyss est le domaine d’excellence de Quadrance et Habillage, la manufacture du pôle horloger spécialisée en cadrannerie. Cette teinte s’obtient en plongeant le cadran dans un bain galvanique dont les conditions sont extrêmement sensibles. Aux profondeurs infinies du cadran se superposent des aiguilles rouge vif qui font écho au logo rouge et noir de Bugatti à six heures. Ce contraste se répercute dans le bracelet Hermès qui est en veau bleu saphir grené et dont la tranche reprend le rouge vif astiqué du cadran. La boucle enfin, est entièrement reconçue pour symboliser une calandre de voiture, afin que l’ADN de la marque Bugatti entoure le poignet sous tous les angles.
Spécificités techniques de la montre Parmigiani Fleurier Bugatti Aerolithe
Mouvement PF 335 à remontage automatique.
Calibre 13''' ¼ - Ø 30.30 mm.
Epaisseur : 6.81 mm.
Fréquence 4 Hz - 28'800 A/h.
68 rubis.
Deux barillets en série.
Nombre de composants : 311
Décoration "Côtes de Genève", ponts anglés.
Réserve de marche de 50 heures.
Fonctions
Heures.
Minutes.
Secondes à 9h.
Affichage de la date par guichet.
Chronographe 1⁄4 de seconde (grande seconde au centre, compteur 30 minutes à 3 heures), retour en vol (flyback).
Boîtier de forme ronde : 41 mm. Epaisseur : 12.55 mm.
Titane et lunette en or blanc 18 ct.
Finition polie et satinée.
Poussoirs de forme à 8 heures et 10 heures en or blanc.
Glace en saphir traitée antireflet.
Couronne polie en or blanc : 7 mm.
Fond ouvert.
Numéro consécutif gravé sur le fond.
Etanchéité : 30 m.
Cadran bleu Abyss, réhaut satiné, centre opalin, compteurs 3H/9H azurés.
Index appliques rhodiées avec matière luminescente, aiguilles de forme Delta avec matière luminescente.
Bracelet veau Epsom Hermès avec fermoir déployant ajustable de sécurité en titane.
Prix de vente public conseillé : 22.000 euros
Calibre 13''' ¼ - Ø 30.30 mm.
Epaisseur : 6.81 mm.
Fréquence 4 Hz - 28'800 A/h.
68 rubis.
Deux barillets en série.
Nombre de composants : 311
Décoration "Côtes de Genève", ponts anglés.
Réserve de marche de 50 heures.
Fonctions
Heures.
Minutes.
Secondes à 9h.
Affichage de la date par guichet.
Chronographe 1⁄4 de seconde (grande seconde au centre, compteur 30 minutes à 3 heures), retour en vol (flyback).
Boîtier de forme ronde : 41 mm. Epaisseur : 12.55 mm.
Titane et lunette en or blanc 18 ct.
Finition polie et satinée.
Poussoirs de forme à 8 heures et 10 heures en or blanc.
Glace en saphir traitée antireflet.
Couronne polie en or blanc : 7 mm.
Fond ouvert.
Numéro consécutif gravé sur le fond.
Etanchéité : 30 m.
Cadran bleu Abyss, réhaut satiné, centre opalin, compteurs 3H/9H azurés.
Index appliques rhodiées avec matière luminescente, aiguilles de forme Delta avec matière luminescente.
Bracelet veau Epsom Hermès avec fermoir déployant ajustable de sécurité en titane.
Prix de vente public conseillé : 22.000 euros