Ca y est ! Depuis quelques jours, Patek Philippe est présent sur Instagram. Déja près de 50.000 followers avec seulement 12 publications, et ce n’est que le début ! L’arrivée de la prestigieuse manufacture genevoise sur ce réseau social montre bien qu’elle est totalement en phase avec son temps.
D’un côté, elle sait rester dans la plus pure tradition horlogère ; mais de l’autre, elle sait aller de l’avant et proposer à une clientèle plus jeune, des montres plus imposantes, aux fonctions sportives et aux designs plus contemporains. Sans tomber non plus, dans l’extravagant ou le « too much » !
C’est incontestablement le cas de cette nouvelle référence 5968A-001. Avant d’aller plus loin, il convient de rappeler que l’Aquanaut est la toute première Patek créée sous l’ère Thierry Stern et que ce modèle s’est imposé au fil du temps comme un incontournable de chez PP. Aujourd’hui, c’est la première fois que l’Aquanaut se voit dotée d’une fonction chrono. Elle était déjà disponible en version trois aiguilles-date et en dual-time.
D’un côté, elle sait rester dans la plus pure tradition horlogère ; mais de l’autre, elle sait aller de l’avant et proposer à une clientèle plus jeune, des montres plus imposantes, aux fonctions sportives et aux designs plus contemporains. Sans tomber non plus, dans l’extravagant ou le « too much » !
C’est incontestablement le cas de cette nouvelle référence 5968A-001. Avant d’aller plus loin, il convient de rappeler que l’Aquanaut est la toute première Patek créée sous l’ère Thierry Stern et que ce modèle s’est imposé au fil du temps comme un incontournable de chez PP. Aujourd’hui, c’est la première fois que l’Aquanaut se voit dotée d’une fonction chrono. Elle était déjà disponible en version trois aiguilles-date et en dual-time.
Patek a équipé cette nouvelle sportive du calibre CH 28-520 C, un mouvement chronographe flyback à remontage automatique combinant un système de commande classique à roue à colonnes avec un embrayage vertical à disques moderne éliminant tout risque de saut ou de recul d’aiguille lorsqu’on enclenche le chronographe.
L’embrayage n’entraînant quasiment aucune usure, la trotteuse centrale du chronographe peut également être utilisée pour afficher la seconde en permanence, ce qui permet de se passer de petite seconde dans un cadran auxiliaire.
Grâce à la fonction flyback (retour en vol), l’utilisateur peut lancer instantanément un chronométrage lorsque la trotteuse est déjà en marche en appuyant sur le poussoir à 4h sans repasser par la remise à zéro. Le passage de la fonction chronographe à l’affichage de la seconde s’effectue par le même biais, avec possibilité de caler la seconde sur un signal horaire comme avec un « stop seconde ».
L’embrayage n’entraînant quasiment aucune usure, la trotteuse centrale du chronographe peut également être utilisée pour afficher la seconde en permanence, ce qui permet de se passer de petite seconde dans un cadran auxiliaire.
Grâce à la fonction flyback (retour en vol), l’utilisateur peut lancer instantanément un chronométrage lorsque la trotteuse est déjà en marche en appuyant sur le poussoir à 4h sans repasser par la remise à zéro. Le passage de la fonction chronographe à l’affichage de la seconde s’effectue par le même biais, avec possibilité de caler la seconde sur un signal horaire comme avec un « stop seconde ».
Cette nouvelle référence en acier arbore aussi un nouveau design pour un cadran très contemporain. Le compteur 60 mn à 6h reprend la forme caractéristique de l’octogone adouci de la lunette. Les poussoirs allongés s’insèrent dans le prolongement de la boite et la couronne de remontoir reçoit quant à elle, de discrets renforts de protection.
Les indications du chronographe (trotteuse centrale des secondes, chemin de fer indiquant le quart de seconde à la périphérie, aiguille et échelle du compteur 60 mn) se détachent en orange sur le fond noir (qui tire sur le marron selon les reflets) du cadran arborant le relief structuré typique de la collection. La lisibilité est renforcée par des chiffres arabes appliques en or avec revêtement luminescent et de grandes aiguilles de type « bâton », également luminescentes.
Les indications du chronographe (trotteuse centrale des secondes, chemin de fer indiquant le quart de seconde à la périphérie, aiguille et échelle du compteur 60 mn) se détachent en orange sur le fond noir (qui tire sur le marron selon les reflets) du cadran arborant le relief structuré typique de la collection. La lisibilité est renforcée par des chiffres arabes appliques en or avec revêtement luminescent et de grandes aiguilles de type « bâton », également luminescentes.
Le boîtier, étanche à 120 mètre grâce à sa couronne vissée, alterne surfaces polies sur le dessus et satinées sur les tranches –un jeu de lumière repris sur la lunette avec surfaces « satiné vertical » et biseaux polis. Attention, avec ses 42.2 mm et son bracelet en caoutchouc qui s’intègre à la boite, cette montre ne convient pas vraiment aux petits poignets. Il faut au moins « faire du 17 » pour le porter confortablement sans qu’elle dépasse et sans que le strap l’empêche de se positionner comme il faut sur le poignet.
A noter que cette Aquanaut est livrée avec deux bracelets en matière composite (de type caoutchouc) : un noir et un orange ; audacieux mais très chic. L’ensemble se fixe à l’aide d’une nouvelle boucle déployante offrant une sécurité accrue au niveau de l’ouverture et de la fermeture (l’un des points faibles des anciens modèles).
A noter que cette Aquanaut est livrée avec deux bracelets en matière composite (de type caoutchouc) : un noir et un orange ; audacieux mais très chic. L’ensemble se fixe à l’aide d’une nouvelle boucle déployante offrant une sécurité accrue au niveau de l’ouverture et de la fermeture (l’un des points faibles des anciens modèles).