Lors de son lancement en 1968, elle frappa par son alliance inédite d’audace et d’harmonie. Audace du boîtier de forme elliptique, à la croisée du cercle et du rectangle, associé à un cadran en or bleu aux mystérieux reflets.
Harmonie des proportions inspirées de l’antique « Nombre d’Or », cette « divine proportion » (fondée sur le rapport de grandeur 1/1,6181) découverte par les mathématiciens grecs, qui a été à l’origine de certaines des plus grandes œuvres architecturales et artistiques de l’humanité.
Pour la petite histoire, le mathématicien grec Hippasos de Métaponte fut le premier à calculer ce rapport vers 450 av. J.-C. lors de ses recherches sur les pentagrammes, découvrant du même coup les nombres dits « irrationnels » (dotés d’un nombre infini de décimales après la virgule).
Il apparut alors que de nombreuses formes que nous ressentons comme particulièrement harmonieuses dans l’architecture ou la nature obéissent aux proportions du nombre d’or. Ce dernier a donc été rapidement baptisé divina proportio – et il compte aujourd’hui encore parmi les manifestations les plus fascinantes, que ce soit dans la nature ou dans la culture.
Harmonie des proportions inspirées de l’antique « Nombre d’Or », cette « divine proportion » (fondée sur le rapport de grandeur 1/1,6181) découverte par les mathématiciens grecs, qui a été à l’origine de certaines des plus grandes œuvres architecturales et artistiques de l’humanité.
Pour la petite histoire, le mathématicien grec Hippasos de Métaponte fut le premier à calculer ce rapport vers 450 av. J.-C. lors de ses recherches sur les pentagrammes, découvrant du même coup les nombres dits « irrationnels » (dotés d’un nombre infini de décimales après la virgule).
Il apparut alors que de nombreuses formes que nous ressentons comme particulièrement harmonieuses dans l’architecture ou la nature obéissent aux proportions du nombre d’or. Ce dernier a donc été rapidement baptisé divina proportio – et il compte aujourd’hui encore parmi les manifestations les plus fascinantes, que ce soit dans la nature ou dans la culture.
Durant les années 1970 et 1980, l’Ellipse d’Or connut un très grand succès et s’imposa comme l’un des modèles phares de Patek Philippe – et l’un des symboles du chic international. A la fin des années 1970, la manufacture en proposait près de 65 versions différentes. On en trouve encore beaucoup sur le marché de l’occasion à des prix particulièrement intéressants…
Sa forme immédiatement reconnaissable fut déclinée dans une multitude de modèles, dans diverses tailles et divers métaux, avec des bracelets en cuir ou métalliques (joncs tressés, chaînes, milanais, etc.), avec des cadrans de diverses teintes ornés d’index ou de chiffres romains, ainsi que dans des versions joaillerie et haute joaillerie pour dames.
Le célèbre design elliptique fut même intégré à d’autres formes de boîtiers telles que le rectangle ou l’octogone, sans oublier une étonnante fusion Nautilus-Ellipse (pas la plus réussie...). Il fut également repris dans de luxueux accessoires, dont des boutons de manchette, des bagues ou des briquets.
Sa forme immédiatement reconnaissable fut déclinée dans une multitude de modèles, dans diverses tailles et divers métaux, avec des bracelets en cuir ou métalliques (joncs tressés, chaînes, milanais, etc.), avec des cadrans de diverses teintes ornés d’index ou de chiffres romains, ainsi que dans des versions joaillerie et haute joaillerie pour dames.
Le célèbre design elliptique fut même intégré à d’autres formes de boîtiers telles que le rectangle ou l’octogone, sans oublier une étonnante fusion Nautilus-Ellipse (pas la plus réussie...). Il fut également repris dans de luxueux accessoires, dont des boutons de manchette, des bagues ou des briquets.
Doté à l’origine d’un mouvement à remontage manuel, le boîtier au profil remarquablement mince de l’Ellipse d’Or fut le tout premier à accueillir en 1977 le fameux calibre 240 extra-plat à remontage automatique avec mini-rotor intégré.
En 1993, Patek Philippe créa des modèles pour dames où les attaches du bracelet en cuir reproduisaient le design du boîtier en une élégante double ellipse. En 2005, la manufacture lança la référence 3738/100, un modèle hommes mariant les trois couleurs d’or à des teintes de cadrans très raffinées (Or Bleu « soleil » pour l’or jaune, anthracite « soleil » pour l’or gris et brun chocolat « soleil » pour l’or rose).
En 2008, Patek Philippe fêta les 40 ans de l’Ellipse d’Or en réintroduisant une version Jumbo (34 x 39,5 mm) proposée pour la première fois en platine, avec cadran Or Bleu « soleil » (référence 5738P-001).
En 1993, Patek Philippe créa des modèles pour dames où les attaches du bracelet en cuir reproduisaient le design du boîtier en une élégante double ellipse. En 2005, la manufacture lança la référence 3738/100, un modèle hommes mariant les trois couleurs d’or à des teintes de cadrans très raffinées (Or Bleu « soleil » pour l’or jaune, anthracite « soleil » pour l’or gris et brun chocolat « soleil » pour l’or rose).
En 2008, Patek Philippe fêta les 40 ans de l’Ellipse d’Or en réintroduisant une version Jumbo (34 x 39,5 mm) proposée pour la première fois en platine, avec cadran Or Bleu « soleil » (référence 5738P-001).