Avant de revenir plus en détail sur ce modèle, il convient de rappeler que cette Nautilus n’est pas la première qui ait été réalisée en platine… En effet, depuis quelques années Patek Philippe produit des Nautilus en platine de manière totalement confidentielle, une « ghost watch » qui n’est pas en catalogue. Des garde-temps extrêmement rares réservés aux très bons clients qui se différencient par le bleu du cadran, plus marine, plus soutenu, que celui de la version en acier.
Ceci étant, pour célébrer le 40ème anniversaire de cette icône absolue de l’horlogerie contemporaine, sortie de l’imagination fertile et géniale du designer Gérald Genta en 76, Patek a donc choisi le plus prestigieux des métaux précieux pour cette édition limitée à 700 exemplaires (« Nautilus référence 5711/1P – Edition limitée 40e anniversaire »). Elle rend bien évidemment, hommage à la Nautilus d’origine référence 3700/1A.
D’une largeur de 44 mm (y compris la couronne), cette nouvelle réinterprétation s’impose comme une montre de grande taille. Il en allait de même, il y a 40 ans, pour la référence 3700/1A, qui était plus étroite de 2 mm (42 mm), mais paraissait si imposante pour l’époque qu’elle fut surnommée « Jumbo » – un clin d’oeil au Boeing 747 Jumbo Jet, symbole du goût croissant pour les voyages, lancé en 1969 et resté pendant près de quatre décennies le plus grand avion de ligne du monde.
Même si le chiffre semble minime, 2 millimètres de plus représentent une différence significative au poignet (était-ce bien nécessaire s’interrogent les amateurs sur les réseaux sociaux ?). Mais Patek Philippe s’en explique : « le département de création a tenu compte du fait qu’au cours des dernières décennies, les critères en matière de taille se sont modifiés – et ce nouveau format convient très bien au « visage » de la Nautilus anniversaire référence 5711/1 ».
Ceci étant, pour célébrer le 40ème anniversaire de cette icône absolue de l’horlogerie contemporaine, sortie de l’imagination fertile et géniale du designer Gérald Genta en 76, Patek a donc choisi le plus prestigieux des métaux précieux pour cette édition limitée à 700 exemplaires (« Nautilus référence 5711/1P – Edition limitée 40e anniversaire »). Elle rend bien évidemment, hommage à la Nautilus d’origine référence 3700/1A.
D’une largeur de 44 mm (y compris la couronne), cette nouvelle réinterprétation s’impose comme une montre de grande taille. Il en allait de même, il y a 40 ans, pour la référence 3700/1A, qui était plus étroite de 2 mm (42 mm), mais paraissait si imposante pour l’époque qu’elle fut surnommée « Jumbo » – un clin d’oeil au Boeing 747 Jumbo Jet, symbole du goût croissant pour les voyages, lancé en 1969 et resté pendant près de quatre décennies le plus grand avion de ligne du monde.
Même si le chiffre semble minime, 2 millimètres de plus représentent une différence significative au poignet (était-ce bien nécessaire s’interrogent les amateurs sur les réseaux sociaux ?). Mais Patek Philippe s’en explique : « le département de création a tenu compte du fait qu’au cours des dernières décennies, les critères en matière de taille se sont modifiés – et ce nouveau format convient très bien au « visage » de la Nautilus anniversaire référence 5711/1 ».
Comme indiqué précédemment, le boîtier de cette édition limitée est fabriqué en platine 950 massif. Avec son éclat argenté très caractéristique, ce métal pose énormément de problèmes au niveau du façonnage. En effet, en raison de sa dureté, il use beaucoup plus fortement les forets, outils de fraisage, limes et outils de polissage que l’or ou l’acier (c’est d’ailleurs pour cette raison que les précédents modèles en platine étaient produits en si peu d’exemplaires).
Cette contrainte accroît nettement le travail au niveau du boîtier en trois pièces et du bracelet à maillons de la Nautilus, avec leur grand éventail de finitions (anglage, satinage, chutage, sablage, poli miroir). Comme toutes les montres Patek Philippe en platine, la nouvelle Nautilus référence 5711/1P est rehaussée par un diamant Top Wesselton Pur (environ 0,02 ct) serti dans la lunette à 6h au-dessus de l’attache de bracelet.
Le cadran de la référence 5711/1P se présente également comme une exclusivité pour le 40e anniversaire. Fabriqué en or 18 carats, il s’orne (à la différence de la Nautilus d’origine) d’une couleur bleu foncé, avec dégradé allant du plus foncé sur le pourtour au plus clair au centre. Cette teinte se marie avec l’éclat froid du platine et contraste avec les repères des heures – 12 index appliques de type « bâton » en or gris ornés de diamants baguette Top Wesselton Pur totalisant environ 0,34 carat. Là encore, les critiques vont bon train sur le web, avec la plupart des amateurs qui déplorent l’utilisation d’index diamants et qui trouvent que la pièce est nettement- trop « bling-bling ».
Cette contrainte accroît nettement le travail au niveau du boîtier en trois pièces et du bracelet à maillons de la Nautilus, avec leur grand éventail de finitions (anglage, satinage, chutage, sablage, poli miroir). Comme toutes les montres Patek Philippe en platine, la nouvelle Nautilus référence 5711/1P est rehaussée par un diamant Top Wesselton Pur (environ 0,02 ct) serti dans la lunette à 6h au-dessus de l’attache de bracelet.
Le cadran de la référence 5711/1P se présente également comme une exclusivité pour le 40e anniversaire. Fabriqué en or 18 carats, il s’orne (à la différence de la Nautilus d’origine) d’une couleur bleu foncé, avec dégradé allant du plus foncé sur le pourtour au plus clair au centre. Cette teinte se marie avec l’éclat froid du platine et contraste avec les repères des heures – 12 index appliques de type « bâton » en or gris ornés de diamants baguette Top Wesselton Pur totalisant environ 0,34 carat. Là encore, les critiques vont bon train sur le web, avec la plupart des amateurs qui déplorent l’utilisation d’index diamants et qui trouvent que la pièce est nettement- trop « bling-bling ».
Le fond bleu avec décor « soleil » arbore le relief horizontal frappé typique de la Nautilus rehaussé dans la moitié inférieure par l’inscription en creux «40» et « 1976-2016 » sur deux lignes. C’est probablement le détail le plus critiqué de ce modèle. Certains collectionneurs comparent même cette mention aux dates de naissance et de décès que l’on peut trouver sur une pierre tombale ! Le guichet de la date à 3h, légèrement agrandi en raison de la taille supérieure du boîtier, est souligné par un cadre en or gris poli. Les aiguilles des heures et des minutes de type « bâton » en or gris arborent un revêtement luminescent Superluminova.
Cette sportive (étanche 120 mètres) embarque le calibre 324 S C, un mouvement automatique qui accueille un rotor central en or 21 carats et qui garantit un remontage optimal. Le balancier Gyromax avec spiral Spiromax (deux inventions Patek Philippe) assure une marche très précise. Les finitions des composants effectuées en grande partie à la main (ponts avec Côtes de Genève, arêtes anglées et polies, moulures polies, rotor en or avec Côtes de Genève circulaires, platine perlée, gravures dorées) illustrent, à travers le fond en verre saphir, le raffinement de l’art horloger genevois signé Patek.
« Last but not least » : cette édition limitée est livrée dans un écrin spécial contenant, en plus du certificat d’origine, un « certificat anniversaire ». Il s’agit de la réplique fidèle du coffret de 1976, l’écrin en liège naturel qui évoquait alors les fiers paquebots transatlantiques qui inspirèrent le design en hublot du boîtier. La partie inférieure du coffret ainsi que le couvercle à charnière sont rehaussés de cadres en acier poli. A l’avant figure une plaque en acier avec le nom « Nautilus » en cursive et le logo PATEK PHILIPPE GENÈVE – un détail repris, lui aussi, du coffret original de 1976.
Cette sportive (étanche 120 mètres) embarque le calibre 324 S C, un mouvement automatique qui accueille un rotor central en or 21 carats et qui garantit un remontage optimal. Le balancier Gyromax avec spiral Spiromax (deux inventions Patek Philippe) assure une marche très précise. Les finitions des composants effectuées en grande partie à la main (ponts avec Côtes de Genève, arêtes anglées et polies, moulures polies, rotor en or avec Côtes de Genève circulaires, platine perlée, gravures dorées) illustrent, à travers le fond en verre saphir, le raffinement de l’art horloger genevois signé Patek.
« Last but not least » : cette édition limitée est livrée dans un écrin spécial contenant, en plus du certificat d’origine, un « certificat anniversaire ». Il s’agit de la réplique fidèle du coffret de 1976, l’écrin en liège naturel qui évoquait alors les fiers paquebots transatlantiques qui inspirèrent le design en hublot du boîtier. La partie inférieure du coffret ainsi que le couvercle à charnière sont rehaussés de cadres en acier poli. A l’avant figure une plaque en acier avec le nom « Nautilus » en cursive et le logo PATEK PHILIPPE GENÈVE – un détail repris, lui aussi, du coffret original de 1976.
Spécificités techniques
Boîtier platine 950, verre saphir sur les deux faces, couronne vissée
Lunette sertie d’un diamant Top Wesselton Pur (environ 0,02 ct) à 6h
Diamètre (10h-4h) : 40 mm
Largeur (9h-3h avec couronne) : 44,05 mm
Longueur (cornes à cornes) : 44 mm
Epaisseur: 8,3 mm
Etanche à 120 m (12 bars)
Cadran : Plaque de cadran en or jaune 18 carats
Décor « soleil » sous revêtement PVD bleu, relief horizontal frappé Nautilus
Inscription en creux « 40 » « 1976-2016 »
12 index appliques de type «bâton» en or gris 18 carats sertis de diamants baguette (total environ 0,34 ct)
Aiguilles des heures et des minutes de type «bâton» en or gris 18 carats avec revêtement luminescent Superluminova
Aiguille des secondes en bronze rhodié, avec contrepoids
Calibre 324 S C mécanique à remontage automatique, avec date et seconde centrale
Diamètre total : 27 mm
Hauteur : 3,3 mm
Nombre de composants : 213
Nombre de rubis : 29
Masse oscillante : rotor central en or 21 carats, remontage unidirectionnel
Balancier : gyromax
Fréquence : 28 800 alternances par heure (4 Hz)
Spiral : Spiromax
Piton : Mobile
Signe distinctif: Poinçon Patek Philippe
Réserve de marche : 35 à 45 heures
Bracelet à maillons en platine 950, avec boucle déployante en platine 950
Nautilus référence 5711/1P – Edition limitée 40e anniversaire
Lunette sertie d’un diamant Top Wesselton Pur (environ 0,02 ct) à 6h
Diamètre (10h-4h) : 40 mm
Largeur (9h-3h avec couronne) : 44,05 mm
Longueur (cornes à cornes) : 44 mm
Epaisseur: 8,3 mm
Etanche à 120 m (12 bars)
Cadran : Plaque de cadran en or jaune 18 carats
Décor « soleil » sous revêtement PVD bleu, relief horizontal frappé Nautilus
Inscription en creux « 40 » « 1976-2016 »
12 index appliques de type «bâton» en or gris 18 carats sertis de diamants baguette (total environ 0,34 ct)
Aiguilles des heures et des minutes de type «bâton» en or gris 18 carats avec revêtement luminescent Superluminova
Aiguille des secondes en bronze rhodié, avec contrepoids
Calibre 324 S C mécanique à remontage automatique, avec date et seconde centrale
Diamètre total : 27 mm
Hauteur : 3,3 mm
Nombre de composants : 213
Nombre de rubis : 29
Masse oscillante : rotor central en or 21 carats, remontage unidirectionnel
Balancier : gyromax
Fréquence : 28 800 alternances par heure (4 Hz)
Spiral : Spiromax
Piton : Mobile
Signe distinctif: Poinçon Patek Philippe
Réserve de marche : 35 à 45 heures
Bracelet à maillons en platine 950, avec boucle déployante en platine 950
Nautilus référence 5711/1P – Edition limitée 40e anniversaire