C’est une page qui se ferme encore un peu plus pour les amateurs de Nautilus, puisqu’après l’arrêt de la fameuse 5711 en acier en 2021 (remplacée par un modèle en or gris, la 5811), c’est au tour d’un autre modèle phare du catalogue de disparaitre : en effet, la 5712A, le modèle en acier n’apparait plus sur le site de Patek Philippe.
Petit retour en arrière : en 1998 fut créée la première Nautilus compliquée, il s’agissait de la référence 3710/1A avec indication de zone de remontage (IZR), suivie en 2005 par un premier modèle avec phases de Lune et réserve de marche, la fameuse référence 3712/1A* produite environ un an. Un pur collector qui fut vite remplacée par la 5712/1A en 2006.
Après (presque) vingt ans de bons et loyaux services, la 5712/1A est donc retirée du circuit dans sa version en acier. La référence en or rose présentée en 2022, restant en catalogue.
Alors que se profile Watches & Wonders 2025, peut-on espérer une nouvelle version de la 5712 en acier ? Peu de chance puisque le modèle en or reste disponible, mais bon, nous verrons bien !
Lire aussi : Patek Philippe Nautilus, 40ème anniversaire
Petit retour en arrière : en 1998 fut créée la première Nautilus compliquée, il s’agissait de la référence 3710/1A avec indication de zone de remontage (IZR), suivie en 2005 par un premier modèle avec phases de Lune et réserve de marche, la fameuse référence 3712/1A* produite environ un an. Un pur collector qui fut vite remplacée par la 5712/1A en 2006.
Après (presque) vingt ans de bons et loyaux services, la 5712/1A est donc retirée du circuit dans sa version en acier. La référence en or rose présentée en 2022, restant en catalogue.
Alors que se profile Watches & Wonders 2025, peut-on espérer une nouvelle version de la 5712 en acier ? Peu de chance puisque le modèle en or reste disponible, mais bon, nous verrons bien !
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La 5712 acier est dotée d’un boîtier de 40 mm étanche à 60 m, d’une lunette octogonale et d’un bracelet intégré aux finitions polies et satinées, effectuées entièrement à la main.
Elle était associée à un cadran bleu affichant trois complications dans la même disposition que les autres modèles de la série. Il présente une petite seconde à 4h, une indication de la réserve de marche entre 10h et 11h, un calendrier à aiguille à 7h ainsi qu’un affichage des phases de Lune dans un guichet cintré au centre de l’échelle circulaire du quantième.
Au cœur de cette Nautilus bat le célèbre Calibre 240 PS IRM C LU Patek Philippe à remontage automatique. Le système de mini-rotor en or 22 carats intégré à la platine permet de limiter l’épaisseur du mouvement à 3,98 mm, un profil étonnamment plat pour un calibre aussi sophistiqué.
Probablement l’une des plus belles montres sportive-chic sur le marché qui s’arrête donc en ce début d’année 2025. Tout comme, d’ailleurs, l’Aquanaut 5167A sur bracelet en acier (qui n’a jamais été la plus commerciale, il faut bien le dire). La référence sur bracelet en caoutchouc étant toujours au catalogue par contre.
Elle était associée à un cadran bleu affichant trois complications dans la même disposition que les autres modèles de la série. Il présente une petite seconde à 4h, une indication de la réserve de marche entre 10h et 11h, un calendrier à aiguille à 7h ainsi qu’un affichage des phases de Lune dans un guichet cintré au centre de l’échelle circulaire du quantième.
Au cœur de cette Nautilus bat le célèbre Calibre 240 PS IRM C LU Patek Philippe à remontage automatique. Le système de mini-rotor en or 22 carats intégré à la platine permet de limiter l’épaisseur du mouvement à 3,98 mm, un profil étonnamment plat pour un calibre aussi sophistiqué.
Probablement l’une des plus belles montres sportive-chic sur le marché qui s’arrête donc en ce début d’année 2025. Tout comme, d’ailleurs, l’Aquanaut 5167A sur bracelet en acier (qui n’a jamais été la plus commerciale, il faut bien le dire). La référence sur bracelet en caoutchouc étant toujours au catalogue par contre.
