« Premier échappement entièrement conçu par Patek Philippe, le Pulsomax allie les qualités reconnues de fiabilité et de robustesse de l’échappement à ancre suisse, qu'il surpasse néanmoins dans le rendement, grâce à sa géométrie inédite » affirme la manufacture genevoise dans son communiqué.
Et d’ajouter que « chacune des fonctions de l’échappement à ancre suisse ont été optimisées en mettant à profit la liberté de forme et la précision d'usinage offertes par le procédé de gravure DRIE. Avec sa dernière innovation issue de la technologie à base de silicium, Patek Philippe améliore notablement les performances du mouvement mécanique et fait entrer l'horlogerie dans une nouvelle dimension ».
Rappelons qu’il y a six ans, Patek Philippe a commencé à étudier les possibilités d’application du matériau silicium dans la technique horlogère (notamment en travaillant avec Rolex, Breguet et le Centre suisse d'électronique et de microtechnique (CSEM) de Neuchâtel). Tenant compte des nombreux avantages de ce matériau, la manufacture genevoise a développé des nouvelles géométries exclusives visant à optimiser le fonctionnement des composants de l’échappement et apportant ainsi une amélioration significative des performances à long terme du mouvement mécanique.
Et d’ajouter que « chacune des fonctions de l’échappement à ancre suisse ont été optimisées en mettant à profit la liberté de forme et la précision d'usinage offertes par le procédé de gravure DRIE. Avec sa dernière innovation issue de la technologie à base de silicium, Patek Philippe améliore notablement les performances du mouvement mécanique et fait entrer l'horlogerie dans une nouvelle dimension ».
Rappelons qu’il y a six ans, Patek Philippe a commencé à étudier les possibilités d’application du matériau silicium dans la technique horlogère (notamment en travaillant avec Rolex, Breguet et le Centre suisse d'électronique et de microtechnique (CSEM) de Neuchâtel). Tenant compte des nombreux avantages de ce matériau, la manufacture genevoise a développé des nouvelles géométries exclusives visant à optimiser le fonctionnement des composants de l’échappement et apportant ainsi une amélioration significative des performances à long terme du mouvement mécanique.
A ce jour, les développements résultant de ces recherches basées sur le Silinvar, sont la roue d’ancre et le spiral Spiromax avec courbe terminale Patek Philippe. Ces nouveaux composants en Silinvar ont été introduits sur le marché par deux premières séries limitées de montres à Calendrier Annuel, Réf. 5250 en 2005 et Réf. 5350 en 2006 (dont un modèle vient d’être vendu par Antiquorum à Hong-Kong le 7 juin dernier pour la somme de 54.500 euros environ).
Proposés dans le cadre du concept nouvelle technologie « Patek Philippe Advanced Research », ces deux premiers garde-temps ont permis à des amateurs de nouvelle technologie passionnés par la marque de participer en avant-première à des développements horlogers précurseurs.
Par ailleurs, des tests en laboratoire et en conditions réelles, complétés par les témoignages des clients propriétaires de montres « Patek Philippe Advanced Research », ont démontré des résultats positifs mesurables, qui ne pouvaient qu'encourager Patek Philippe à poursuivre ses recherches dans la technologie Silicium.
De fait, comme le souligne encore la marque, « chaque nouveau développement a apporté une amélioration significative et mesurable des performances du mouvement mécanique » :
- 2005
Roue d’ancre pour échappement à ancre suisse en Silinvar : amélioration de la fiabilité en raison du fonctionnement sans lubrification
- 2006
Spiral Spiromax en Silinvar avec courbe terminale Patek Philippe : optimisation de la marche par une nette amélioration de l’isochronisme (expansion et contraction concentrique du spiral)
Proposés dans le cadre du concept nouvelle technologie « Patek Philippe Advanced Research », ces deux premiers garde-temps ont permis à des amateurs de nouvelle technologie passionnés par la marque de participer en avant-première à des développements horlogers précurseurs.
Par ailleurs, des tests en laboratoire et en conditions réelles, complétés par les témoignages des clients propriétaires de montres « Patek Philippe Advanced Research », ont démontré des résultats positifs mesurables, qui ne pouvaient qu'encourager Patek Philippe à poursuivre ses recherches dans la technologie Silicium.
De fait, comme le souligne encore la marque, « chaque nouveau développement a apporté une amélioration significative et mesurable des performances du mouvement mécanique » :
- 2005
Roue d’ancre pour échappement à ancre suisse en Silinvar : amélioration de la fiabilité en raison du fonctionnement sans lubrification
- 2006
Spiral Spiromax en Silinvar avec courbe terminale Patek Philippe : optimisation de la marche par une nette amélioration de l’isochronisme (expansion et contraction concentrique du spiral)
Le Silinvar, avancée révolutionnaire de la technologie silicium
Le matériau Silinvar breveté est obtenu par une oxydation sous vide en effectuant une modification moléculaire de la surface des composants en silicium pur. Il permet de conférer aux composants horlogers, à base de silicium, les propriétés essentielles à la bonne marche d’une montre mécanique. Contrairement aux composants en silicium pur, les composants en Silinvar permettent de compenser les variations thermiques, une qualité essentielle à la stabilité de marche de l’oscillateur.
De plus, le Silinvar n'a pas les inconvénients d’un revêtement de surface qui, au fil du temps, peut s’altérer lors du fonctionnement du composant. Tous les composants silicium actuellement utilisés dans les montres « Patek Philippe Advanced Research » sont fabriqués à partir de ce matériau novateur.
Le Pulsomax. – échappement inédit en Silinvar
Patek Philippe présente un nouvel échappement –ancre et roue d’ancre– en Silinvar : le
Pulsomax qui reste toutefois un échappement de type échappement à ancre suisse. Rappelons que cet échappement est utilisé pour la presque totalité des montres mécaniques et qu’il est reconnu depuis près de 180 ans pour sa fiabilité, sa robustesse et son rendement.
Grâce à la précision d'usinage, la nouvelle ancre en Silinvar ne comporte plus de palettes en rubis. Patek Philippe a redimensionné la taille des palettes afin d'augmenter le rendement de cet échappement. Ainsi l’ancre transmet une puissance motrice accrue au balancier. Chaque palette de l’ancre a sa propre géométrie, contrairement à l’échappement habituellement utilisé. De cette manière, le rendement peut être optimisé sur chaque fonction de l’échappement. Cette ancre travaille avec une nouvelle roue d’ancre qui comporte 16 dents au lieu des 20 dents conventionnelles.
La roue d’ancre lancée en 2005 était basée sur la construction et la géométrie d’une roue d’ancre conventionnelle pour échappement à ancre suisse, avec ancre à palettes en rubis. Pour son nouvel échappement Pulsomax, Patek Philippe a entièrement redessiné la géométrie de l'ancre et de la roue d'ancre afin d'en optimiser le fonctionnement.
Une géométrie fonctionnelle de l’ancre grâce à un nouveau procédé DRIE
Les nouveaux progrès réalisés dans le processus de gravure Plasma DRIE permettent désormais d'usiner des composants en silicium sur un deuxième niveau horizontal par un second passage machine. Ceci a permis de créer une forme complètement nouvelle des extrémités de la fourchette de l’ancre, ce qui évite de l’équiper d’un dard. Les extrémités des cornes de la fourchette sont reliées entre elles et c’est cette partie qui remplace et assure la fonction du dard.
Les innovations vont encore plus loin en ce qui concerne la forme des palettes en Silinvar. Grâce à la précision élevée de la fabrication DRIE, qui permet d’appliquer des tolérances réduites de moitié par rapport à la fabrication conventionnelle, il est possible de réaliser des composants de formes inédites et complexes dans des dimensions extrêmement précises, permettant ainsi d’obtenir des fonctions complètement nouvelles.
La nouvelle forme de l’ancre supprime l'utilisation des étoqueaux destinés à limiter le déplacement angulaire de l’ancre. Les palettes de l’ancre Pulsomax sont pourvues d’une surface fonctionnelle supplémentaire située sur le plan de repos. Un second plan, plan de rappel forme avec le plan de repos habituel une encoche nommée coin de repos, dans laquelle la dent de la roue vient se loger. De cette manière, l’ancre est verrouillée et sa position parfaitement déterminée. De plus, cela garantit la position du bec de repos de la roue sur le plan de repos.
Ce positionnement nommé pénétration est très important, car une pénétration trop faible ou trop grande perturbe directement le fonctionnement de l’échappement, donc son rendement. Finalement, nous avons observé que cette nouvelle géométrie, par sa forme et la précision de fabrication des composants Pulsomax, permet de diviser par deux la dispersion de l’angle de levée du balancier. Ce facteur affecte directement l’amplitude mesurée. Ce nouveau dispositif de blocage influence donc positivement la précision du réglage et donc la précision de la montre.
« Avec l’échappement Pulsomax, Patek Philippe fait non seulement la preuve de sa maîtrise horlogère mais propose un nouvel échappement exclusif qui peut être considéré comme l’échappement à ancre suisse offrant le plus haut rendement » affirme la marque dans son communiqué. Ce nouvel échappement combiné avec le spiral Spiromax, apporte des améliorations significatives et mesurables des performances du mouvement mécanique à long terme.
2008 : Echappement Pulsomax comprenant la roue d'ancre à 16 dents et l’ancre en Silinvar, ainsi que le spiral Spiromax :
. Amélioration de la fiabilité en raison du fonctionnement sans lubrification
. Optimisation de la marche par une amélioration de l’isochronisme.
. Amélioration du rendement de l’échappement à ancre suisse
. Amélioration de l’autonomie de marche du mouvement de 30% par l’augmentation du rendement de l'échappement (par exemple une montre bénéficiant d’une autonomie de 48 heures passe à 62 heures de réserve de marche).
Résultat : meilleure stabilité de l’amplitude, meilleure marche de la montre à long terme
L’ensemble comprenant le spiral Spiromax et l’échappement Pulsomax en Silinvar (roue d'ancre et ancre), équipe depuis un certain temps déjà des prototypes testés au porter par des collaborateurs de la manufacture, dont le président de la société. Mr. Philippe Stern. Celui-ci se dit enchanté des performances de sa montre test, et relève que la précision de marche est nettement supérieure à celles des montres mécaniques qu’il porte habituellement.
Il est certain que cette montre présidentielle occupera un jour une place d’honneur au Patek Philippe Museum, où elle témoignera d'une contribution révolutionnaire de la manufacture genevoise à l'amélioration de la précision de la mesure mécanique du temps. Au terme de plusieurs années de tests en laboratoire et au porter, le Pulsomax sera introduit graduellement dans la production en série des mouvements Patek Philippe.
Le matériau Silinvar breveté est obtenu par une oxydation sous vide en effectuant une modification moléculaire de la surface des composants en silicium pur. Il permet de conférer aux composants horlogers, à base de silicium, les propriétés essentielles à la bonne marche d’une montre mécanique. Contrairement aux composants en silicium pur, les composants en Silinvar permettent de compenser les variations thermiques, une qualité essentielle à la stabilité de marche de l’oscillateur.
De plus, le Silinvar n'a pas les inconvénients d’un revêtement de surface qui, au fil du temps, peut s’altérer lors du fonctionnement du composant. Tous les composants silicium actuellement utilisés dans les montres « Patek Philippe Advanced Research » sont fabriqués à partir de ce matériau novateur.
Le Pulsomax. – échappement inédit en Silinvar
Patek Philippe présente un nouvel échappement –ancre et roue d’ancre– en Silinvar : le
Pulsomax qui reste toutefois un échappement de type échappement à ancre suisse. Rappelons que cet échappement est utilisé pour la presque totalité des montres mécaniques et qu’il est reconnu depuis près de 180 ans pour sa fiabilité, sa robustesse et son rendement.
Grâce à la précision d'usinage, la nouvelle ancre en Silinvar ne comporte plus de palettes en rubis. Patek Philippe a redimensionné la taille des palettes afin d'augmenter le rendement de cet échappement. Ainsi l’ancre transmet une puissance motrice accrue au balancier. Chaque palette de l’ancre a sa propre géométrie, contrairement à l’échappement habituellement utilisé. De cette manière, le rendement peut être optimisé sur chaque fonction de l’échappement. Cette ancre travaille avec une nouvelle roue d’ancre qui comporte 16 dents au lieu des 20 dents conventionnelles.
La roue d’ancre lancée en 2005 était basée sur la construction et la géométrie d’une roue d’ancre conventionnelle pour échappement à ancre suisse, avec ancre à palettes en rubis. Pour son nouvel échappement Pulsomax, Patek Philippe a entièrement redessiné la géométrie de l'ancre et de la roue d'ancre afin d'en optimiser le fonctionnement.
Une géométrie fonctionnelle de l’ancre grâce à un nouveau procédé DRIE
Les nouveaux progrès réalisés dans le processus de gravure Plasma DRIE permettent désormais d'usiner des composants en silicium sur un deuxième niveau horizontal par un second passage machine. Ceci a permis de créer une forme complètement nouvelle des extrémités de la fourchette de l’ancre, ce qui évite de l’équiper d’un dard. Les extrémités des cornes de la fourchette sont reliées entre elles et c’est cette partie qui remplace et assure la fonction du dard.
Les innovations vont encore plus loin en ce qui concerne la forme des palettes en Silinvar. Grâce à la précision élevée de la fabrication DRIE, qui permet d’appliquer des tolérances réduites de moitié par rapport à la fabrication conventionnelle, il est possible de réaliser des composants de formes inédites et complexes dans des dimensions extrêmement précises, permettant ainsi d’obtenir des fonctions complètement nouvelles.
La nouvelle forme de l’ancre supprime l'utilisation des étoqueaux destinés à limiter le déplacement angulaire de l’ancre. Les palettes de l’ancre Pulsomax sont pourvues d’une surface fonctionnelle supplémentaire située sur le plan de repos. Un second plan, plan de rappel forme avec le plan de repos habituel une encoche nommée coin de repos, dans laquelle la dent de la roue vient se loger. De cette manière, l’ancre est verrouillée et sa position parfaitement déterminée. De plus, cela garantit la position du bec de repos de la roue sur le plan de repos.
Ce positionnement nommé pénétration est très important, car une pénétration trop faible ou trop grande perturbe directement le fonctionnement de l’échappement, donc son rendement. Finalement, nous avons observé que cette nouvelle géométrie, par sa forme et la précision de fabrication des composants Pulsomax, permet de diviser par deux la dispersion de l’angle de levée du balancier. Ce facteur affecte directement l’amplitude mesurée. Ce nouveau dispositif de blocage influence donc positivement la précision du réglage et donc la précision de la montre.
« Avec l’échappement Pulsomax, Patek Philippe fait non seulement la preuve de sa maîtrise horlogère mais propose un nouvel échappement exclusif qui peut être considéré comme l’échappement à ancre suisse offrant le plus haut rendement » affirme la marque dans son communiqué. Ce nouvel échappement combiné avec le spiral Spiromax, apporte des améliorations significatives et mesurables des performances du mouvement mécanique à long terme.
2008 : Echappement Pulsomax comprenant la roue d'ancre à 16 dents et l’ancre en Silinvar, ainsi que le spiral Spiromax :
. Amélioration de la fiabilité en raison du fonctionnement sans lubrification
. Optimisation de la marche par une amélioration de l’isochronisme.
. Amélioration du rendement de l’échappement à ancre suisse
. Amélioration de l’autonomie de marche du mouvement de 30% par l’augmentation du rendement de l'échappement (par exemple une montre bénéficiant d’une autonomie de 48 heures passe à 62 heures de réserve de marche).
Résultat : meilleure stabilité de l’amplitude, meilleure marche de la montre à long terme
L’ensemble comprenant le spiral Spiromax et l’échappement Pulsomax en Silinvar (roue d'ancre et ancre), équipe depuis un certain temps déjà des prototypes testés au porter par des collaborateurs de la manufacture, dont le président de la société. Mr. Philippe Stern. Celui-ci se dit enchanté des performances de sa montre test, et relève que la précision de marche est nettement supérieure à celles des montres mécaniques qu’il porte habituellement.
Il est certain que cette montre présidentielle occupera un jour une place d’honneur au Patek Philippe Museum, où elle témoignera d'une contribution révolutionnaire de la manufacture genevoise à l'amélioration de la précision de la mesure mécanique du temps. Au terme de plusieurs années de tests en laboratoire et au porter, le Pulsomax sera introduit graduellement dans la production en série des mouvements Patek Philippe.
Spécificités techniques du Calendrier annuel Patek Philippe, Réf. 5450 en platine
Mouvement : Calibre 324 S QA IRM LU
Mouvement mécanique à remontage automatique, quantième annuel, phases de lune et indication de réserve de marche
Diamètre : 32,60 mm
Hauteur : 5,78 mm
Nombre de composants : 356
Nombre de rubis : 34
Réserve de marche : Min. 50 heures. Max. 60 heures
Masse oscillante : Rotor central unidirectionnel en or 21 carats
Balancier : Gyromax
Fréquence : 28’800 alternances par heure (4 Hz)
Spiral : Spiromax ®
Echappement : Pulsomax® (ancre et roue d’ancre en Silinvar ®)
Dispositif de mise à l’heure : Couronne à deux positions :
- tirée : réglage des aiguilles
- enfoncée : remontage du mouvement
Affichage : Heures, minutes, indication de réserve de marche à 12h et seconde au centre
Cadran auxiliaire : Jour à 9h et mois à 3h
Guichets : date à 12h, phases de lune à 6h
Boutons correcteurs :
à 10h : correction du jour
à 2h : correction du mois
à 4h : correction de la date et du mois
à 8h : correction de la lune
Livrée avec un crayon correcteur en ébène et or gris 18 carats
Signe distinctif : Poinçon de Genève
Habillage
Boîte : Boîtier en platine 950, couronne étanche vissée
Etanche à 30 mètres
Signe distinctif : Fond en verre saphir vissé, équipé d’une loupe et de l’indication « Patek Philippe Advanced Research » inscrite sur le verre
Dimensions du boîtier : Diamètre : 39 mm
Epaisseur : 11,70 mm
Entre cornes : 20 mm
Cadran : Rose
Trois chiffres arabes appliques en or gris 18 carats, style Breguet droit, à 3h, 9h et 12h
Huit Index « bâton » appliques en or gris 18 carats
Aiguilles des heures et des minutes de type « feuille » en or gris nickelé noir avec revêtement luminescent
Aiguilles des jours, mois et réserve de marche de type « feuille » en or nickelé noir
Aiguille des secondes « équilibrée » en or nickelé noir
Minuterie chemin de fer décalqué sur le pourtour du cadran 12 « perlages » avec revêtement luminescents indiquant les heures
Bracelet : Alligator écailles carrées, couleur noisette brillant, cousu main, avec boucle déployante en platine
Mouvement mécanique à remontage automatique, quantième annuel, phases de lune et indication de réserve de marche
Diamètre : 32,60 mm
Hauteur : 5,78 mm
Nombre de composants : 356
Nombre de rubis : 34
Réserve de marche : Min. 50 heures. Max. 60 heures
Masse oscillante : Rotor central unidirectionnel en or 21 carats
Balancier : Gyromax
Fréquence : 28’800 alternances par heure (4 Hz)
Spiral : Spiromax ®
Echappement : Pulsomax® (ancre et roue d’ancre en Silinvar ®)
Dispositif de mise à l’heure : Couronne à deux positions :
- tirée : réglage des aiguilles
- enfoncée : remontage du mouvement
Affichage : Heures, minutes, indication de réserve de marche à 12h et seconde au centre
Cadran auxiliaire : Jour à 9h et mois à 3h
Guichets : date à 12h, phases de lune à 6h
Boutons correcteurs :
à 10h : correction du jour
à 2h : correction du mois
à 4h : correction de la date et du mois
à 8h : correction de la lune
Livrée avec un crayon correcteur en ébène et or gris 18 carats
Signe distinctif : Poinçon de Genève
Habillage
Boîte : Boîtier en platine 950, couronne étanche vissée
Etanche à 30 mètres
Signe distinctif : Fond en verre saphir vissé, équipé d’une loupe et de l’indication « Patek Philippe Advanced Research » inscrite sur le verre
Dimensions du boîtier : Diamètre : 39 mm
Epaisseur : 11,70 mm
Entre cornes : 20 mm
Cadran : Rose
Trois chiffres arabes appliques en or gris 18 carats, style Breguet droit, à 3h, 9h et 12h
Huit Index « bâton » appliques en or gris 18 carats
Aiguilles des heures et des minutes de type « feuille » en or gris nickelé noir avec revêtement luminescent
Aiguilles des jours, mois et réserve de marche de type « feuille » en or nickelé noir
Aiguille des secondes « équilibrée » en or nickelé noir
Minuterie chemin de fer décalqué sur le pourtour du cadran 12 « perlages » avec revêtement luminescents indiquant les heures
Bracelet : Alligator écailles carrées, couleur noisette brillant, cousu main, avec boucle déployante en platine