Nous avons déjà abordé au cours des précédents articles le cuir d'autruche et le cuir de patte d'autruche.
Mais d’une manière générale, il faut savoir que l’Atelier du Bracelet Parisien (ABP), aime tous les animaux à plumes ! Et cherche toujours à proposer ses clients de nouveaux cuirs exotiques et originaux.
Ce mois-ci, Yann Perrin, jeune patron d’ ABP vous présente donc le cuir de patte de dinde, de poulet et d'émeu.
Pour l'anecdote, rappelons qu’il y a des milliers d’années, la dinde fut l'un des tous premiers animaux à être élevés par l'homme en Mésoamérique (Amérique centrale). Le mâle porte le nom de dindon et le petit celui de dindonneau. Pour le bracelet-montre, seul le cuir de la patte est utilisé. Les écailles rappellent étrangement celles de l'alligator.
Côté poulet, la volaille préférée des Français, elle n’a pas seulement d'intérêt dans notre assiette. Le poulet est aussi intéressant autour du poignet. Là également, on utilise le cuir de la patte (pas la peau croustillante d’un poulet grillé !).
Quant à l’émeu d'Australie, légèrement plus petit que l’autruche, sa cousine africaine, il peut néanmoins atteindre la taille respectable de deux mètres. Sa peau, plus souple que celle de l'autruche n'en est pas moins dénuée d'intérêt. Tout comme l’autruche, elle affiche des surélévations produites par les follicules associés aux plumes.
« Ne nous y trompons pas » souligne cependant Yann Perrin, « il est clair que ces cuirs restent anecdotiques et qu’ils attirent plus le sourire que le coup de cœur. Toutefois, celui qui osera porter un bracelet en patte de dinde au réveillon de Noël ou en patte de poulet lors d'un cocktail ou d’une pause-déjeuner chez KFC saura à coup sur marquer l'esprit des autres convives et fera sienne la phrase historique que prononça Philippe VI de Valois, « qui m'aime me suive » ! »
Mais d’une manière générale, il faut savoir que l’Atelier du Bracelet Parisien (ABP), aime tous les animaux à plumes ! Et cherche toujours à proposer ses clients de nouveaux cuirs exotiques et originaux.
Ce mois-ci, Yann Perrin, jeune patron d’ ABP vous présente donc le cuir de patte de dinde, de poulet et d'émeu.
Pour l'anecdote, rappelons qu’il y a des milliers d’années, la dinde fut l'un des tous premiers animaux à être élevés par l'homme en Mésoamérique (Amérique centrale). Le mâle porte le nom de dindon et le petit celui de dindonneau. Pour le bracelet-montre, seul le cuir de la patte est utilisé. Les écailles rappellent étrangement celles de l'alligator.
Côté poulet, la volaille préférée des Français, elle n’a pas seulement d'intérêt dans notre assiette. Le poulet est aussi intéressant autour du poignet. Là également, on utilise le cuir de la patte (pas la peau croustillante d’un poulet grillé !).
Quant à l’émeu d'Australie, légèrement plus petit que l’autruche, sa cousine africaine, il peut néanmoins atteindre la taille respectable de deux mètres. Sa peau, plus souple que celle de l'autruche n'en est pas moins dénuée d'intérêt. Tout comme l’autruche, elle affiche des surélévations produites par les follicules associés aux plumes.
« Ne nous y trompons pas » souligne cependant Yann Perrin, « il est clair que ces cuirs restent anecdotiques et qu’ils attirent plus le sourire que le coup de cœur. Toutefois, celui qui osera porter un bracelet en patte de dinde au réveillon de Noël ou en patte de poulet lors d'un cocktail ou d’une pause-déjeuner chez KFC saura à coup sur marquer l'esprit des autres convives et fera sienne la phrase historique que prononça Philippe VI de Valois, « qui m'aime me suive » ! »
Atelier du bracelet parisien
28, place du marché Saint-Honoré
75001 PARIS
Tél. : 33 1 42 86 13 70
Fax. : 33 1 40 20 43 46
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