Les cinq lauréats
Indonésie : Denica Riadini-Flesch
L’entrepreneuse sociale va développer sa chaîne d’approvisionnement de mode « de la ferme à l’armoire », en renforçant l’autonomie des femmes et en préservant les cultures indonésiennes locales.
Après une carrière universitaire réussie en tant qu’économiste, Denica Riadini-Flesch a fondé SukkhaCitta pour transmettre à des artisanes indonésiennes vivant dans les milieux ruraux des compétences commerciales et en gestion de l’environnement et leur donner accès à des clients dans 32 pays.
Pérou : Constantino Aucca Chutas
Le biologiste renforcera son programme de restauration et de protection des écosystèmes forestiers dans les hautes Andes avec le soutien des communautés locales.
Il a créé en 2000 l’organisation Asociación Ecosistemas Andinos (ECOAN) et a cofondé Acción Andina en 2018.
Il a planté 4,5 millions d’arbres, a obtenu la participation de plus de 60 communautés locales et a créé 16 zones protégées dans les Andes, notamment au Pérou.
Kenya : Beth Koigi
La jeune entrepreneuse sociale kényane va fournir des générateurs transformant l’humidité de l’air en eau à 3.000 personnes, réparties dans dix communautés, qui ont besoin d’un accès à l’eau potable.
Depuis qu’elle a cofondé sa start-up en 2017, ses générateurs d’eau atmosphérique, qui fonctionnent à l’énergie solaire, produisent plus de 200.000 litres d’eau potable par mois, dont bénéficient plus de 1.900 personnes.
Le potentiel de cette technologie innovante est énorme. Au Kenya, le pays d’origine de Beth Koigi, la moitié de la population n’a pas accès à de l’eau potable propre, tandis que selon les Nations unies, la moitié de la population mondiale pourrait vivre dans des zones de fort stress hydrique d’ici à 2030.
Côte d’Ivoire : Inza Koné
Le primatologue va protéger une forêt riche en biodiversité en Côte d’Ivoire, tout en contribuant à la sauvegarde de sa faune menacée et à la réduction de la pauvreté dans la région.
Après des années de travail avec les habitants de la Forêt des Marais Tanoé-Ehy, cette dernière est devenue une réserve naturelle gérée par la communauté en 2021.
Le Prix Rolex permettra à Inza Koné de continuer à préserver sa biodiversité exceptionnelle, de soutenir la gestion communautaire et d’assurer des revenus durables aux habitants de la région.
Mongolie : Liu Shaochuang
Le spécialiste de la télédétection étudiera les habitats des chameaux sauvages de Tartarie en vue de créer deux nouvelles réserves pour sauver les derniers troupeaux sauvages.
S’appuyant sur son expertise scientifique qui a joué un rôle clé dans le développement des rovers lunaire et martien de la Chine, Liu Shaochuang suivra par satellite les chameaux sauvages de Tartarie dans les régions du désert de Gobi en Chine et en Mongolie afin de protéger l’espèce à l’avenir.
Indonésie : Denica Riadini-Flesch
L’entrepreneuse sociale va développer sa chaîne d’approvisionnement de mode « de la ferme à l’armoire », en renforçant l’autonomie des femmes et en préservant les cultures indonésiennes locales.
Après une carrière universitaire réussie en tant qu’économiste, Denica Riadini-Flesch a fondé SukkhaCitta pour transmettre à des artisanes indonésiennes vivant dans les milieux ruraux des compétences commerciales et en gestion de l’environnement et leur donner accès à des clients dans 32 pays.
Pérou : Constantino Aucca Chutas
Le biologiste renforcera son programme de restauration et de protection des écosystèmes forestiers dans les hautes Andes avec le soutien des communautés locales.
Il a créé en 2000 l’organisation Asociación Ecosistemas Andinos (ECOAN) et a cofondé Acción Andina en 2018.
Il a planté 4,5 millions d’arbres, a obtenu la participation de plus de 60 communautés locales et a créé 16 zones protégées dans les Andes, notamment au Pérou.
Kenya : Beth Koigi
La jeune entrepreneuse sociale kényane va fournir des générateurs transformant l’humidité de l’air en eau à 3.000 personnes, réparties dans dix communautés, qui ont besoin d’un accès à l’eau potable.
Depuis qu’elle a cofondé sa start-up en 2017, ses générateurs d’eau atmosphérique, qui fonctionnent à l’énergie solaire, produisent plus de 200.000 litres d’eau potable par mois, dont bénéficient plus de 1.900 personnes.
Le potentiel de cette technologie innovante est énorme. Au Kenya, le pays d’origine de Beth Koigi, la moitié de la population n’a pas accès à de l’eau potable propre, tandis que selon les Nations unies, la moitié de la population mondiale pourrait vivre dans des zones de fort stress hydrique d’ici à 2030.
Côte d’Ivoire : Inza Koné
Le primatologue va protéger une forêt riche en biodiversité en Côte d’Ivoire, tout en contribuant à la sauvegarde de sa faune menacée et à la réduction de la pauvreté dans la région.
Après des années de travail avec les habitants de la Forêt des Marais Tanoé-Ehy, cette dernière est devenue une réserve naturelle gérée par la communauté en 2021.
Le Prix Rolex permettra à Inza Koné de continuer à préserver sa biodiversité exceptionnelle, de soutenir la gestion communautaire et d’assurer des revenus durables aux habitants de la région.
Mongolie : Liu Shaochuang
Le spécialiste de la télédétection étudiera les habitats des chameaux sauvages de Tartarie en vue de créer deux nouvelles réserves pour sauver les derniers troupeaux sauvages.
S’appuyant sur son expertise scientifique qui a joué un rôle clé dans le développement des rovers lunaire et martien de la Chine, Liu Shaochuang suivra par satellite les chameaux sauvages de Tartarie dans les régions du désert de Gobi en Chine et en Mongolie afin de protéger l’espèce à l’avenir.
Rappelons que les Prix Rolex à l’esprit d’entreprise ont été créés en 1976 à l’occasion du 50e anniversaire de l’Oyster.
Avec ce programme, la maison genevoise soutient des personnes dont les projets novateurs contribuent à approfondir nos connaissances du monde, à protéger l’environnement, à préserver les habitats et les espèces et à améliorer les conditions de vie sur Terre.
Pensés pour être une célébration d’un jour, les Prix ont eu un tel écho dans le monde que Rolex en a fait un programme biennal qui, depuis quarante-huit ans, a soutenu 160 Lauréats, dont les projets ont eu un impact significatif dans 65 pays.
Les Prix récompensent les projets axés sur l’environnement, la science et la santé, les techniques appliquées, le patrimoine culturel et l’exploration. Les projets sont jugés d’après leur originalité et leur impact potentiel à l’échelle mondiale, mais aussi d’après l’esprit d’entreprise des candidats.
Les Prix Rolex ont pour priorité l’environnement et l’être humain. À ce jour, plus de trente écosystèmes et 50 espèces menacées ont été protégés par les projets des Lauréats.
Lauréate en 2019, Emma Camp, par exemple, restaure et protège les récifs coralliens endommagés en étudiant le comportement et la génétique de coraux extrêmement résistants. Elle a découvert que ces derniers pouvaient pousser dans des conditions considérées auparavant comme fatales pour eux.
Cinq Lauréats sont sélectionnés tous les deux ans. Ils reçoivent chacun un soutien financier pour faire évoluer leur projet et rejoignent la communauté des anciens Lauréats, dont la plupart continue de collaborer de nos jours.
Le jury des Prix Rolex à l’esprit d’entreprise était composé de dix personnes d’exception, toutes à la pointe de leur domaine respectif.
Avec ce programme, la maison genevoise soutient des personnes dont les projets novateurs contribuent à approfondir nos connaissances du monde, à protéger l’environnement, à préserver les habitats et les espèces et à améliorer les conditions de vie sur Terre.
Pensés pour être une célébration d’un jour, les Prix ont eu un tel écho dans le monde que Rolex en a fait un programme biennal qui, depuis quarante-huit ans, a soutenu 160 Lauréats, dont les projets ont eu un impact significatif dans 65 pays.
Les Prix récompensent les projets axés sur l’environnement, la science et la santé, les techniques appliquées, le patrimoine culturel et l’exploration. Les projets sont jugés d’après leur originalité et leur impact potentiel à l’échelle mondiale, mais aussi d’après l’esprit d’entreprise des candidats.
Les Prix Rolex ont pour priorité l’environnement et l’être humain. À ce jour, plus de trente écosystèmes et 50 espèces menacées ont été protégés par les projets des Lauréats.
Lauréate en 2019, Emma Camp, par exemple, restaure et protège les récifs coralliens endommagés en étudiant le comportement et la génétique de coraux extrêmement résistants. Elle a découvert que ces derniers pouvaient pousser dans des conditions considérées auparavant comme fatales pour eux.
Cinq Lauréats sont sélectionnés tous les deux ans. Ils reçoivent chacun un soutien financier pour faire évoluer leur projet et rejoignent la communauté des anciens Lauréats, dont la plupart continue de collaborer de nos jours.
Le jury des Prix Rolex à l’esprit d’entreprise était composé de dix personnes d’exception, toutes à la pointe de leur domaine respectif.