La Turbine a marqué une époque et s’est imposée comme le best-seller de chez Perrelet. Peut-être un peu trop d’ailleurs, puisque pour les amateurs de garde-temps, Perrelet, c’était la Turbine et rien d’autre…
Dans ce contexte un peu particulier et dans un marché plus que difficile, la marque horlogère suisse connait un certain passage à vide depuis quelques années.
Lire aussi : le camo en horlo, quand le camouflage sait se faire voir
Dans ce contexte un peu particulier et dans un marché plus que difficile, la marque horlogère suisse connait un certain passage à vide depuis quelques années.
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A l’origine, ce concept de Turbine a été imaginé pour rendre hommage à la puissance de propulsion des avions, produite par l’élément clé de celui-ci, la turbine à gaz (le brevet de Perrelet date de 1995).
Focalisé sur cet élément externe, ingénieux dispositif rotatif destiné à utiliser la force de l’air, Perrelet établissait alors une évidente connexion avec son double rotor.
Focalisé sur cet élément externe, ingénieux dispositif rotatif destiné à utiliser la force de l’air, Perrelet établissait alors une évidente connexion avec son double rotor.
Après avoir hypnotisé des générations d’amateurs de montres, la Turbine revient cette année en version camouflage, une grosse tendance dans l’horlogerie contemporaine depuis plusieurs années.
Cette édition limitée à cent exemplaires est dotée d’un boitier en acier PVD noir de 44 mm, étanche à 50 mètres. Cette montre embarque un calibre mécanique automatique d’une réserve de marche de 42h. La masse oscillante et le mécanisme sont visibles à travers le fond de carrure transparent.
Cette édition limitée à cent exemplaires est dotée d’un boitier en acier PVD noir de 44 mm, étanche à 50 mètres. Cette montre embarque un calibre mécanique automatique d’une réserve de marche de 42h. La masse oscillante et le mécanisme sont visibles à travers le fond de carrure transparent.
Sur le devant du cadran, ces fameuses pales en aluminium anodisé noir avec 5 contrepoids en tungstène (non fonctionnelles), au nombre de dix, qui s’animent au moindre mouvement du poignet laissant apparaitre, dans cette version, un cadran camouflage kaki, beige et marron.
L’ensemble se porte sur un bracelet en caouthcouc « camo » et se ferme par une boucle ardillon.
L’ensemble se porte sur un bracelet en caouthcouc « camo » et se ferme par une boucle ardillon.