La Turbine a marqué une époque et s’est imposée comme le best-seller de chez Perrelet. Peut-être un peu trop d’ailleurs, puisque pour les amateurs de garde-temps, Perrelet, c’était la Turbine et rien d’autre… Dans ce contexte un peu particulier et dans un marché difficile, la marque horlogère suisse a connu un passage à vide ces deux dernières années.
A l’origine, ce concept de Turbine a été imaginé pour rendre hommage à la puissance de propulsion des avions, produite par l’élément clé de celui-ci, la turbine à gaz (le brevet de Perrelet date de 1995). Focalisé sur cet élément externe, ingénieux dispositif rotatif destiné à utiliser la force de l’air, Perrelet établissait alors une évidente connexion avec son double rotor.
Après avoir hypnotisé des générations d’amateurs de montres, la Turbine revient cette année avec une nouvelle Turbine baptisée Evo qui célèbre les dix ans de ce modèle emblématique de chez Perrelet.
A l’origine, ce concept de Turbine a été imaginé pour rendre hommage à la puissance de propulsion des avions, produite par l’élément clé de celui-ci, la turbine à gaz (le brevet de Perrelet date de 1995). Focalisé sur cet élément externe, ingénieux dispositif rotatif destiné à utiliser la force de l’air, Perrelet établissait alors une évidente connexion avec son double rotor.
Après avoir hypnotisé des générations d’amateurs de montres, la Turbine revient cette année avec une nouvelle Turbine baptisée Evo qui célèbre les dix ans de ce modèle emblématique de chez Perrelet.
Elle est toujours dotée d’un boitier (avec une silhouette affinée) de 44 mm en acier ou en acier recouvert de PVD noir ou or rose, étanche à 50 mètres. A noter que la couronne qui était « cachée » dans la boite dans les modèles de 2019 se fait beaucoup plus visible dans les nouveautés de 2019.
Le cadran en « 3D » arbore trois couleurs en fonction du modèle choisi : rouge, bleu électrique ou « or ». On retrouve bien évidemment les douze pales de la turbine (en aluminium anodisé avec des contrepoids en tungstène) qui tournent à chaque mouvement du poignet et qui laissent apparaitre, avec la vitesse, un cadran rouge, bleu ou or, situé au-dessous de la turbine.
Le cadran en « 3D » arbore trois couleurs en fonction du modèle choisi : rouge, bleu électrique ou « or ». On retrouve bien évidemment les douze pales de la turbine (en aluminium anodisé avec des contrepoids en tungstène) qui tournent à chaque mouvement du poignet et qui laissent apparaitre, avec la vitesse, un cadran rouge, bleu ou or, situé au-dessous de la turbine.
Les index et les aiguilles sont recouverts de matière luminescente. La trotteuse est de la même couleur que le cadran « inférieur ». L’ensemble est protégé par un verre saphir antireflet. Toutes les Turbine Evo sont équipées d’un calibre mécanique automatique COSC Heures, minutes et secondes d’une réserve de marche standard de 42h. Il est visible à travers le fond de boite.
Désormais, la Turbine Evo se porte sur un bracelet en acier poli-satiné totalement intégré à la boite. A noter que cette pièce est également disponible sur bracelet en cuir.
Désormais, la Turbine Evo se porte sur un bracelet en acier poli-satiné totalement intégré à la boite. A noter que cette pièce est également disponible sur bracelet en cuir.