Après le tremblement de terre de Christchurch en 2010, Franck Mesnel (ancien international du XV de France) rachète les poteaux mythiques de l’Eden Park d’Auckland pour soutenir les sinistrés et conserver, par la même occasion, un souvenir du célèbre stade où il avait disputé la première Coupe du Monde de rugby en 1987.
L’ancien sportif décide alors de lancer un challenge à la maison Poiray. Il lui offre l’opportunité de se rapprocher des gentlemen du rugby, mais aussi de transmettre une passion et un art de vivre à travers une montre unique et un morceau du stade d’Auckland. Depuis que la marque Romain Jerome a décidé de mettre de l’acier du Titanic dans ses boitiers de montres, les horlogers font désormais appel à ce type de procédé pour réaliser des éditions limitées contenant des « morceaux d’histoire ».
Cette série limitée tire donc son originalité du matériau qui compose son boitier (étanche 30m). En effet, ces 150 montres ont été produites grâce à l’acier des poteaux de rugby du stade Eden Park d’Auckland, en Nouvelle Zélande. Le fondeur français qui s’est chargé de cette étape a réussi l’exploit d’insérer une part de rêve dans les incontournables godrons des montres « Eden Park » de Poiray. A noter que cette ligne se compose de 15 cadrans différents déclinés en séries limitées de 10 exemplaires exclusifs.
Le cadran gris anthracite est composé de 11 index barrettes et d’un chiffre arabe qui rappelle l’un des postes sur le terrain, ainsi que d’un guichet ovale pour la date, rugby oblige ! La signature d’Eden Park (discrète) apparaît sous la forme de son noeud papillon, identifiable entre tous. Le numéro de série individuel est également gravé au dos de chaque montre, dotée d’un mouvement automatique suisse, et montée sur un bracelet alligator gris foncé. Compter 4.400 euros.
L’ancien sportif décide alors de lancer un challenge à la maison Poiray. Il lui offre l’opportunité de se rapprocher des gentlemen du rugby, mais aussi de transmettre une passion et un art de vivre à travers une montre unique et un morceau du stade d’Auckland. Depuis que la marque Romain Jerome a décidé de mettre de l’acier du Titanic dans ses boitiers de montres, les horlogers font désormais appel à ce type de procédé pour réaliser des éditions limitées contenant des « morceaux d’histoire ».
Cette série limitée tire donc son originalité du matériau qui compose son boitier (étanche 30m). En effet, ces 150 montres ont été produites grâce à l’acier des poteaux de rugby du stade Eden Park d’Auckland, en Nouvelle Zélande. Le fondeur français qui s’est chargé de cette étape a réussi l’exploit d’insérer une part de rêve dans les incontournables godrons des montres « Eden Park » de Poiray. A noter que cette ligne se compose de 15 cadrans différents déclinés en séries limitées de 10 exemplaires exclusifs.
Le cadran gris anthracite est composé de 11 index barrettes et d’un chiffre arabe qui rappelle l’un des postes sur le terrain, ainsi que d’un guichet ovale pour la date, rugby oblige ! La signature d’Eden Park (discrète) apparaît sous la forme de son noeud papillon, identifiable entre tous. Le numéro de série individuel est également gravé au dos de chaque montre, dotée d’un mouvement automatique suisse, et montée sur un bracelet alligator gris foncé. Compter 4.400 euros.
L’histoire d’Eden Park débute en 1987, lorsque deux joueurs de rugby internationaux appartenant à l’un des plus prestigieux clubs omnisports du monde – le Racing Club de France – décident de créer une marque lifestyle à la française. Franck Mesnel et Eric Blanc, alors étudiants, appliquent leur esprit créatif et décalé à la conceptualisation d’une marque dont l’inspiration et les codes proviennent d’une histoire extraordinaire et authentique.
Dans la lignée de certains athlètes à l’approche sportive atypique, ils ont cultivé un style décalé, mélangé à une élégance de tous les instants. Animés par le goût du paradoxe et le souci du détail, ils créent un véritable style Eden Park, dont l’icône est le maillot de rugby dans toutes ses déclinaisons. Reconnaissables, soit par son logo emblématique – le noeud papillon rose – soit par une identité couleur et graphique distinctive, les créations de la marque sont travaillées avec exigence, de manière à toujours couvrir son territoire légitime.
Dans la lignée de certains athlètes à l’approche sportive atypique, ils ont cultivé un style décalé, mélangé à une élégance de tous les instants. Animés par le goût du paradoxe et le souci du détail, ils créent un véritable style Eden Park, dont l’icône est le maillot de rugby dans toutes ses déclinaisons. Reconnaissables, soit par son logo emblématique – le noeud papillon rose – soit par une identité couleur et graphique distinctive, les créations de la marque sont travaillées avec exigence, de manière à toujours couvrir son territoire légitime.