1973 : la Maison Poiray voit le jour et entre dans le cercle très fermé des joaillers de la place Vendôme à Paris…
Surnommée à ses débuts « la jeune fille de la Place Vendôme » -tant par l’impertinence de ses choix que de ses partis pris audacieux- la marque va en quelques années imposer son style à l’univers de la joaillerie, parfois un peu figé...
Sous les houlettes des deux fondateurs –François Hérail et Michel Hermelin- Poiray bouscule les habitudes de la joaillerie en introduisant les pierres fines dans des tailles (poire cabochon, navette) peu utilisées jusque-là.
En 1985, son modèle de montre « Ma Première » (l’une des plus vues aux poignets des belles Parisiennes depuis trente ans) révolutionne la profession avec son bracelet interchangeable.
Aujourd’hui, la marque offre une nouvelle proposition de cadrans reliéfés qui reprennent un des grands motifs des collections Poiray : le godron, que l’on découvre ici en version acier ou acier et diamants.
Surnommée à ses débuts « la jeune fille de la Place Vendôme » -tant par l’impertinence de ses choix que de ses partis pris audacieux- la marque va en quelques années imposer son style à l’univers de la joaillerie, parfois un peu figé...
Sous les houlettes des deux fondateurs –François Hérail et Michel Hermelin- Poiray bouscule les habitudes de la joaillerie en introduisant les pierres fines dans des tailles (poire cabochon, navette) peu utilisées jusque-là.
En 1985, son modèle de montre « Ma Première » (l’une des plus vues aux poignets des belles Parisiennes depuis trente ans) révolutionne la profession avec son bracelet interchangeable.
Aujourd’hui, la marque offre une nouvelle proposition de cadrans reliéfés qui reprennent un des grands motifs des collections Poiray : le godron, que l’on découvre ici en version acier ou acier et diamants.