Votre toute première montre ?
Tout jeune, je passais mes vacances chez mes grands-parents en Italie, le pays des amateurs de montres par excellence. Je visitais les nombreuses boutiques de montres neuves et de collection ; mon premier coup de cœur a été une Heuer Autavia de mon année de naissance.
Quelques années plus tard, alors que je travaillais pour Bugatti, j’ai eu la chance de rencontrer le pilote de F1 Clay Regazzoni ; il portait la même montre que moi et cela a déclenché une belle discussion sur sa carrière.
Votre tout dernier achat en date ?
Je n’achète plus de montres puisque j’ai la chance d’avoir des confiés pour mon activité professionnelle. Mon dernier achat remonte en fait à très longtemps, mon employeur de l’époque, Monsieur Dubail avait accepté de me vendre une Rolex Explorer 2 alors que je partais pour rejoindre Patek. Un geste élégant de sa part et un souvenir que je conserve précieusement.
Votre prochain achat ?
Une F.P. Journe forcément ! Pour fêter mes dix ans au service de cette belle Maison. Enfin… si le grand patron est d’accord car la priorité, avec environ 900 montres produites chaque année, c’est de livrer nos clients !
Etes-vous plutôt un acheteur réfléchi ou compulsif ?
Je suis passé de compulsif en essayant de collectionner toutes les Heuer des années 70 en rapport avec la course automobile à réfléchi avec l’âge et les obligations ; toutefois, je suis resté compulsif, mais seulement avec les Vans !
Quelles sont les trois caractéristiques indispensables pour qu'une montre vous plaise ?
D’abord un cadran lisible avec du style et du caractère ; n’oublions pas que l’objectif premier d’une montre est de donner l’heure ! Ensuite, un équilibre des proportions entre diamètre (pas plus de 40mm) et épaisseur ; depuis quelques temps certaines montres se rapprochent plus de la pendulerie plus que de l’horlogerie. Enfin, j’aime le fait que la montre raconte une histoire, soit conçue pour un usage particulier ou ait été créée avec une vraie démarche d’innovation.
Vos trois marques préférées ?
F.P. Journe évidemment ; je n’ai pas rejoint Monsieur Journe par hasard en 2008. J’ai toujours aimé ses créations mais aussi son indépendance et sa vision. J’ai tout fait pour le rencontrer et après un café au Bristol il m’a donné les clés de sa boutique pour suivre les travaux !
Jean Baptiste Viot : il s’agit plus d’un horloger que d’une marque mais son chronomètre inspiré par Jean-Antoine Lépine reflète le dévouement de cet artiste pour la belle horlogerie !
Dans un tout autre registre, j’apprécie également Bell & Ross. Cette marque qui n’a que 25 ans a su s’imposer sur un marché très concurrentiel avec beaucoup de créativité, de dynamisme et des tarifs cohérents.
Tout jeune, je passais mes vacances chez mes grands-parents en Italie, le pays des amateurs de montres par excellence. Je visitais les nombreuses boutiques de montres neuves et de collection ; mon premier coup de cœur a été une Heuer Autavia de mon année de naissance.
Quelques années plus tard, alors que je travaillais pour Bugatti, j’ai eu la chance de rencontrer le pilote de F1 Clay Regazzoni ; il portait la même montre que moi et cela a déclenché une belle discussion sur sa carrière.
Votre tout dernier achat en date ?
Je n’achète plus de montres puisque j’ai la chance d’avoir des confiés pour mon activité professionnelle. Mon dernier achat remonte en fait à très longtemps, mon employeur de l’époque, Monsieur Dubail avait accepté de me vendre une Rolex Explorer 2 alors que je partais pour rejoindre Patek. Un geste élégant de sa part et un souvenir que je conserve précieusement.
Votre prochain achat ?
Une F.P. Journe forcément ! Pour fêter mes dix ans au service de cette belle Maison. Enfin… si le grand patron est d’accord car la priorité, avec environ 900 montres produites chaque année, c’est de livrer nos clients !
Etes-vous plutôt un acheteur réfléchi ou compulsif ?
Je suis passé de compulsif en essayant de collectionner toutes les Heuer des années 70 en rapport avec la course automobile à réfléchi avec l’âge et les obligations ; toutefois, je suis resté compulsif, mais seulement avec les Vans !
Quelles sont les trois caractéristiques indispensables pour qu'une montre vous plaise ?
D’abord un cadran lisible avec du style et du caractère ; n’oublions pas que l’objectif premier d’une montre est de donner l’heure ! Ensuite, un équilibre des proportions entre diamètre (pas plus de 40mm) et épaisseur ; depuis quelques temps certaines montres se rapprochent plus de la pendulerie plus que de l’horlogerie. Enfin, j’aime le fait que la montre raconte une histoire, soit conçue pour un usage particulier ou ait été créée avec une vraie démarche d’innovation.
Vos trois marques préférées ?
F.P. Journe évidemment ; je n’ai pas rejoint Monsieur Journe par hasard en 2008. J’ai toujours aimé ses créations mais aussi son indépendance et sa vision. J’ai tout fait pour le rencontrer et après un café au Bristol il m’a donné les clés de sa boutique pour suivre les travaux !
Jean Baptiste Viot : il s’agit plus d’un horloger que d’une marque mais son chronomètre inspiré par Jean-Antoine Lépine reflète le dévouement de cet artiste pour la belle horlogerie !
Dans un tout autre registre, j’apprécie également Bell & Ross. Cette marque qui n’a que 25 ans a su s’imposer sur un marché très concurrentiel avec beaucoup de créativité, de dynamisme et des tarifs cohérents.